une salle secrête [Terminé]

Olivai avait fini son tour tot dans l'après midi et avait rentrer pris un bain en pensant et elle savait habiller comme à son habitude d'une belle robe bleu poudre avec de petit reflet rose .Les cheveux remonter .Elle avait envoyer une servante chercher safille elle était un peu fathiguer .Elle était dans une salle que personne ne venait sauf elle .Elle était assis et elle attendait en passant à la soirée , la nuit et sa journée d'aujourd'hui.Elle ne voulait pas repousser les choses qu'elle devait parler avec sa fille et surtout sa naissance car elle le sentait que sa fille n'était pas a l'aise avec se sujet .Elle n'en avait jamais parlé même pas a ces parents et encore moin à ces enfant .Elle prit sa tête dans ses mains .Elle ne savait par où commencer avec sa fille.

Salika avait enfilé une vielle robe blanche cet après-midi là. Elle avait laissé ses longs cheveux détachés et elle portait de petits souliers agencés avec sa robe. Elle marchait tranquillement dans les couloirs du château jusqu'à ce que Marguot, une servante du château, vienne la chercher.

-Votre majesté, votre mère vous attends. dit Margot à la princesse.

La princesse lui répondit sur le ton le plus calme qui soit :

-Parfait, je vous suis.

Elle avançait pensive. Elle avait très peur, elle ignorait ce dont la reine Olivai allait lui parler. Tout ce qu'elle savait, c'était qu'elle n'avait pas envie de lui parler de toutes ces histoires avec Balco. Salika doutait qu'il se passait quelque chose entre ces deux là. Peut-être que sa mère voulait lui en dire plus, peut-être voulait-elle lui parler de sa petite escapade de la nuit dernière. Elle arriva devant la porte et Margot retourna à son poste. Salika cogna 3 coups timides à la porte en attendant qu'on lui dise d'entrer.

Olivai ne dit rien mais elle ouvrit la porte et elle leva la tête en lui faisant signe de rentrer .Elle ne laissait personne rentrer mais elle voulait être tranquille avec sa fille .Elle la regarda l'air fathiguer et elle lui fit signe de s'assoir en avant d'elle et elle lu dit:

-Je doit te parler de plusieur chose Salika et je ne veux plus attendre .

Olivai ne la lacha pas du regard mais elle n'était pas du genre patiente alors elle voulait que sa fille comprenne un fois se quelle lui dirait se soir.

Salika regarda la pièce. Jamais auparavent elle n'y était entrée. Sa mère avait rendu l'endroit propice à la relaxation et à la réflexion. Le ton que sa mère utilisait rendait Salika très inquiète et stressée. Alors, pour briser la glace, elle regarda sa mère droit dans les yeux et lui dit :

-Dites moi tout ce que vous avez à me dire, mère.

La princesse ne pouvait pas rester en place. Elle faisait les 100 pas. Elle bougeait telle une girouette, encore pire. Elle savait que ce que sa mère lui dirait ne serait pas la meilleure des choses, vu son regard...

Olivai regarda sa fille faire les 100 d'un bar pis de l'autre sur se point elle n'était pas comme elle sur se point et elle prit la parole et dit:

-Tout d'abord au sujet de ta naissance .Oui c'est un viol mais je ne te donne pas le droit de dire par dessus les toits que tu es un enfants non voulu car ceci est plus que faut car si je ne t'aurais pas voulu je t'aurais mit en adoption . Je t'aime Salika même si l'homme qui m'a donné la joie d'avoir une fille comme toi ma blesser se soir la il m'a donné une chose encore plus précieuse.

Elle prit une inspiration et regarda la réaction de sa fille sur se qu'elle venait de dire.

De nombreuses larmes se mirent à couler sur les joues de Salika. Elle resta silencieuse pendant un long moment afin de trouver les bons mots pour dire ce qu'elle ressentait. Elle ne voulait pas blesser sa mère, ni se blesser elle-même. La princesse finit par répondre en pleurant :

-Mère, vous n'avez pas idée à quel point je me sens exclue du monde normal, de la vraie vie. Je me sens toujours de trop partout, je n'ai pas d'amis, je sais que vous m'aimez, mais parfois je me rabat sur mon propre sort, et je me dis que vous ne ressentez rien pour moi... C'est faux je sais, je suis indigne d'être votre propre fille. Indigne comme celui qui est mon père...

