Un peu plus loin ( Pv Gaelle )

Alexandre et Gaelle raterait pas l'adoublement. Aucunement, puisqu'il était dans une salle tranquille un peu à côté du banquet. On pouvait entendre les gens parler et la druide nous fera signe par la pensée aussitôt que tout celà va commencer.

Donc, en douce, Gaelle et Alexandre partirent vers la salle la plus prêt et la plus tranquille. Il fixa quelques personnes pour que personne les voient puis ils prirent le fuite. Un coup rendu dans la salle, les deux chevaliers ne mirent à rire de bon coeur.

- Sa date d'une coupe d'année ce genre de mauvais coup de s'enfuir des classes.

Dit-il en rigolant. Puis ils stoppèrent rendu dans la salle. Il tourna le regard vers Gaelle avec ce même petit sourire gêner que tout à l'heure.

- Tu le savais... Que après cette soirée, les chances qu'ont ce revoie cette année son plutôt mince Gaelle ?

Dit-il en s'approchant un peu plus.

Je suivis Alexandre à pas feutrés, dans une des salles proches de celles où se passait le banquet. Nous serions tranquille ici. en arrivant dans la salle, autant Alexandre que moi, étions prit d'un fou rire incontrôlable. C'était comme autrefois, pour échapper aux cours de magie qui ne nous plaisait pas toujours! Après m'être calmer, je posai unregard doux sur Alexandre.

Je regardai mes pieds. Oui, c'était vrai. C'était sûrement une de nos dernières rencontres, d'ici la fin de l'année. Je n'y avais pas songé, étant donné que sa visite avait été une belle surprise. En fait, je n'avais pas vraiment envie qu'il reparte vers Excelsior pour une autre année. Mais, bien entendu, lui et moi, en tant que chefs repectifs de ses ordres, nous ne pouvions ne permettre une "vacance" supplémentaire, dans l'année. Je le savais bien, mais je me refusais à y croire. Je me disai, qu'il y aurait sûrement un moment, un occasion. J'étais optimiste. J'étais sûr que je reverais ce cher Alexandre, au moins une fois. Mais... le moment, la place et l'occasion restait pour moi, un mystère. Ça serait donc une autre surprise pour moi...

-Je... sais. Mais, nous allons sûrement avoir nous revoir, plus tard cette année. Après tout, il y a la fête des moissons qui dure quelques jours, alors... répondis-je en reculant un peu, puisqu'il avançait vers moi.

Je m'éloignait de lui, mais c'était plus un réflexe qu'un refus. Qaund je me retourvai au pied du mur, c'est là que je me rendis compte que je reculais sans cesse. Je fis un sourire gêné et plongé mon regard dans le sien.

- ... Tu vas me manquer. J'apprécie beaucoup ta présence, ici. Ça va me faire un vide, sans toi. Même si tu es apparu comme une surprise ce soir... Je sais que ça va me faire un vide. C'est comme si tu avais toujours été là. Mais, je tiens à te dire, que je suis vraiment heureuse que tu sois venu ce soir. Tu ne peux pas savoir la joie que tu me proccure.

[Merci à Michael Jackson qui m'a inspiré!]

Les paroles que Gaelle prononca fit quelque peu mal à Alexandre. Veut, veut pas, il avait vécu toute son enfance avec elle. Et il s'était attacher à elle. Elle et son charisme incroyable, sa beauté désespérer et sa fraîcheur d'agrume extravagante.

- Tu es la personne qui compte le plus pour moi dans cette ordre. Sur tout Enkidiev, il y a une seule personne à qui je peux tout dire et c'est toi. Durant notre éduquation, il n'y avait pas une journée ou on ce voyait pas. C'était impossible de nous séparer. Et même aujourd'hui, nos corps seront peut être séparer, mais mes pensés et mon coeurs seront toujours à ta porter. Peu importe ce qu'ils t'arrivent, un ennuie quelquonque, je le serais...

