Le coup de grâce! [Pv Thrain][terminé]
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Re: Le coup de grâce! [Pv Thrain][terminé]
J’avais remarqué avec joie que Shiny m’avait rendu mon sourire, puis un léger sursaut quand je repris parole pour lui annoncer les raison pour lequel je ne pouvais pas laisser le chaton avec sa vrais mère. Je la sentais un peu pensive, puis je la vis approché son visage du mien, et j’en fus un peu surpris, quoique agréablement. Elle fini par poser ses lèvres sur mon front, ce qui me fit frémir. Ce contact était aussi inattendu qu’agréable. Je ne m’y attendais pas du tout, mais j’en appréciais l’aubaine.
Puis elle fini par s’éloigner après ce baisé surprise d’autant plus magique qu’inattendu. J’avais vraiment été transporté ailleurs durant tout le moment, où ses lèvres avait touché mon front. La surprise avait était tel que j’en avais arrêter de caresser le chaton, et que j’avais été a deux dois d’interrompre le traitement… C’était vraiment un moment magique que je venais de vivre, moment que je savais déjà gravé à jamais dans ma mémoire…
Elle se recula ensuite pour préparer le pique-nique, pendant que je me remettais aussi tôt a caresser le chaton dans mes bras. J’avais encore la sensation que m’avait laissé ses lèvres sur ma peau, et cela me déstabilisais un petit peu. Je l’écoutais en terminant doucement le traitement : Je commençais a diminuer la quantité d’énergie que je transmettais au chaton, si j’avais coupé la liaison directement, son corps se serai retrouvé en manque de cette énergie étrangère et aurait fait une rechute immédiate. C’est pourquoi il était important que je fasse en sorte que la disparition de mon énergie se fasse progressivement.
« Je suis désolée de pas vous avoir demandé la permission pour faire ce geste, mais je voulais savoir si vous n‘aviez pas de fièvre.»
« C’était donc pour me prendre la température ! » fut ma première pensé, très vite suivis par « Elle s’inquiète pour moi ! » La première me permis de comprendre son action, quand à la seconde, elle me fis plaisir toutefois, je ne voulais pas l’inquiéter inutilement. Aussi bien pour la fièvre que son doux baisé. Elle n’avait pas a être désolé. J’allais la détromper pendant qu’elle cherchait de quoi préparer le pique-nique quand le chaton dans mes bras bougea un peu. Je focalisais alors mon attention sur lui, pour savoir pourquoi il avait eu cette réaction : Mais ce n’était rien, juste l’organisme de ce petit chat qui commençait a se demander si la quantité d’énergie qu’il recevait n’avait pas changé. Et je fus heureux de constater que pour combler le manque, il puisait dans l’énergie que je lui avait déjà transmis. C’était une bonne chose, cela voulait dire que dorénavant il n’avait plus besoin de moi. Il ne me restait plus qu’a couper le lien lentement et ce serai bon.
Pendant que je terminais mon soin, je m’aperçus vaguement que Shiny avait un petit problème avec ce qu’elle avait emporté. Je ne savais pas ce qui la gênait, mais finalement ce ne devais pas être si grave car elle fini par partir d’un grand rire au moment ou je finissais mon analyse du chaton.
« Oh la que je suis tête en l‘air! J‘ai pas apporté de couverture et à la place d‘apporter des assiettes j‘apportais des bols. Je m‘en excuse vraiment, avoir su, j‘aurais prêté plus attention à ce que je faisais!!»
Je souris doucement, ce n’était vraiment pas grand-chose, et c’était un peu ma faute… Je lui avais précisé ce camping sans même pensé à l’aider, mon seul objectif étant de m’occuper de l’intendante. De l’intendante et de son homme de main qui avait osé blesser Shiny au visage. Résultat mis a part le lait que j’avais toujours sur moi, je n’avais pensé a rien, laissant Shiny tout faire.
-Tu n’as pas a te reprocher quoique ce soit. Dis-je en jouant sur le fait que je pouvais parler du baisé comme du pique-nique. Et pour ce qui est du pique-nique j’aurai également du t’aider, or je n’ai pensé a rien moi aussi. Un peu d’improvisation ne nous fera pas de mal…
J’allais continué sur autre chose quand je remarquais que l’énergie que je transmettait au chat était devenu absolument négligeable : Le traitement était presque achevé, je le sondais une dernière fois pour être absolument certain que tout irait bien, et je coupais la liaison : Son état était stable, et il avait suffisamment de mon énergie pour tenir au moins trois jours, peut être même quatre s’il dormait beaucoup. D’ici là, son problème de faiblesse devrait avoir disparu et ce chaton n’aurai plus besoin de moi qu’en tant qu’ami. J’éteignis alors mes mains et les levaient pour montrer a Shiny que j’avais fini.
