Qu'est-ce que tu fais là ? ( Pv Gaelle )

C'est ma première journée en temps que chef des chevaliers d'Émeraude. L'annonce à été fait par Lucca dans la matiné. D'ailleurs, elle ne voulait aucune opinion face à sa. '' Je choisis Alexandre, un point c'est tout. '' À première vu, c'est super comme sensation pour un homme d'avoir un certain pouvoir. Mais est-ce que je sais comment m'en servire ? Le pouvoir c'est quelque chose de fragile. Peut être que c'est le fait que je suis surement le plus vieux d'entre eux ? Sa m'étonnerais. J'ai toujours trouver mes confrères un peu plus fort que moi. Depuis toute l'après-midi, je me promène dans tout les racoins de ce château. J'avais mes pensées qui me hântait énormément. Un peu plus et j'avais un migraine.

Bref, je me promenais de place en place pour finalement arriver au jardin. J'étais un peu incertain de cette endroit. C'était une place immense et jamais de ma vie je n'avais mis les pieds dans cette endroit. Je tournais un peu en rond la dedans. Je marchait lentement toute en observant les différentes fleurs qu'il y avait. Je devais avouer que c'était magnifique mais sans plus. Sa m'impressionnait pas plus qui faut un jardin. Puis j'arriva dans un grand carré ou il y avait quatres bancs de deux places. Il y avait une personne et je savais c'était qui. Gaelle. Une chevalière. Elle était assise tout seul et regardait dans le vide. Je marcha jusqu'à elle pour ensuite allez m'asseoir à côter d'elle.

- S'il te plaît, dit moi pas que tu voulais être chef et que tu es déçu. Si c'est sa,... Humm... Bah je m'excuse ?

Dis-je maladroitement.

Un pas après l'autre. Une marche sans vraiment de repères. La route de l'infini inconnu. On m'avait toujours dit «Mieux vaut être seule, que mal accompagnée». J'étais tout à fait d'accord, à l'époque. Je l'étais encore aujourd'hui, d'ailleurs.... Mais, la solitude pèse plus lourd qu'on ne le pense. Dès que vous faites sa connaissance, c'est comme si elle vous marquait au fer rouge. Et, grâce à cette marque invisible, sauf pour les yeux du coeur, elle revient enquiquiner votre malheur de temps à autre. Dès qu'elle vous voit, ne serait-ce qu'un tant soit peu, broyer du noir, elle surgie, maligne tueuse mélancolique, en vous suçant le peu d'espoir qu'il vous restait.

C'est ce qu'on appel : l'abandon.

Il faut croire que, c'est ce qu'il m'arrivait. Sauf que moi, j'étais encore debout, parce que, même si j,avais pour mauvaise habitude de côtoyer la solitude ces temps-ci, j'avais toujours mes amis...



Mais, aujourd'hui, ça avait frappé fort. La solitude avait appelée des renforts...

La nostalgie m'envahissait, me détruisait tranquillement. Ce qui me gardait toujours en vie, c'était l'espoir sans bornes, qui semblait vivre à l'intérieur de mon âme. J'étais peut-être triste et nostalgique, mais je n'étais pas désespérée. Ça, jamais.

Puisque tout le monde avait l'air plus au moins occupé, j'étais sortie prendre l'air, dans les jardins. Je n'étais pas quelqu'un de bien romantique, mais, j'aime bien les fleurs. Elles me semblaient joyeuses et pleine d'énergie, et ce, sans arrêt. Un léger sourire effleura mes lèvres. Il m'en offrait toujours, espérant finir par me rendre romantique. Tentatives qui s'étaient avérées veines.... !

J'étais totalement perdue dans mes vieux souvenirs quand, je sursautai en entendant la voix d'Alexandre, tout juste à côté de moi. Je ne l'avais même pas senti arriver! Il avait été nommé chef, ce matin. Je l'avoue, j'avais voulu être chef, depuis que j'étais toute jeune. Mais, j'étais contente pour lui! Je n'étais pas jalouse, ni déçue! Après tout, si la reine en décidait ainsi.... c'est qu'elle avait une raison.... Et puis, rien n'arrive pour rien! Et, c'était mieux ainsi!

- ... Huum. Dis-moi, j'ai l'air de quoi pour que tu me demandes ça? demandais-je en le fixant de mes yeux violets, eh puis.... tu n'as besoin de t'excuser pour ça. C'est la reine qui t'as choisi, et ce n'est probablement pas pour rien.