Elle ignorait quoi dire, mais c'était très sincère ce qu'elle avait dit. Elle pleurait, et réfléchissait. Elle pensait à tout ce qu'elle avait vécu avec sa mère, tout ces beaux moments joyeux... Salika n'arrivait pas à croire qu'elle pleurait comme cela en sa présence.

Olivai se leva avait déjà ressentit c'est sentiment là mais surment pas pour la même raison . Le jour où elle à su quelle saurais enceinte .Elle c'est sentit indigne d'être le fille d'un roi et elle lui dit:

-Je sais que c'est difficile d'être une personne de royauté.Je le sais parceque je le vie tout les jours .Tout sa va passer et se que tu as dit n'es pas vrai car ton père lui à fait quelque chose pour meritait cette indignation .Toi non et je ne veux plus entendre ces mots dans ta bouche car moi si tu es indigne moi aussi car tu es ma fille et tu n'es pas indigne de moi .

Olivai la prit dans ces bras avec quelque larme qui coulait car sa fille avait touchait une corde sensible à son coeur.

Salika répondit à l'étreinte de sa mère. Elle la serrait du plus fort qu'elle pouvait, de toutes ses forces. La princesse adorait sa mère plus que tout au monde et elle ne voulait pas qu'elle soit triste à cause d'elle... Elle lâcha son étreinte et dit à sa mère afin de changer de sujet :

-Vous vouliez me dire autre chose?

Déjà ce qu'elles avaient échangé était riche en émotions. Salika avait les larmes faciles ces temps-ci. Elle plongea son regard dans celui de sa mère, rempli de larmes...

Olivai la lacha .Elle ne pouvait cacher autre chose à sa fille qui avait le droit de savoir .Elle lui tourna le dos et elle lui dit sens détour:

-En faite deux chose la première . La première hier Balco ...

Olivai ne savait pas par où commencer mais elle essaya quelque chose mais elle n'était pas sur alors elle déclara:

-Hier soir Balco et moi nous somme apperçut de nos sentiment réciproque et je ne pouvait pas te le cacher car j'ai resentit que tu avait de l'attirance pour lui .

Olivai se sentit mal de lui avoir dit comme cela mais elle ne savait pas comment .Elle n'avait jamais eu de relation sauf avec son agresseur alors elle n'a rien fait de mal.

Les larmes de Salika recommencèrent à couler. Maintenant c'était plus des larmes de rage que de colère. Sa peau devint rouge écarlate, et la jeune femme s'éloigna de sa mère afin de faire son petit "discours" :

-Je sais que vous ne prendrez pas compte de ce que je vais vous dire, ou de ce que j'ai à faire dans cette histoire. Bien sûr que j'ai de l'attirance pour Balco. C'est très apparent. Vos sentiments sont irréversibles je sais, mais j'ai juré de ne plus parler à cet homme si vous vous mariez ensemble. Cet homme m'a pillé le coeur mère, il ne me parlait que pour me faire plaisir, seulement pour vous voir! Parce si nous je ne l'aurais pas ramené au château l'autre nuit, vous ne vous seriez aucunement connus! Je déteste cet homme du plus profond de mon coeur, et je pèse sur les mots en les disant. Je suis fâchée contre lui, mais ne vous sentez pas coupable,mère. Ce n'est pas de sa faute non plus, on ne peut pas toujours contrôler nos émotions ou bien ce que l'on ressent...

La jeune femme alla s'asseoir sur un petit banc, histoire de décompresser. La flamme de rage qui était en elle n'était pas brûlée. Elle était très frustrée, elle savait pourtant que cet homme était fou amoureux de sa mère et qu'elle ne pouvait rien y faire. Il était le premier homme qui avait été aussi charmant avec elle, mais malheureusement elle allait en garder un mauvais souvenir.

