Recontre trop souvent remise au lendemain.[PV William]

William se promenait lassement dans les millions de couloirs de la rûche. En fait, il n'avait rien à faire. Bien sûr, s'entraîner, encore et encore, ça aurait été bien, mais William était perdu dans ses pensées. Il avait l'Esprit perdu... Des tas de questions troumentait le pauvre petit esprit de jeune garçon. C'est alors qu'il déboucha dans la salle du trône. Un présence famillière si trouvait... Non pas celle de l'empereur, mais celle de Cassandre... Cette chère et magnifique Cassandre.... Elle avait été si gentille avec lui... William s'approcha d'elle. Dès qu'il fut assez près d'elle, il remarqua qu'elle pleurait. La jeune garçon eu un sourire sadique et, clama, tout fort:

-Et si ce n'est pas notre chère Cassandre.... Comment va-t-elle? Peut-être devrais-je dire, sans être poli, bien entendu, que fais-tu ici, sale vermine! N'es-tu pas supposé être aux côtés de l'empereur, pour des recherches!? Eh, non, puisque mademoiselle est ici, se prélaçant par terre! Sale esclave, je suis ton supérieur! Pourrais-tu me répondre, s'il te plaît!

Cassandre se releva lentement, un long frisson parcourant son dos, lentement, comme un doigt qui glissait lentement sur sa peau blanche comme la mort. Elle passa une main dans ses cheveux pour se les replacer. Ses larmes avaient séchées depuis un moment: en réalité, à l'instant même où la maintenant glaciale présence de William avait fait son entrée dans la pièce. Du sang encore sur son visage, elle se tourna vers lui, l'air fier et dégoûté à la fois.

- Si vous me laissiez parler, cher, ô, cher Être supérieur par rapport à ma petite personne, vous sauriez que je ne me prélassait pas au sol par plaisir.

Elle le regardait avec mépris maintenant. Cet être devant elle n'était plus William, mais bien plutôt un monstre.

- En réalité, je me désole de vous apprendre que votre sale vermine est ici pour avoir la sainte paix pour réfléchir au comportement de la sale vermine devant moi en ce moment.

Cela pouvait cependant être amusant. Un gamin de 7 ans qui se prenait pour le nombril du monde, et elle, elle s'amusait à l'énerver le plus possible en faisant tout en son pouvoir.

William arqua un sourcil. Cette petite l'amusait vraiment! En fait, si on pouvait dire ça comme ça, puisque Cassandre était beaucoup plus vielle que William!
Le jeune garçon se croisa les bras et regarda sa chère Cassandre.

Oh! Pardonnez moi! Je croyais que vous amusiez, sur le sol si froid de cette salle! commença William Mon comportement? Qu'a-t-il? Je edvrais peut-être TE remercier du compliment! C'est vrai, que je suis beaucoup plus mature que CERTAINES personnes...

C'est vrai, que William était assez même très mature, pour son âge... Le jeune démon, si on pouvait le dire ainsi, s'approcha de son sujet et lui affligea un coup de poings dans le visage. Avec tous les entraînements intensifs que Nephthys lui donnait, il était fort et agile, pour son âge.

-Si tu cherches à m'énerver, tu n'as pas encore réussi... Aujourd'hui, je suis plutôt d'humeur à m'amuser! Et toi, tu es mon jouet! Mon animal de compagnie! Mon cobaye, mon esclave! Tu ES à MOI! ricana le jeune garçon en regardant sa proie....

Cassandre sourit avec satisfaction, en essuyant du revers de sa main sa bouche, après le coup de poing étonnement puissant de la part de la marionette de Nephthys. Elle regarda un instant sa main, ne découvrant aucun liquide qui aurait pu s'associer à sa blessure au front, qu'elle s'était elle-même infligée plus tôt aujourd'hui.

- Mature? Vous parlez de vous, c'est bien cela? Saviez-vous que se croire, plutôt se convaincre, que nous sommes plus mature que les autres est souvent pour cacher notre immaturité?

Et paf, dans la face de William. Non, pas aucun membre du corps de Cassandre. Plutôt ses mots. Les mots blessent parfois beaucoup plus que les gestes, c'est reconnu: et elle n'avait pas l'intention de faire du mal physique à William, mais bien plutôt psychologique. Comme elle allait s'amuser, à évacuer toute cette frustration d'avoir aider à élever un monste pareil...

- Oh, et vous me faites beaucoup trop d'honneur, en me donnant le titre de Jouet de l'Être Supérieur. De la marionette sans âme ni raisonnement logique de Nephthys, je devrais dire.