Puis il posa sa main sur son propre coeur.

- Juste ici.

Dit-il en souriant. Le chevalier s'avanca toujours avec une grande douceur vers Gaelle. Il avait se genre de même sourire qu'il avait depuis qu'il était enfant. Un sourire espiègle et charmeur. Puis le dos de Gaelle s'appuya contre le mure. Alexandre s'approcha toujours d'un pas très lent. Puis il attendit qu'elle finisse de lui parler pour s'approcher un peu plus. Puis il posa sa main sur la peau douce de la joue à Gaelle.

- Tu crois que tu me rends pas heureux ? Tu es tout pour moi. Sa sera difficile quand nos chemins seront séparer pendant de longues années. Je vais venir quoi ? Deux fois par année. Sa sera après sept ans que je pourrais venir de voir régulièrement quand je vais avoir mes septs premiers vrais chevaliers. Je vais devoirs éduquer les adoslencents pendant sept ans.

Son regard bleu capta le regard violet de la grande chevalière. Il fit un doux sourire. Il continua de glisser le bout de ses doigts sur sa peau douce. Puis délicatement, il approcha son front pour le coller contre le sien. De son autre main libre, il entre croisa les doigts de la main à Gaelle.

- Mais je sais que tu seras prudente et que cette guerre, ont va la gagner et ainsi vivre en paix.

J'étais vraiment touchée par les paroles d'Alexandre. Savoir qu'il m'appréciait autant que je l'appréciais, me réchauffait le coeur.

-Tu sais... C'est la même chose pour moi. Tu es la personne, en tout ce monde, qui compte le plus pour moi. Ça aurait pu être mon frère, mais ça toujours été toi. Tu es une des rares personnes, à me comprendre et... à voir mes sentiments, que je suis habituée à ne pas montrer. J'ai entièrement confiance en toi.

Je rosie, quand le front d'Alexandre se posa sur le mien. Jamais, je me lasserai de voir ses yeux bleu, rempli de courage et de tendresse. Je serrai la main d'Alexandre dans la mienne. Le contact de ses doigts sur ma peau me fit frissoner.

-Je sais aussi, que tu seras prudent. Nous allons gagner cette guerre, ensemble.

Je fixai ses yeux bleu, avec un sourire sur les lèvres. Son sourire était contagieux. Impossible de ne pas sourire avec se chevalier charmeur et attentionné près de soi. Il représentait beaucoup, dans ma vie.

-Si tu devais, avoir un problème, toi aussi, je serais toujours là. Peu importe ce qui dois m'arriver, je serais toujours là. Toujours.

Je fis de même que lui. Je portai ma main à moi coeur, puis, au sien, avec ma main qui n'était pas dans celle d'Alexandre. Je la laissai là, puis la retirai lentement.

Alexandre dévora les yeux de Gaelle. Ses paroles le laissa au dépourvu. Il était vraiment impressionner par la bonté de cette femme. Elle avait tout pour elle. Des yeux violet, un visage d'ange, un corps magnifique et un sourire plus que désirable. Quand il su qu'il était plus important que son propre frère, si il aurait été quelque peu dérange émotionnellement, il serait parti en pleurant, mais ce n'était pas le cas.

- Sa me touche se que tu dis..

Dit-il en le regardant droit dans les yeux. Puis elle porta sa main sur son coeur, pour le faire ensuite avec le sien. Les yeux bleus du chevalier s'agrandissaient, il était vraiment combler d'amour par cette femme. Il savait que en ce séparant d'elle, il serait déchirer, mais il le fallait. Chacun d'eux avec des rôles très importants et qui prenait beaucoup de temps.

- Je vais te quitter à te laissant le plus beaux cadeaux que je pourrais te donner à mon départ demain matin à l'aube.