Olivai se retourna sens aucun discourt .Elle l'a regarda un moment et fut décut par les paroles de sa filles mais elle ne les cacha pas au contraire elle lui dit :

-Je ne sais pas se qu'il a pu te faire mais je sais qu'il es aussi gentil avec vous car vous lui avez parler gentillement et vous l'avez aider à votre manière .Cet homme est gentil et courageux .Je ne sais pas comment mais je suis tomber en amour avec lui et lui avec moi je ne peux pas enlever se sentiment en toi mais tu ne peux pas me dire que tu le déteste car il n'ai pas un homme qu'on peu détester il a était galant avec toi et il ne seras pas autrement et il est un homme bien etd'une certaine facon je suis lier à lui maintenant et se n'ai pas comme un mariage c'est différent si tu ne l'aurais pas ammener au château je l'aurais rencontrer d'une autre manière ...

Olivai s'en voulait maintenant d'avoir le vais le ton sur sa fille .Elle s'assit et prit son visage dans ces mains .Elle ne pleurais pas mais elle aurait voulu avoir quelqu'un proche d'elle pour l'aider à sa fille de controler sa colère et sa jalousie.

Salika n'avais pas apprécié comment sa mère lui avait parlé. Elle se frustra encore plus, et hurla d'un ton enragé :

-C'est ca! Je n'ai plus rien à dire, bonne journée et bon mariage!

Elle était si fâchée, cela l'insultait presque. Elle frodroya la reine Olivai du regard. Un regard rempli d'éclairs qui voulai tout dire. Elle se retourna, et dit :

-Bonne fin de journée.

Elle quitta la pièce en claquant la porte très fort sans se sentir coupable. Salika ne savait plus comment réagir. Elle avait été méchante, mais elle se dit que pour l'instant, elle avait dit ce qu'elle pensait...

Olivai ferma les points mais quand elle avait dit à sa fille . Cette révélation elle avait regrettait et elle ne pouvait plus rien faire .Elle sortit et alla vers la chambre de son père où celui-ci était assis à dans son lits .Elle cogna en disant :

-Père puis je vous parlez.

La servante ouvrit la porte et son père lui fit signe d'entrer .Elle s'assit à ces cotés et son père la fit coller sur lui en passant sa main dans ces long cheveux comme il faisait quand sa fille avait de la peine et elle lui dit en même temps tout se qu'elle avait dit à sa fille et de la manière qu'elle avait réagis écouta sans rien dire .Quand elle se releva les yeux humide même pour son père c'était l'une des seule fois qu'il voyait sa fille avoir des larmes au yeux et il lui dit:

-Si tu aimes vraiment cette homme et qu'il t'aime je ne pose pas à cette demande de ta part mais ces tout d'abord que ta fille ne seras pas d'accord par cause qu'il est plus jeune que toi et que elle aussi aimait cette homme .

Olivai baissa la tête et elle donna un bec sur la joue à son père et partie vers sa chambre .Pendant se moment elle avait eu l'impression de retourner quand elle était jeune elle alla directement dans les jardins .La nuits était tomber et les étoiles étaient magnifique .Elle marchait entre les plantes et vu le banc où elle allait lorsque sa mère était vivante et qu'elle n'avait pas hautant de chose à prendre en considération.

Pendant la sombre nuit, un énorme sentiment de culpabilité hanta Salika. Elle repensait à toutes les méchantes choses qu'elle avait dites à sa mère. Tous ces mots, ces phrases... Certes, elle était sincère, mais elle n'aurait pas dû y aller si fort. Sa force de caractère était très puissante et elle avait beaucoup de mal à se contrôler pendant ces moments difficiles. Elle cherchait désespérément la mystérieuse porte où le même après-midi, elle s'était chicanée avec sa mère. Espérant que sa mère n'ait pas bougé, elle réflichit pendant 5 bonnes minutes avant de cogner à la porte. Elle cogna trois petits coups timides et chuchota à la porte :

-Mère, c'est moi, Salika...

