Rancontre avec Oxana [Rp à 2]

Je fronçai maintenant les sourcils, pas trop sur de comprendre de ce dont il parlait. Toutefois, comme je l'avais dit, cela me passa dix pieds par-dessus la tête. La vie privée de mon père ne me regardait aucunement. Et, de toute façon, bien que je ne le sâche pas vraiment, je devais m'en douter car c'était tout à fait le type de mon père. Et c'était pour ça que ma mère l'avait viré de chez les elfes, non? Toutefois, je n'arrivais pas a comprendre comment il avait pu avoir plusieurs femmes alors que, jusqu'à tout récemment, il n'était qu'avec moi. Jamais je ne l'avais quitter des yeux. Néanmoins, ça ne l'empêchait pas d'avoir pleins de femmes.

"En effet, je l'ignorais. Mais sa vie privée ne me regarde en rien. C'est son choix, après tout."

Par conte, cette révélation m'atteint plus que ce que je le laissai paraître. M'enfin, atteindre était un bien grand mot. Il était fort possible que j'ai donc des...soeurs et des frères. Enfin, pas tout à fait, mais ca ressemblait bien à ça. Et ça, ça m'agassais beaucoup. Ça expliquait enfin la raison de son départ précipité. Il devait aller retrouver ses autres femmes et s'occuper de ses autres enfants. Bien que je ne l'aimais pas, cela fit naître en moi un léger sentiment de jalousie, mais très faible.

"Eum, vous croyez que j'ai juste ça à faire de ma journée, vous attendre?"

bougonnais-je, irritée par la façon dont cet homme me traitait. Je n'étais certes pas plus sympathique avec lui, mais bon. Je me rendi compte d'une chose; cet homme me détestait. C'était évident. Cette pensée fit naître un léger sourire sur mes lèvres.

Je fis tous se que je pûs pour ne pas rire, sa réplique étais trop drôle. Je fis tous se que je pûs, mettre ma main devant ma bouche, penser a autre chose et même essayer de me calmer, impossible. Je riais pendant pres de dix minutes pour finallement lui dire.

- Et bien non je ne croie pas parce que si oui vous auriez pu partire pendant que je m'occupais des soldat à ma recherche.

J'essayas t'en bien que mal pour arrêter de rire. je réussis enfin à lui dire aussi se ci.

- Vous serez contente de savoir que je n'ai plus de question a vous posez. Vous êtes libre de partir, mais je veut que vous donner ça à votre père.

Je matérialisa une petite fiole bleu foncé et lui tendit.

- Avec ça vous pourrez lui posez toute les question que vous voulez il vous dira le vériter, toute la vériter et rien que la vériter. Et dites lui que je le recherche toujours pour se qu'il a fait.

Je sorti de la maison et déscendis, où j'attendis Oxana, tranquillement, sans la prèsser, adosser contre l'arbre, en regardent l'entré de la maison.

Lorsqu'il éclata de rire, je fronçai davantage les sourcils, ne sachant pas trop ce que je venais de dire de drôle. Mais bon. Je préférai ensuite ne pas répondre à sa réplique. Après tout, j'étais resté simplement pour répondre à ses questions, en fait, il ne m'avait pas trop donner le choix de rester là. Bref. Lorsqu'il m'annonça que je pouvais enfin sortir, je me levai d'un bon...sauf qu'il m'arrêta dans mon élan. Il fit apparaitre une petite fiole bleue, qu'il me tendit en me demandant de donner cela à mon père. Il se prenait pour qui, celui-là? Je n'étais aucunement sa bonne!... Je secouai vivement la tête. Je descendis de l'arbre et lui rendit sauvagement sa fiole.

"Si vous êtes trop lâche pour lui dire en pleine face, c'est pas mon problème. Mais je ne ferai surtout pas le messager. Et puis, de toute façon, je n'ai pas vu mon père depuis un bon moment, et je ne suis pas prête de le revoir. Vous devriez le savoir, puisque vous en savez tant sur moi et mon père!"

Je le dévisageai de nouveau un moment puis tournai les talons pour partir. je pouvais toutefois m'empêcher de me demander ce que mon père avait fait pour que cet...homme soit à sa recherche. Venant de la part de mon père, plus grand chose me surprennais. Peut-être qu'il avait tuer des hommes. Après tout, Artias ne recherchait que ceux qui avait fait des crimes de haut niveau, donc il était possible que mon père ai pu tuer quelqu'un. Mais bon, tout cela n'avait aucune importance. Mon père était parti et sa vie ne me regardait en rien.

Après que Oxana m'ai lancé ma fiole, je la ratrappas, impassible à toute remarque. Mais dès que j'attendis qu'elle me traitai de lache je perdis la métrise de moi même. Comment osai-t-elle me traité de lache. J'ai passer 16 ans de ma vie à me défendre contre des animaux sauvage, à les chassé et à vaincre des centaines de soldat pour ma survie, Comment osai-t-elle me traité de lache!

- Et bien madame, je vous ferai remarquer que si je savai où vôtre père se tien je ne vous demenderai pas où il est, et en plus se n'est pas moi le lache qui se cache pour éviter d'affronter un assassin qui le recherche depuis 12 ans.

Je lui relança la fiole avec vigueur au visage, tellement que j'étais en colère par ça remarque. Elle ne comprenait vraiment rien à rien cette fille.

- Et je vous donne cette potion de vériter pour que vous lui posier des question à propos de ce que je vous ai dis sur lui.

Je commença a grinper sur la deuxième branche quand je lui dis une dernière chose.

- Je suis sur que vous savez où aller pour sortire du milieu de cette forêts sans tomber dans mes piège, car si non et bien vous pouvez me demander de l'aide si vous vous exusez, au revoir.

Je reparti dans ma maison où je commença à préparer une potion de guérrison.

Lorsqu'il perdit la maîtrise de lui-même, j'eus...comment dire, un peu peur? Enfin, j'étais bien méfiante. D'un coup qu'il voulait me tuer parce que je l'avais offensé? Lorsqu'il se défendis, traitant mon père de lâche, j'eus un petit rire intérieur. Il avait raison, mon père n'était qu'un lâche! Je rattrapai avec agilité la fiole qu'il me lança avec force au visage et lui offrit un sourire.

''Soit. Vous n'êtes pas lâche. Mais il ne sert à rien de me donner, plutôt de me lancer, cette fiole, car je ne reverrai jamais mon père.''

Toutefois, je ne lui redonnai pas la fiole, pour une raison que j'ignorais. Je contemplai longuement le petite bouteille bleue, pensant sérieusement à partir à la recherche de mon père. Je n'entendis pas vraiment les dernières paroles de l'assassin, lequel avouait avoir placé des pièges dans la forêt et qui m'offrait son aide si je m'excusais. Je le laissai donc partir sans vraiment pouvoir bouger. Je restai longuement immobile, pensive, puis je fini par grimper dans les arbres, sautant de branche en branche pour peut-être sortir saine et sauve de cette forêt sans tomber dans les pièges de l'assassin...