Puis sa main sa posa complètement sur la joue de la jeune femme et il rapprocha encore plus son visage. Après leurs fronts, c'était au tour de leurs nez de ce coller. Il lui donna un léger clin d'oeil avant de fermer complètement ses paupières pour approcher ses lèvres près des siennes. Puis comme tout contact habituelle, il posa ses deux lèvres sur les lèvres pulpeuses de sa grande amie pour l'embrasser longuement. Après peut être cinq secondes, il retira ses lèvres, mais il était toujours coller contre Gaelle.

- Tu seras forte hein... Tu me le promet ?

J'étais muette. Sans voix. Incapable de prononcer un mot. J'étais émue. Je ne savais pas quoi lui dire. Quoi lui répondre d'assez suffisant pour lui dire que, je l'aimais vraiment. Beaucoup plus qu'il n'aurait su en soupçonner. Je le regardai en silence. Il était tellement... Il avait tout ce qu'une femme aurait pu désirer. Un corps musclé, un magnifque visage et... un romantisme et une sollicitude sans pareil. En plus, c'était le genre d'homme qui serait prêt à périr pour les siens. Pour les sauver, par amour. J'étais impressionnée par la patience aimante qu'était Alexandre.

J'eu un sourire amusée, puis un regard interrogateur. Il me laisserai le plus cadeaux, demain à l'aube? J'étais curieuse, j'avais bien hâte de voir ce que mon bon ami me réservait. Mon sourire s'élargi, quand son nez se colla contre le mien. Je rougis à son clin d'oeil.Ma surprise fut grande quand ses lèvres chaudes entrèrent en contact avec les meinnes. Je fermai mes yeux, profitant de chaque secondes, n'en manquant aucune.

Je le regardai dans les yeux, après se baiser tendre. Je sentais la chaleur de son corps collé contre le mien.

-Oui, je te le promet. dis-je en remettant ma main contre son coeur. Toi aussi?

Puis, sans attendre sa réponse, je me mis sur la pointe des pieds, et je l'embrassai de plus belle. Un long baiser... Passioné.

-Je me demandais... Pourquoi faire de grandes déclarations, quand un simple baiser, dit tout? demandai-je, avec un sourire moqueur aux lèvres.

Dans l'assemble et la logique des choses, Alexandre n'aurait du tout simplement pas embrasser Gaelle ainsi. Puisque quand il l'a quitterait demain à l'aube et qu'il sera rendu à Excelsior, ses pensées se retournerait tout le temps vers Gaelle. Beaucoup plus que l'habitude. Mais il ne pouvait tout simplement pas la laissé sans lui avoir donner l'amour qu'il avait pour elle. Et dans tout sa, Alexandre était heureux de lui avoir donner ce baiser.

Quand Gaelle lui promettait qu'elle serait forte tout le temps qu'il ne serait pas à ses côtés, un petit sourire rassurer se fit à ses lèvres. Puis la main douce et chaude se posa sur son coeur en chuchotant que lui aussi il devrait faire attention.

- Je ferai mon possible. Je te le promet.

Puis, ce fut le tour de la chevalière d'aller embrasser le chef d'Excelsior sur les lèvres. Un baiser plus bref, mais toujours aussi délicieux. Puis elle se sépara lentement, mais ils étaient toujours aussi collé l'un contre l'autre. Le chevalier fit un petit rire face à sa déclaration.

- Disons qu'ils fallaient qu'ont tourne sa un peu dramatiquement. Sans drame, c'est poche.

Dit-il en riant. Puis il reposa ses lèvres avec envie sur les siennes. Cette fois-ci, le baiser était plus long et il le prolongeant très lentement et langoureusement. Il fit stopper le baiser avec regret, mais il laissa son visage tout près du sien pour ne pas se détacher de sa chaleur.

- Hey...

Chuchota-t-il en montant lentement son visage pour que son regard violent croise ses yeux bleus.

- Je t'aime...

Dit-il en souriant de toute ses dents.