Plus ça allait, plus Cassandre prenait un certain plaisir à sortir ces phrases longues et méchantes à propos de William et de sa liaison avec Nephthys. Oh, que cela allait être une magnifique journée...

William fit un sourire sadique. Elle essayait de le provoqué, mais, ça n'avait aucun effet, sauf peut-être la fait qu'il avait de plus en plus envie de faire du mal à Cassandre... en utilisant ses pouvoirs, par exemple... C'était dangereux de jouer avec le feu...
-Je suis peut-être immature, mais moins que toi, s'en est certain ! répliqua celui-ci



Il fit un sourire sadique. Il aimait maltraiter les gens... c'est pourquoi il fit quelque chose... d'horrible. Il prit un fouet, avec une mèche de métal au bout, et fouetta longuement Cassandre. La seul vu du sang, m'était William dans tous ses états. Il ADORAIT....

-Oui, tu es un pauvre petite marionnette de Nepthyhs ! Elle adorait passer du temps avec toi, j'en suis certain! Mais, puisque tu m'as abandonné à mon sort, quand j'étais plus jeune, je ne vois pas pourquoi tu en aurais honneur! siffla-t-il

Bien sûr, Nepthyhs, lui avait raconté que Cassandre l'avait lâchement abandonnée, puisqu'elle ne l'aimait plus et bla bla bla! Toutes sortes de méchancetés du genre! Le pauvre ne se rappellait plus du bon temps passé, avec sa tutrice... Cassandre...

Cassandre eut un léger mouvement de recul au premier coup. Elle essaya de ne pas trop le laisser paraitre, pour ne pas qu'il y prenne trop plaisir. Cependant, comme la torture continua plusieurs minutes, elle ne put s'empêcher de grimacer quelques fois, se retenant de ne pas crier. Mais maintenant, elle y était. Le hurlement attendait de sortir; il lui brûlait les lèvres. Ces pauvres lèvres tremblotantes. Du sang commençait à colorer sa tunique blanche et bleue pâle, à sa plus grande horreur. Des marques allaient être pour toujours sur sa peau, signe de la violence évidente de William.

Lorsque les coups cessèrent, ou diminuèrent au moins, elle se redressa un peu plus: ses genoux avaient fléchis, mais il n'était pas question qu'elle soit à genoux devant ce monstre. Ce gamin, au fond... Un simple gamin, aux pouvoirs extraordinaires, à cause d'une Déesse-Mère folle à liée.

- Ha! Tu n'as donc pas compris, William, cracha presque Cassandre, essayant de reprendre de son mieux sa balance. Tu es la marionette de Nephthys. Tu t'éxecutes sans te poser de question. Tu n'as pas d'âme William. Tu n'as pas de conscience.

Il valait mieux éclaircir les choses: après tout, c'était un gamin, il était vrai qu'il ne pouvait pas toujours exactement tout comprendre ce qu'une rande personne disait. Cassandre se tenait de son plus droit dans ces conditions totalement ridicules, prête à recevoir tout ce que William voulait bien lui lancer verbalement ou physiquement.

William s'amusait follement à fouetter la pauvre Cassandre. Peut-être que celle-ci ne voulait pas qu'il sâche qu'elle avait peur. Non, il n'en avait besoin, puisqu'il le sentait. Elle avait peur la pauvre âme... William prenait plaisir à la faire souffrir. Il écouta Cassandre, et, il éclata tout simplement de rire. Un rire sadique et diabolique.

-Ahhh! Cassandre, Ma chère Cassandre! commença-t-il en s'approchant d'elle et en lui prenant dûrement le menton entre ses doigts Je sais, que tu peux être jalouse, et je comprends. Maître Nepthyhs m'as donnée de merveilleux pouvoirs! Je suis le plus fort des guerriers d'Irianeth! Et s'il te plaît, ne m'oblige pas à me servir de mes pouvoirs, contre toi! Mais, plus j'y pense, et je me dis que, ça ne te ferais pas de tort que je t'en montrer quelques-uns... Histoire, de voir, ce que je suis! ricana-t-il

Maintenant, il ne s'en rendait pas compte, mais plus tard, le pauvre William se renderait compte, que la déesse mère, lui avait volé, son enfance...

Cassandre éclata de rire à son tour; pourquoi elle riait? Elle riait de tout ce que pouvait bien lancer son cher William. Comme si elle, Cassandre (des Cieux) pouvait être jalouse, d'un gamin qui se faisait manipuler comme jamais, par une déesse vile et sans sympathie. Non, ça jamais. Et même si lui, il avait des pouvoirs, sans nul doute magnifique et puissants, elle s'en fichait carrément, comme elle se fichait désormais de toutes les histoires de son enfance qui différaient d'une de l'autre. Elle sourit de façon mesquine, chose presque anormale pour une femme aussi pleine de vie et positive que Cassandre pouvait bien l'être.

