Pandora [accepté une fois!)

par Invité Sam 8 Nov 2008 - 15:41

Nom: Pandora
Âge: 19 ans
Royaume Natal: Diamant
Race:Humaine
Fonction: Gardienne des futurs élèves
Logis: Dans une modeste pièce du château d'Émeraude

Description Physique: Bien qu'elle soit encore jeune, sa maturité transparait dans ses yeux. Ses cheveux de la couleur de l'or illumine sous le feu ardent du soleil, et sa silhouette féminine attire les regards. Bien que le post qu'elle occupe soit austère et important, elle ne prends pas la peine de se vêtir élégament, préférent de loin les pantalons que les robes, qu'elle trouvent beaucoup plus pratique pour courir. Dans son dos se trouve son carquois et juché sur son épaule, on peut appercevoir son arc.
Caractéristique: La vie réservant bien des surprises, c'est par hasard qu'elle se retrouva dans le chateau d'émeraude comblant les passions qui l'animent. En premier vient les enfants, pour lesquels elle donnerait sa vie, bien que la reconnaissance était rare chez les marmorts qu'elle gardait. Physiquement très actives, elle adore courir, et galopper, tirer de l'arc et se battre à l'épée. Elle déteste par contre les frimeurs.

Qualités / Défauts: N'ayant pas la langue dans sa poche, et pratiquement quotidiennement la non-chalence, la jeune femme s'attire parfois des ennui. Autonomne et responsable, cela en fait une gardienne parfaite. Son sens de l'initiative, surtout envers les jeunes futurs élèves amène parfois de drôle de conséquences à ses protégés. De plus, son fertiles et développer l'aide à créer des liens et des jeux facilements avec les tout petits. Impétueuse? Peut-être l'est-elle après tout...
Objectif qu'il souhaite atteindre: Garder ses enfants en vie
Pouvoirs: Elle contrôle la télépathie générale et la lévitation.

Signes Particuliers: 3 être de lumières en forme de fée qui surgissent autour d'elle continuellement, ainsi qu'un aigle qui la suit et avec lequel elle peut communiquer.
Équipement: Son arc, enchanté pour qu'elle seule puisse l'utilisé ( à l'abris des enfants ^^ )
Cheval: Elle prends parfois ceux du château

Histoire: La vie, ma vie, m'a réservé des surprises que nulle au monde n'aurait pu prévoir. Je suis né, bien humblement, dans le plus humble des habitations. Mes parents, que dieux aie leur âme, me chérissait de tout leur coeur. J'étais leur cadeau tombé du ciel, pour une mère dans l'âme qui avait toujours espérer avoir un enfant à elle, mais que les dieux, dans leur plus cruelle plaisanterie, avait privé de son pouvoir de procréer. C'est tardivement, et d'une façon complétement inatendu qu'elle tomba enceinte de moi. Pour son âge avancé et sa vitalité moins présente, je fut une épreuve difficile à passer, mais qu'elle passa, le sourire toujours au lèvre, rêvant chaque nuit de me tenir dans ses bras.

Mon père, un homme aussi humble que ma vie, m'attendait lui aussi, chantonnant sur le ventre rond de ma mère souffrante, regrettant de ne pouvoir l'aider dans cette terrible épreuve. C'était un homme généreux qui , souvent, ouvrait sa porte au voyageur et aux mendiants. Un homme bon, à qui , je l'espère , ressemblerai quand j'aurai son âge et sa sagesse. Grand voyageur dans sa plus propère jeunesse, cultiver et orateur, m'a compté des histoire durant toute sa jeunesse, et lors de mon adolescence. Jamais la vieillesse n'avait affecté sa mémoire, et j'en suis reconnaissante à tout les dieux.

J'ai passé les 19 premières années de ma vie avec eux, et ce qui devait arriver arriva. Ma mère mourrut dans son sommeil, une sourire représentatif de ses années de bonheurs au lèvre. Mon père, l'a retrouver tel endormi, plus belle que jamais. Puis, dans un souffle, lui avait murmuré:

- Je t'aime mon amour, et je viens te rejoindre

C'était il tout simplement laisser partir? Je le crois. Il lui tenait la main et avait posé sa tête sur son ventre, comme lorsqu'elle était enceinte de moi.

C'est ainsi que je l'ai ai moi-même retrouver, et je ne pouvais que m'abandonner au chagrin qui me rongeait de l'intérieur. Je m'y étais préparé, mais leur perte était irremplaçable.

Je restai quelques jours, sans manger ni dormir, à pleurer,jusqu'a ne plus avoir de larme pour pleurer. Les larmes sèches sont terrible, plus terrible encore que ceux qui vous mouillent les joues. Ce sont des larmes amères qui ne pourront jamais être verser.

Je finit par m'endormir,mes parents ayant été mis sous terre dès la découverte de leur mort. Dans mon village, je me fit offrir refuge, mais je refusai de quitter ma maison.

Comme si le ciel lui même avait entendu mes prière silencieuses, je vies, près de moi, une fois lumineuse et humanoide. La lumière éclantante de la créature me blessa les yeux, moi qui était si longtemps rester enfermée dans le noir. Je senti ses mains chaud set minuscule entouré l'un de mes doigt, et, pensant être sujet au halucination, je n'eus pas peur. La première était une Pixies de lumière, rare sur Enkidiev mais abondantes dans d'autre partie du monde. Plus loin, j'aperçu les d'eux autres, se nommant Charly et Mia. La troisième s'appelait Arabela.

L'une d'elle s'apporcha de moi, et me toucha a la tête, plus particulièrement sur la temps. Se fut foudroyant, telle une décharge électrique me parcourant l'échine. Le vacarne qui suivi le chox faillit me faire perde connaissance. Leur mine déconfite et leur yeux exprimant toute leur douleur de me voir soufrir me confirmèrent leur bonne intentions. J'Attendis quelque peut, et, les voix s'atténuèrent quelques peu, excepté 3 petites voix charmante qui, malgré qu'elle sois dans un dialecte différent, était compréhensible. C'était les Pixies, qui, je le compris, m'avait donné se don.

Nous partîmes à l'aventure, tel mon père le fis jadis. Nous commençames par visiter les pays éloigné, et nous terminâmes par le château d'émeraude. Durant notre route, les Pixies avait perçu les cris d'agonie d'un aiglon, que des sinistre chasseur avait fait orphelin. Je le pris sous mon ailes, l'éleva de moi-même, à l'aide de mes minuscules amies.Bizarrement, je fut aussi capable de le comprendre! Dans la cours du chateau, je vis de minuscule petit enfants, semblant aussi pratiquer la télépathie. J'avais entendu parler de se chateau, et des fameux chevalier, mais je fut peiné de constater la peine qui habitait ces enfants laissé à eux-même, loin de leur parents, loins de leur famille. J'entrai donc au château, d'un pas décidé, pour me porter volontaire pour rassurer ces petits. Les fées me promirent de m'aider, et Tarquin, mon volatile, m'aiderait aussi.

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Expérience en RP: près de 1 an
Âge: 19
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Code: Accepté par Andreila, 8 nov 08!