Je souris. J'étais bien, collé à lui, comme ça. Juste, comme ça. Un geste simple comme ça, la chaleur de son corps rapproché du mien, me faisait vraiment du bien. J'étais comme... dans un rêve. Je ne cessais de me demander si cela était un rêve. Si j'allais me réveiller. Si quelque chose viendrait tourmenter le moment. Rien. Absolument rien. J'eus un petit rire quand Alexandre me dit qu'une déclaration sans "drame" s'était poche. Je n'eus pas le temps de rajouter quelque chose, que je tremblais déjà d'émotion sous un autre langoureux baiser. ** Je ne me lasserai jamais de l'embrasser... ** me surpris-je à penser. Eh bien. Quand il serait parti, à l'aube, je savais que j'aurais du mal à me l'enlever de la tête. Mais, au moins, je savais que mon coeur ne l'oublirais pas. Mes yeux toujours dans les siens, je l'entendis murmurer " Je t'aime". Je fis un sourire. C'était une des premières fois que quelqu'un me le disais, vraiment sincèrement. Ça sonnait tellement mieux, rempli d'amour et de vérité.

-Certainement pas autant que moi... murmurai-je à mon tour.

C'est là que je me rendis compte que je l'aimais depuis bien longtemps... Je ne m'en était jamais vraiment aperçue. Ces baisers m'avaient ouvert l'esprit. J'aimais Alexandre. Je l'aimais plus que tout. Et ce qui était clair, c'est que je voulais passer le reste de ma vie avec lui. Du moins, quand j'aurais une occasion de le voir, bien entendu. Mais, il était certain que je ferai tout, pour pouvoir passer ma vie avec lui. Ça allait être dur, compliqué, mais faisable. Surtout si nous arrivions à m,être la paix rapidement sur le contient, nous pourrions vivre en paix, nous marier et avoir des enfants, peut-être.

Plus je le regardais, plus je souriais. Son sourire éclatant, me faisait sourire à mon tour. J'enfouis ma tête dans le creux de son épaule, sentant l'odeur de son cou. Une odeur de nature, de bois, de forêt. J'adorais l'odeur de la forêt. Je fermai doucement les paupières et je me laissai bercer par la chaleur du corps d,Alexandre. J'enlevai ma main de la sienne, pour venir faire le tour de son torse avec mes deux bras. J'étais vraiment dans un rêve...

- ... On va sûrement se revoir, en mission? Non?... dis-je, à brûle-pour-point

C'était complètement incroyable comme l'amour pouvait éteindre bien des soucis, mais aussi en allumer d'autres. Mais Alexandre le savait que de temps en temps, ils diraient à son druide qu'il partirait une ou deux journées à Émeraude pour aller voir quelqu'un d'importe. Et bien sur, sa serait Gaelle. Il ne pourrait pas s'empêcher d'aller voir la personne qu'il aime le plus au monde, sa serait trop cruel pour lui.

Alexandre aimait Gaelle depuis très longtemps. Mais il n'y avait pas eu cette flamme de désir. Le fait qu'il partait, l'embrasser, lui dire je t'aime, à pas mal facilité les choses. Et maintenant, le chef d'Excelsior savait très bien qu'il aimerait cette femme jusqu'à la fin de sa vie.

Alex pouvait ressentir la chaleur du souffle de Gaelle s'introduire sur la peau de son cou. Le chevalier entoura ses prend autour du corps frêle de la chevalière.

- Inquiète toi pas Gaelle, je viendrai te rendre quelque visites surprise et j'avertirai mes troupes que je serai pas là pour quelques jours. Et ses quelques jours, je viendrai les passé avec toi.

Il ferma les yeux toute en donnant le plus de chaleur à sa belle. Il frotta lentement son dos fragile avec ses deux grandes mains. Alex pouvait l'entendre respirer dans son cou, se qui le relaxa quelque peu. Puis doucement, il pris le visage de Gaelle entre ses deux grandes mains. Il la fixa dans les yeux. Il fit un petit sourire en coin. Puis il posa ses lèvres avec envies sur les siennes, le prolongeant langoureusement. Les deux grandes mains du chevaliers descendire jusqu'a sa taille, montant jusqu'a ses hanches pour les frollers.

