:.. Darrel de Zénor .::

Nom: Darrel
Âge: 19 ans
Royaume Natal: Zénor
Race: Humain
Fonction: Paysan
Logis: Zénor

Description Physique: Darrel a les cheveux brun foncé. Il a les yeux bleu azurés et s’assombrissent lorsqu’il se met en colère. Son regard devient dès l’hors plus glacé et plus perçant. Se jeune homme est plutôt grand et a une force musculaire qui lui est propre. Les yeux en amandes et son visage parfois caché par une mèche lui donnent un air mystérieux qui est loin de lui déplaire. Darrel n’est pas de ceux qui sourient tout le temps pour rien. Il gardera le visage impassible à moins de trouver la bêtise humaine amusante.
Caractéristique: Comment pourrait-on décrire son caractère? Aussi changeant que la mer. Calme sous un beau jour, déchaîné sous un ciel de tempête. On ne peut décrire une personne aussi changeante. Pourtant, avec une certaine chance, on peut en percevoir une partie. Il a … comment dire …, plusieurs caractères. Il sait mettre son cœur à l’abri des coups durs, comme il peut l’avoir de glace face à l’ennemi. Il dit se qu’il a à dire sans avoir peur des répercutions. D’une certaine façon, c’est comme si rien ne le touchait. Il ne cherche jamais la bagarre pourtant, il a le don de provoquer, de toucher un point sensible qui fait exploser l’impulsion. Mais, il a aussi ses bons côtés. Il a se petit côté moqueur qu’il garde pour toutes les occassions qui se présente a lui. Un esprit léger, le cœur à la fête. Par contre, il n’agira jamais sur un coup de tête. Un geste, une parole, tous a sa place. Malgré son défaut, il pèsera les pours et les contres, les façons de réactions. Érudit, connaître est sa façon d’agir. Rebel un peu sur les côtés. Par contre, il a l’esprit ouvert au reste du monde qui n’est pas comme lui. Au reste du monde de découvrir son caractère. Parfois connaître une personne ne veut pas nécessairement dire la connaître. Toute personne à plusieurs visages, Darrel n’en fait pas exception, heureusement. Il garde tout de même un caractère plutôt téméraire. Toujours près à agir. Pourtant, il reste tel que le vent : Libre, sans attache.
Qualités / Défauts: Darrel est le genre d'homme qui à une facilité avec le genre humain. Le socialisme est sont point fort. Dans le meilleur ou le pire - surtout le pire-, il y a toujours un bon côté a tout. Rester optimiste n'as jamais tuer personne. Quoi que le ridicule non plus. Darrel n'as aucune peur face au ridicule. Après tout, vaux mieux en rire que dans pleurer! Côté défaut, il agira souvent sur un coups de tête, il est plutôt du genre prompt. Le proverbe - toute bonne chose n'est pas toujours bonne a dire - à son importance. Darrel est provocateur à ses heures. Il dit franchement et blesse involontairement.
Objectif qu'il souhaite atteindre: Ne pas me faire tuer? Non Sérieux, je suis paysan mon but serais de rester vivant.
Pouvoirs: Auncun

Signes Particuliers: Passe sa langue sur sa canine droite lorsqu'il est nerveux.
Équipement: Auncune arme permanente
Cheval: Aucun

Histoire:
| Un jeune homme s’avança devant l’assembler et dans un mouvement sans grâce, prit place sur un banc de bois et ferma les yeux. Des murmures parcourus bien vite la petite foule. Cet homme n’était pas du village : un voyageur. Les voix se turent lorsqu’il rouvrit les yeux et les plongea dans ceux de la foule. Cette nuit, un doux soufflé hivernal balayait le village. Comme à chaque année, ceux-ci prenait place dans la petite chapelle et se racontait des histoires passées.

« - Je vais vous raconter une histoire à tour, fit l’inconnu du village avant de prendre une profonde respiration. »

L’idée de partir le répugnait, mais ne trouva pas d’autre solution. L’homme prit ces maigres effets pour les rangés dans un sac de toile, qu’il mit sur son épaule. Au moment d’ouvrir la porte, sa main trembla. Constant se tourna une dernière fois vers la pièce où il avait retrouvé morte sa femme. Le corps inerte de Jayma devenue aussi blanc que la neige de la vieille, le fit frissonner. L’illusion du sang de celle-ci refit surface. Pendant un court instant, il ferma les yeux. Mais, les ré ouvrirent aussitôt. La scène, tout lui revenait à l’esprit. Constant se fit violence. Sachant qu’il ne pouvait retourner dans le passé, fit demi-tour puis sortit finalement de la demeure.

