Alvéole de Nekoss [PV Nekoss]

Nekoss avait bien entendu remarqué la sortie de la jeune Braise, mais il avait préféré lui laisser prendre un peu d'air. Il savait qu'elle y était habitué, mais un jour, il faudrait qu,elle arrête de sortir comme ça sans prévenir. Brusquement, il apparut devant elle sans crier gare et planta son regard glacé dans celui de la jeune fille.

"Braise..."

Prononcia-t-il d'une voix douce, mais pourtant glaciale, un peu ferme tout de même. Les enfants étaient comme ça. Parfois trop indépendants, parfois trop dépendants. Aucun milieu, juste des extrêmes. Il se demandait comme il avait fait avec Shana et Justine. Ce n'était pas tellement sa tasse de thé. Il était un dieu déchu, il était censé faire le mal. Il y avait des choses si compliqué dans la vie.

"Qu'est-ce que je t'ai dis?"

Il soupira. De toute façon, la fille d'Akeri et d'Hendrik avait un mélange de la détermination d'un Chevalier et de l'arrogance d'un Chevalier noir. Aussi bien parlé au vide. Il regarda autour de lui.

"Irianeth n'est pas un endroit toujours sécuritaire. En restant près de moi, tu es en sécrité mieux que n'importe où ailleurs, mais en quittant ma protection..."

Disons qu'il ne voulait pas se retrouver avec une morte sur les bras. Il avait autre chose à faire que de s'oblier àécouter le sermon remplit d'amertume d'Akeri. De ce côté-à, il avait assez donné.

"J'aimerais au moins que tu m'en parle avant de sortir, que je mette un bouclier autour de cette frimousse téméraire..."

Un sourire espiègle fleurit alors sur le visage de Hendrika. Elle voyait très bien ce que cachait le Dieu déchut derrière ses airs bourru et sévère. Un coeur aimant. Oh, la petite comprenait déjà très bien qu'il ne l'avouerais jamais, mais elle, elle savait.

Son sourire s'agrandit et ses yeux émeraude se mirent à lui avec malice. Elle se jeta alors à son coups et répondit de sa voix candide et enfantine, et avec une certaine trace de facétie.

"Je suis désoler de t'avoir inquiété oncle Nekoss. Je te préviendrai la prochaine fois."

Elle lui fit alors un bise sur la joue. Elle avait bonne espoir un jour de pouvoir le dérider un peu. Elle savait être patiente, quand elle le voulait.

Braise le serra alors une nouvelle fois dans ses bras.

"Merci Tonton ! Tu es le meilleur."

On pouvait sentir l'exitation et la gratitude dans sa voix. Elle apréciait réellement le dieu déchu, malgré tout. Par contre, le fait de devoir toujours obéir, elle n'était pas sur, et pourtant, elle allait devoir le faire aussi comme écuyer, alors autant commencer maintenant.

"Je serai obéissante, je ferai de mon mieux, promis."

par contre, elle n'avait aucune idée de par quoi elle aurait du commencer... Elle n'avait pas fait bien longtemps avec les autres élèves avant de venir ici.

"Je ne sait trop par quoi on devrait commencer, pourquoi ne pas faire de tout ? Je veut devenir un chevalier, mais habituellement on apprend pas les armes... Mais moi je veux tout apprendre !" Finit-elle par dire avec l'entousiasme et l'inocence de la jeunesse.

( si sa te dérange pas, je vais faire avancer le temps...)

Braise était concentrer, complètement absorbé par la tâche qu'elle c'était jurer d'accomplir. Elle était si déterminer qu'elle y passa toute la nuit. Petit à petit, elle arriva à faire léviter le cailloux, mais au début, elle n'arriva pas à le déposer, il retombait alors lourdement par terre, puis petit à petit, son contrôle se raffermit, elle passa alors au second cailloux. Puis, et finalement au troisième. Quand le soleil se leva, elle était encore à ses exercise, elle n'avait pas bouger et elle avait toujours la même détermination dans le regard. La fatigue se lisait sur tout ses trait, mais elle n'avait pas abandonné. Elle persévérait. Puis, elle réussi finalement à déposer le troisière et dernier cailloux, tel que demander par son parain. Un sourire fière étira ses lèvres et elle s'endormis d'un bloc, se sourir toujours sur les lèvres.

(aucun problème)

Nekoss la déposa sur son lit pour qu’elle y soit confortable. Il n’avait guère besoin de repos. Il s’assit sur le sol et ferma les yeux pour méditer. Lorsque Braise se réveillerait, il pourrait ouvrir les yeux. Il n’avait rien à faire. Il se décida donc à veiller sur sa famille de lui, en méditant.

Le temps passait alors et le soleil était haut dans le ciel puis commençait lentement à redescendre. C’était toujours aussi, les journées et les nutis se succédant. Il pensa soudainement à Braise, mais il ne semblait pas encore éveillée. Il resta donc en méditation, la laissant tranquille. Elle avait fait de beaux efforts.