Je soupirai. Ça allait être dur, sans lui. C'était sûr, que j'aurai d'autres occupations, que je devrais m'entraîner et apprendre à mon écuyer et diriger mes troupes... Mais de là à dire que mon esprit et mon coeur ne l'oublirai pas... Impossible. J'avais envie de passer tous les jours de ma vie futur à ses côtés. C'était certain que ses visites surprises me feraient le plus grand bien et me rendraient heureuse. Mais, combien de temps durerait cette amour à distance? J'espèrais que ça ne durait que quelques années. Je savais que j'aimais assez Alexandre pour l'attendre et être heureuse de le revoir à chaque fois, avec toujours cette même flamme, toujours grandissante d'amour à son égard. Mais n'empêche que... tu comptes les jours en l'absence de celui que tu chéris le plus au monde!

- ... J'ai déjà hâte que tu reviennes! dis-je dans un petit rire.

C'était ironique de dire ça. Je sais. Mais, à quoi bon!? Les yeux fermer, toujours dans les bras d'Alexandre, je me laissais bercer. J'étais tellement bien. J'étais totalement rassuré. C'est dans des moments comme celui-là, où on peut totalement s'abandonner et arrêter de surveiller ses arrières. C'est dans un moment comme celui-là, où tu peux te permettre de te sentir fragile et sans défences... C'était comme si ses bras forts me protégeaient de tout... sauf petu-être, du temps qui filait à toute allure. Je regardais Alexandre dans les yeux. Ses beaux yeux bleus, dans lesquels tu te perds, et dans lesquels tu vis tes rêves... Avec son petit sourire en coin qui me faisait craquer à tout coup, il s'approcha et m'embrassa à nouveau. Je déplaçais une de mes mains, pour la déposer dans son cou, et l'autre, un peu plus haut, sur sa tête, dans ses cheveux en brousailles. J'étais sûr que si nous n'étions pas ici, ce baiser aurait été encore bien plus long... J'arrêtai le baiser à regret et je le regardai avec un sourire malicieux.

- Imagines-tu le scandale, si quelqu'un nous trouvait ici, comme ça? dis-je en éclatant de rire. Dis-moi, après le banquet et l'adoubement, dès que mon écuyer sera endormi, ça te dirait, une balade au claire de lune?

- Moi aussi j'ai déja hâte de revenir.

Dit-il avec un petit sourire. C'était sur qu'il avait hâte de revenir. Déjà, il n'avait pas hâte à l'aube là, ou il devra laisser Gaelle pour plusieurs journées, voir plusieurs semaines. Mais il allait survivre à cette absence. Il avait déjà des papillons dans le ventre juste à pensé au visage de Gaelle qu'elle aurait face au visite surprise du chef d'Excelsior. Mais pour l'instant, personne ne savait leurs amours et c'était correct ainsi. Puisque plusieurs personnes pourraient les influencers et tout.

Alexandre était vraiment bien en ce moment. Il avait juste le goût de passer la soirée à laisser ses lèvres sceller au siennes. C'était un tel délice de pouvoir embrasser cette femme qu'il avait vu grandir depuis l'âge de sept ou huit ans. C'était à peine croyable. Un sourire se dessina aux lèvres du chevalier quand elle disa qu'ils pourraient se faire voir n'importe quand. Il rit à son tour.

- J'avoue..

Puis elle disa une proposition qui rendit le chef d'Excelsior plus qu'heureux.

- C'est sur que j'accepte sa, très chère Gaelle.

Dit-il en souriant de toute ses dents pour ensuite plaquer ses lèvres sur les siennes avec une certaine envie. Puis il entoura ses bras autour de son corps pour la coller contre son corps.