- Soit, dans ce cas. Teste donc tes fameux et puissants pouvoirs sur moi, pour voir. J'en jugerai par moi-même, s'ils sont si dévastateurs que tu oses le croire, William.

Elle pourrait bien en ressortir blessée profondément: autant vis à vis l'orgueil, que physiquement et psychologiquement. Mais rendue à ce point, mourir ou se faire blesser l'importait vraiment peu...

(je suis désolé de gros laps de temps, ma chère Cassandre.. Disons que mon inspiration n'y était pas...)

William arqua un sourcil. Elle était prête à souffrir? Tant mieux, il n'aurait pas à ce justifier à personne, puisqu'il avait son consentement! Quel pouvoir allait-il utiliser en premier...? Ah oui, celui-ci, seulement en guise de réchauffement! Il lui accorda un sourire sadique et la fixa de ses yeux bleu glace. Il étendit la main devant lui, et la ferma, lentement. Ce qui fit, sur Cassandre, que ses poumons se refermaient peu à peu, doucement... Une torture lente et douloureuse. Dès que le pointg de William serait fermé, au complet, Cassandre, ne serait plus...
-C'est confortable? clama celui-ci

Cassandre, au début, se demanda bien qu'est-ce qui se passait. À part qu'il fermait son poing... très lentement. Mais plus ça allait, plus elle sentait une sensation oprimante dans la poitrine. Elle porta une main à sa gorge, ouvrant tout grand ses yeux; elle... étouffait? Dans le sens d'étouffer? Oui, dans le sens d'étouffer. Quelle sensation horrible et désagréable. Avec effroi, elle se sentit faiblir. Sa vue s'embrouillait et les sons embiants diminuaient. Oh, donc il essayait... de la tuer? Intéressant. Mourir, pour elle, ne voulait plus rien dire. En fait, ça serait une délivrance.

- C'est... très confortable, William... murmura-t-elle, tombant sur son genou droit, sa main gauche toujours à sa gorge.

(Un mois plus tard dans les maritines! >< DÉSOLÉ!)

William regarda la pauvre Cassandre tomber lamentablement. Il relâcha son poing, pour qu'elle retrouve sa respiration, normale.

-Je suis content que tu apprécies! Tu m'amuses tellement! Alors, puisque tu as l'air d'aimer ça, voilà pour toi! JE suis sûr que 'est plus confortable!

Sur ce, il leva la main. Cassandre leva dans les airs. William la dirigeait, avec sa main. Il allait son pouvoir de lévitaion, pour la torturer! Il la dirigea vers un mur, qu'elle frappa dûrement. Bien ententdu, elle frappa quelques objets au passage. Puis, elle l'envoya virefolter sur la rangée de rayons de bibliothèque. Il la laissa tomber par terre, et toute les bibliothèque, ainsi que leurs contenue, tombèrent sur... Cassandre...

[Pour le trip de recommencer... ce RP sadique. xD]

Cassandre sentit sa respiration arrêter lorsque son dos pris le premier coup dans le mur. Sa tête frappa durement ce dernier, la mettant automatiquement en sang. Au deuxième coup, elle sentit son poignet faire un mouvement étrange, suivit d'un crac absoluement dégoûtant. Lorsqu'elle frappa quelques objets répartis sur des étagères, elle sentit encore une fois sa respiration cessée momentanément. Heureusement qu'il ne l'étranglait plus. Ça aurait été une horreur. Cassandra sentit des éclats de verre d'une fiole de cristal taillader la peau de sa main droite, sa main d'épée.

Le dernier coup, celui des bibliothèques, lui coupa une fois de plus le souffle. Lorsqu'elle eu atteint le sol, elle prit toutes les forces qu'il lui restait pour faire une rapide pirouette hors de la trajectoire de la bibliothèque. Malheureusement, sa pirouette ne fut pas assez puissante. Sa jambe droite fut impitoyablement écrasée par la bibliothèque, lui arrachant un cri de douleur qu'elle ne s'aurait jamais cru capable de faire.

Des larmes se formèrent dans ses yeux avant de couler librement sur ses joues. Elle allait mourir comme ça? Tuée par celui qu'elle avait prit le temps d'élever en l'absence de la fameuse déesse Nephthys? Qu'elle aille brûler en enfer, cette femme... Non, ce monstre. Ce démon...

- William... murmura-t-elle, à peine audible, au milieu de hoquets.