Elle attendit quelques secondes. Mais pas de réponse. La reine était déjà partie. Salika s'assit à côté de la porte, et se mit à pleurer sa méchanceté. Elle ne méritait pas d'être la fille de la bonne et gentille Reine Olivai. Elle ne lui ressemblait tellement pas...

Olivai avait oublier quelque chose dans la salle avant departir .Elle voulait l'offrir à la femme de jéref quand elle arrivera là bas elle déscendit sa cappe sur son dos et ces gant dans une main .Elle arriva en bas bouche bée de voir sa fille .Elle la regarda et elle lui dit :

-Salika que fais tu ici .

Olivai tenda sa main pour que sa fille se léve et elle lui poussa la porte avec ces sens et elle lui fit signe de rentrer dans la pièce les yeux regardant sa fille en larme .Elle rentra à son tour et prit le bijoux que son père lui avait donné la veille. .Elle le mit dans sa poche et mit son autre gant en regardant sa fille .

Salika continuait de pleurer, jusqu'à temps qu'elle entendit des pas. La personne approchait de plus en plus d'elle. Trop paresseuse et triste pour lever la tête, elle attendit que la personne s'en aille. Mais elle reconnu la présence de sa mère. La reine Olivai était là et lui tendait la main. La princesse prit la main de sa mère et se releva. Les larmes coulaient encore, mais Salika n'essaya pas de les essuyer. La jeune femme regarda sa mère et lui dit à voix basse :

-J'étais venue m'excuser, mère... La façon dont j'ai agi était très immature et irrespectueuse envers vous. Je sais que votre "union" avec Balco devient de plus en plus intime. La façon dont vous parlez de lui est magique, je peux voir qu'il y a quelque chose. Il est certain que je ne prends pas très bien cela, mais pour vous, je peux très bien faire un effort...

Cela lui avait prit beaucoup de courage pour lui dire ceci. Salika n'était pas une fille peureuse, mais seulement le fait d'entendre le prénom de Balco lui faisait mal au coeur. Elle ressentait un énorme pincement, ça lui faisait mal. Mais Salika savait que si elle cessait de s'oposer à cette union, la reine Olivai serait la plus heureuse des femmes sur le continent.

Olivai regarda Salika qui venait de dire son pardon .Elle passa sa main recouverte de son gants sur le visage de sa fille et elle lui dit doucement :

-Merci tu ne peux as savoir comment se geste peut m'enlever un poid sur mes épaules .

Olivai lui sourit et elle fut soulager de se la colère de sa fille et elle continua en lui disant :

-J'avais d'autre chose à te dire avant que tu partes de un je préférerais que tu limites tes sorties du château pendant mon absence et de deux je part voir un ami pour lui remète quelque chose .Nodas est déjà au courant et ton grand-père aussi.

La princesse était déçue de devoir rester au château pendant quelques jours, mais elle était contente que sa mère lui fasse confiance. Salika allait aider son grand-père à gouverner le pays pendant ce temps! Folle de joie, elle fit un grand sourire à sa mère et la mit en confiance en lui disant sur un ton joyeux et convaincu :

-Bien-sûr mère. Je ferai de mon possible afin de ne pas rendre la vie dure à grand-père, et je l'aiderai dans ses tâches.

Heureuse, elle bailla. Elle n'avait pas encore dormi sous l'effet de la pression. Elle regarda sa mère et lui dit sur un ton plutôt endormi :

-Je crois que je vais aller dormir. Bonne nuit.

Elle se dirigea vers l'escalier le plus près et monta tranquillement les dizaines de marches. Lorsqu'elle arriva en haut, ses yeux étaient trempés. Elle se dirigea dans sa chambre pour aller passer un restant de nuit digne d'une bonne nuit de sommeil.

Olivai la regarda paritr et elle se dit
*elle ne me ressemble vraiment pas sur certain point .*
Elle souria en continuant dans sa penser .
*Elle me ressemble sur le point de la colère et l'impolitesse sauf que moi j'ai appris .*
Elle monta les marche et sortie du château et parti.