J'eu un sourire amusé, quand je vis l'enthousiasme d'Alexandre. J'allais rajouter quelque chose, mais ses lèvres tièdes scéllèrent les mienens avec une envie palpable. Les yeux clos, j'embrassai avec passion Alxexandre. Décidément, ce chevalier faisait fondre mon coeur. Quoi qu'il me demande, il pouvait être sûr que j'allai accepter. Je lui faisais entièrement confiance. Notre séparation du lendemain allait être émouvante. Du moins, pour moi. Je ne voulais aps qu'il parte. J'aurais aimé être égoïste et le garder ici. Mais, ses futurs écuyers avaient besoin de lui. Je ne pouvait les priver d'un chef tel qu'Alexandre. En plus, c'était un des rêves les plus cher d'Alexandre. Il en parlait déjà quand il était plus jeune. Je ne pouvais le priver de faire une telle action. Je ne pouvais le priver de son rêve.

Je prolongeai le baiser d'Alexandre. J'étais bien, niché contre lui, corps contre corps. Je sentais sa chaleur. J'aurais tant aimé que ce moment ne s'arrête jamais. Une fois le baiser rompu, je posai mes yeux violet sur son beau visage d'apollon. Je regardai ensuite Alexandre dans les yeux. Je me surpris à rougir. Je devais bien ressembler à un tomate trop mûre. J'éclatai rire. Du moins, d'un fou rire sans explication. Une fois remise de mes émotions, je pris le visage d'Alexandre entre mes mains et tout en le regardant dans les yeux, je lui mumurai:

-... Je ne t'aime pas, je t'adore... Je suis complètement folle de toi, je crois bien!

(Désolée, c'est vraiment minable, mais c'est tout ce que je peux faire!><)

J'étais bien, nicher contre le corps de mon amant. J'étais bien, dans cette chaleur, dans cet amour qui se formait, peu à peu, qui tissait des liens qui seraient plus tard, indestructibles. J'étais bien, collé à son torse, écoutant les battements de son coeur. Ils étaient d'un rythme régulier, comme une douce symphonie... Une symphonie, qui j'espère ne s'arrête jamais de chanter.

Je relevai la tête, juste attend pour recevoir le plus long et le plus passionant des baisers. Le plus profond et le plus rempli d'amour. Je frissonai, en sentant l'amour qui en émanait. J'étais bien, à l'embrasser. J'étais bien dans cet amour inconditionnel. J'étais bien, dans cette largesse d'esprit et dans cette passion indomptable. J'étais bien dans les bras forts et protecteurs d'Alexandre. J'étais bien à ses côtés.

Je savais que les années à venir seraient un calvaire sans lui. Mes nuits, seraient un enfer. Mais, il fallait ne pas être égoïste et penser aux générations futures de chevaliers. Au futur du continent. Au futur de tous les pauvres paysans.

Ça allait être dûr. Moi qui rêvait de me marier. Comment est-ce que j'allais faire, loin de lui? Moi qui rêvait d'avoir des enfants.... Comment est-ce que j'allais faire? Dans les deux cas, mes rêves tombaient en morceaux. Mais, peu m'importait. J'étais heureuse avec lui, et ça ne changerait jamais.

Je sentis qu'Alexandre mis fin au baiser à regrets. Je le regardai. Son regard amoureux me faisait fondre. Je lui fit un sourire. Je fermai les yeux au contact de sa main, contre moi visage. Je frissonai. Je rouvris mes yeux pour les plonger encore une fois dans ceux de Chef des chevaliers d'Excelsior.

-Je t'aime aussi, Alexandre...

Je restai un moment, totalement imobile, ma tête contre son torse. -Étant beaucoup plus petite que lui, ou plutôt lui beaucoup plus grand que moi, ma tête n'arrivait qu'en haut de son torse-.

Je baissai ma tête. Mes pensées noirs revenaient. Le fait de ne pas pouvoir fonder une famille me tenaillait. Mais, j'étais prête à ce "sacrifice" pour être à ses côtés...