La blancheur hivernale, le froid, le cloua sur place. Peut importe se que sa tête disait son cœur réclamait la vengeance et l’oublie. D’un pas hésitant, il posa le premier dans la neige molle, puis l’autre. L’insistant à s’éloigner toujours plus. L’obligeant à pouvoir oublier. Après une bonne heure de marche, le cri de sa femme refit surface. D’un geste brusque, tira son poignard, Constant se retourna et regarda autour de lui. Un vent violent lui fit reprendre ses esprits en le ramenant à la réalité. Il ne pouvait tout simplement entendre Jayma car elle n’était plus. La nuit commençait, il devrait trouver refuge pour la nuit, s’il ne voulait pas mourir geler.

Une tempête se leva. Un rideau opaque de neige se dressa devant ces yeux, devenant aveugle. Il crut marcher droit, mais marchait en arc. La froideur, l’enveloppa. Il commençait à avoir froid. Sentant son souffle se couper, il tendit les bras et toucha un bois lisse sous la neige. Doucement, il glissa sa main vers la droite. Sa main touchait maintenant le verre. Continuant, il fit ainsi le tour de la maison. Dès qu’il toucha la porte, Constant frappa. Une voix chaude, mais réservée lui indiqua d’entrer. L’homme tourna la poigner et entra. Assit dans un fauteuil, un vieillard fumait sa pipe près d’un bon feu. Constant demanda l’hospitalité pour la nuit. Le vieux accepta lui fessant remarquer que de toute façon, il ne pourrait aller bien loin dans cette tempête. Le vieil homme se leva de son fauteuil et se dirigea dans une autre pièce. Constant déposa son sac de toile et rejoignit l’autre homme. Celui-ci lui préparait un lit de fortune.

« - Je vous suis reconnaissant, fit l’invité »

L’homme lui répondit par un sourire et poursuivit sa tâche. Le vieillard lui servit un potage chaud ainsi qu’une galette blanche. Constant mangea avec appétit pour finalement s’endormir … Encore une fois ses images lui revient. Le sang, les vêtements déchirés de son épouse et tâcher par se liquide rougeâtre. Constant se réveilla en sursaut, assit sur le lit, seulement vêtu d’un pantalon, couvert de sueur, la respiration haletante … Tranquillement, il reprit son souffle et se laissa lourdement retomber sur le dos. Les yeux levés au plafond, il n’osait plus dormir. Au matin, il mit une tunique chaude et se dirigea vers la cheminée. L’invité rajouta deux bûches dans l’âtre et mit de l’eau à chauffer. Le vieillard s'était lever et sortait de sa chambre au même moment en lui demandant s’il avait bien dormit. Constant lui mentit en lui disant que oui et lui afficha un sourire. Après le premier repas, Constant partit de nouveau sur les sentiers enneigés.

Les questions, des images, touts se bousculaient dans sa tête. Si bien, qu’il porta ces mains à celle-ci. Mais les retira presque aussitôt. Constant arrêta sa marche et posa un regard surprit sur ces moufles. Une tâche rougeâtre était sur celles-ci. D’un geste brusque, il enleva l’une d’elle et tâta son crâne. En arrière de celle-ci, il découvrit une plaie. Comment pouvait-il s’être fait telle blessure? Puis se souvient de son cauchemar, celui qui le hantait. Sentant sa main geler par des picotements, il remit sa moufle et continua sa route.

Il avait marché jusqu’à l’aube s’en trouver la moindre demeure ou abri pour la nuit. Le gèle avait couvert sa chevelure noire. Épuisé, affamé, il se dit que sa route finirait ici. Puis, se révisa. Monter sur une colline qui surplombait un petit village, Constants fut surprit de voir tant d’agitation à cette heure. Avec prudence, il descendit et regarda la population bouger au rythme des battements de son cœur. Mais, il n’était pas le seul à regarder, à découvrir. Une jeune femme, vêtu chaudement aux couleurs du village marcha vers lui, mais l’esprit ailleurs, Constant ne la vit pas.

« - Mon pauvre homme vous semblez épuisé. Suivez-moi! »

Lui dit-elle en le tirant par le bras sans lui laisser le temps d’émettre sa réponse. Elle le poussa dans l’entrée de la petite demeure. Une chaleur et une odeur lui étaient familières. La jeune femme avait disparue, lorsque Constant vient pour poser le regard sur elle. Le jeune homme se dirigea vers la provenance de l’odeur. À peine sur le seuil de la porte, il ouvrit les yeux. La jeune femme assit sur un cousin à même le sol, le regard tourner vers les flammes. Les cheveux ondulaient dans son dos, les mains croisées sur ses genoux. Lorsqu’elle se rendit compte que Constant la regardait, elle tourna le regard vers elle lui fessant signe de venir s’assoir et de manger. Pendant qu’il mangeait, Lilly regardait son visage pâle par le froid de l’hiver, encadrer par une chevelure noire, si foncée que la nuit en était jalouse. Son regard pétillant d’une énergie si vive, lui donnant un éclat d’un vert inimaginable.

