Amy entre au chateau.

Le soleil se levait a l'horizon, de l'autre coté des montagnes de crystal. Il faisait déjas chaud, ce qui annoncait une journée assez chaude, comme d'habitude, quoi! Une enfant arriva devant la pont-levis lorsqu'il amorçait sa déscente. Elle attendit patiament, regardant le ciel. Le ciel était rose, parsemé de quelques petit cumulus. Des nuages fins et bas. La plupart du temps, ceci annonçait souvent de la pluie et des orages... La saison des pluies arrivait. Amy était heureuse de ne pas avoir a faire le chemin entre sa maison et Emeraude sous la pluie.

Une fois le pont-levis completement descendu, elle s'avança dessus. Elle croisa des gardes qui lui demandèrent pourquoi elle était ici. Amy leur avait tout simplement répondut qu'elle venait pour être élèvre au près du magicien d'emeraude. Puis, elle traversa la grande coure maintenant baignée de soleil. Quelques serviteurs s'afairait ici et là. Amy finit par entrer dans le grand hall. Elle resta figée sur place, ne sachant que faire.

Amy regardait son jeune ami d'un air interogatif. Son expression était dut a sa question. La réponse était défénitive dans l'esprit de Amy, c'était: non... Mais une minutte, maintenant qu'elle y pensait 2 fois plutôt qu'une, son visage lui rappelait quelque chose... On dirait qu'elle venait de trouver alors que lui s'en rappelait nettement... On dirait... Amy devait avoir une plus petite cervelle que lui...

"- Maintenant que vous le dites... Oui... Peut-être vous-aije vu au puis du petite village ou j'allais souvent; j'habitait dans la forêt près d'un petit village assez pauvre... "Dit-elle, presque dans la lune.

Tout ça la ramenait au même point de départ: la mélancolie. En vérité, la mort de son père était toujorus douloureuse. Elle n'avait pas tout a fait fait son deuil... Elle avait encore l'impression que c'était de sa faute. Maintenant orpheline, elle se sentait seule, elle avait toujorus vécu dans les jupons de sa maman puis dans les bras puissants de son père. Elle le croyait tellement invincible... Son âme de petite fillete lui souflait que c'était impossible qu'il soit mort... Un petit feu n'aurait pu le tuer... il était invincible. Puis la petite voix de la maturité très avancée qu'elle avait a cet âge lui souflait qu'elle était seule qu'elle devait se débrouiller...

Un larme coula sur sa joue qui était quelques minuttes auparavent roses de bonheur. "Désolé..." murmura-t-elle avant de l'essuyer en vitesse.