Doucement, elle se leva et se dirigea vers lui. Constant leva le regard vers elle, alors qu’il avait terminé. Lilly maintenant devant lui, prit place sur ses jambes et déposa un baiser sur ses lèvres, puis recula pour le laisser réagir. Constant resta surpris de son geste mais ne chercha pas à la repousser tant il avait besoin de retrouver un point de repaire. Ne voyant pas de refus de sa part, elle passa ses bras autour de son cou de déposa un second baiser, celui auquel Constant répondit. Trop longtemps, il avait été privé d’une émotion telle que celle-ci. La chaleur, l’odeur d’une femme qui ressemblait a Jayma. Pour la première fois depuis sa mort, il chassa de son esprit l’image de celle-ci, la sensation des lèvres de Maria sur les siennes, ainsi que ces bras jouant sur sa nuque.

On retrouva le corps du malheureux dans la neige près de sa demeure. Celui-ci, à la demande de sa femme, était sortit chercher du bois. Il fut tué le premier. Lorsque le corps sa meurt, le cerveau est le dernier à quitter le navire. Constant eu simplement à tendre l’oreille pour entendre les cris apeurés de sa femme. Le reste, il n’en fut rien. L’âme n’en fit qu’une illusion, rien de plus. Par les cris de douleur du cœur, l’âme créa une histoire, une utopie pour rendre le cœur moins lourd. On ne raconta jamais l’histoire de sa vie. N’y aujourd’hui, n’y demain ne connaîtra son récit par écrit. De par le souffler du vent d’hiver, il rencontrerait son histoire pour qu’un jour on puisse connaître qui il était.

« - Comment connais-tu cette histoire?, demanda soudainement une jeune femme. »

Le conteur tourna le regard dans sa direction et un mince sourire apparu sur ses lèvres. Pendant un instant, il ferma les yeux de nouveau et chanta à voix basse une douce mélodie sans paroles qui alla se murmurer sur les murs de la chapelle puis lorsqu’il rouvrit les yeux.

« - J’eu la chance de la vivre, répondit-il d’une voix rauque, remplie par l’émotion avant de disparaître devant l’assembler ébahi. » |

Voici l'histoire qu'on me raconta la première fois. Je sus alors que la magie était réelle et qu'elle pouvait avoir de terrible impact sur la vie. Je fus heureux de savoir que je n'étais nullement magique. Passons! Commençons depuis mon arriver.

Je naquit dans le royaume de Zénor. Ce royaume en bordure de l'océan qui nous sépare de l'ennemis et qui a tant vue de masacre. Mes parents son des habitants de se royaume. Mon père tiens le métier de forgeron et je serais son successeur. J'ai une seule soeur, Mariella et, aucun frère. Je grandi de se même village où je fis les quatre-cent coups. Lasko, Terrence et Mathias ainsi que moi formions, l'équipe de malheurs. Manière de parler bien attendu. Si l'un deux était dans une situation ... délicate, les autres n'étaient jamais loin derrière. La jeunesse est tel que tout nous est insinifiant. Je vieillis et m'endurci dans la force de mon père. Je ne suis plus le gamin que j'étais, mais je garder contact avec eux. Aujourd'hui, ma soeur se retrouve mariée depuis peu et je suis rester - d'après ma mère -, un vieux garçon.
Mon histoire ne fut pas aussi passionante que la précédante, pourtant, celle-ci est la mienne.


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Expérience en RP: J'ai un peu plus de 7 ans en Rpg
Âge: 18 ans
Êtes-vous actif? Je suis là a tous les jours. Par contre, les Jeudi soir ( 6h00 à 10h00 )et les Samedi ( 9h00 à 4h00 ), je suis indisponible.
Référence: Un ami ma référé.

S'est moi l'ami !

Welcome Darrel.

Bienvenue ^^

Un Merci à Vous Deux!
Mais la j'aimerais savoir si y'a quelque chose qui cloche dans ma présentation.. Parce que y'a personne qui a dit '' Acceptée ''

Je suis peiné...

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Welcome Darrel

Sexy ton ava! XD En tout cas pour moi c'est accepté, mais ça ne change rien tu reste pris là et à flooder! Attend un autre accord d'un autre modo ou admin! XD

(Myria ici, les amis. )

Shinyy, pourrais-tu mettre la couleur et verouiller s'il te plait? En plus, il est dans AUTRES! Tu as une couleur à mettre ma puce! C'est accepté pour moi!

bienvenue parmis nous et amuses toi bien

Bienvenu et bon jeu.

Bienvenue Darrel^^