-Le chaton est sauvé !
Puis elle fini par s’éloigner après ce baisé surprise d’autant plus magique qu’inattendu. J’avais vraiment été transporté ailleurs durant tout le moment, où ses lèvres avait touché mon front. La surprise avait était tel que j’en avais arrêter de caresser le chaton, et que j’avais été a deux dois d’interrompre le traitement… C’était vraiment un moment magique que je venais de vivre, moment que je savais déjà gravé à jamais dans ma mémoire…
Elle se recula ensuite pour préparer le pique-nique, pendant que je me remettais aussi tôt a caresser le chaton dans mes bras. J’avais encore la sensation que m’avait laissé ses lèvres sur ma peau, et cela me déstabilisais un petit peu. Je l’écoutais en terminant doucement le traitement : Je commençais a diminuer la quantité d’énergie que je transmettais au chaton, si j’avais coupé la liaison directement, son corps se serai retrouvé en manque de cette énergie étrangère et aurait fait une rechute immédiate. C’est pourquoi il était important que je fasse en sorte que la disparition de mon énergie se fasse progressivement.
« Je suis désolée de pas vous avoir demandé la permission pour faire ce geste, mais je voulais savoir si vous n‘aviez pas de fièvre.»
« C’était donc pour me prendre la température ! » fut ma première pensé, très vite suivis par « Elle s’inquiète pour moi ! » La première me permis de comprendre son action, quand à la seconde, elle me fis plaisir toutefois, je ne voulais pas l’inquiéter inutilement. Aussi bien pour la fièvre que son doux baisé. Elle n’avait pas a être désolé. J’allais la détromper pendant qu’elle cherchait de quoi préparer le pique-nique quand le chaton dans mes bras bougea un peu. Je focalisais alors mon attention sur lui, pour savoir pourquoi il avait eu cette réaction : Mais ce n’était rien, juste l’organisme de ce petit chat qui commençait a se demander si la quantité d’énergie qu’il recevait n’avait pas changé. Et je fus heureux de constater que pour combler le manque, il puisait dans l’énergie que je lui avait déjà transmis. C’était une bonne chose, cela voulait dire que dorénavant il n’avait plus besoin de moi. Il ne me restait plus qu’a couper le lien lentement et ce serai bon.
Pendant que je terminais mon soin, je m’aperçus vaguement que Shiny avait un petit problème avec ce qu’elle avait emporté. Je ne savais pas ce qui la gênait, mais finalement ce ne devais pas être si grave car elle fini par partir d’un grand rire au moment ou je finissais mon analyse du chaton.
« Oh la que je suis tête en l‘air! J‘ai pas apporté de couverture et à la place d‘apporter des assiettes j‘apportais des bols. Je m‘en excuse vraiment, avoir su, j‘aurais prêté plus attention à ce que je faisais!!»
Je souris doucement, ce n’était vraiment pas grand-chose, et c’était un peu ma faute… Je lui avais précisé ce camping sans même pensé à l’aider, mon seul objectif étant de m’occuper de l’intendante. De l’intendante et de son homme de main qui avait osé blesser Shiny au visage. Résultat mis a part le lait que j’avais toujours sur moi, je n’avais pensé a rien, laissant Shiny tout faire.
-Tu n’as pas a te reprocher quoique ce soit. Dis-je en jouant sur le fait que je pouvais parler du baisé comme du pique-nique. Et pour ce qui est du pique-nique j’aurai également du t’aider, or je n’ai pensé a rien moi aussi. Un peu d’improvisation ne nous fera pas de mal…
J’allais continué sur autre chose quand je remarquais que l’énergie que je transmettait au chat était devenu absolument négligeable : Le traitement était presque achevé, je le sondais une dernière fois pour être absolument certain que tout irait bien, et je coupais la liaison : Son état était stable, et il avait suffisamment de mon énergie pour tenir au moins trois jours, peut être même quatre s’il dormait beaucoup. D’ici là, son problème de faiblesse devrait avoir disparu et ce chaton n’aurai plus besoin de moi qu’en tant qu’ami. J’éteignis alors mes mains et les levaient pour montrer a Shiny que j’avais fini.
-Le chaton est sauvé !
Thrain- Personnage important
- Messages : 111
Date d'inscription : 18/12/2011
Re: Le coup de grâce! [Pv Thrain][terminé]
Ses cheveux sentaient bons irrévocablement bons. C'était un fait, il sentait bon. Je trouvais qui avait une bnne odeur corporelle, j'appréciais cette odeur. Enfin pendant que je sentais son odeur en allant doucement dans un nouveau monde qui m'était étrangé. Je n'osais pas aller aussi loin et c'était pourquoi j'avais trouvé cette excuse, un prétexte... En fait non. J'avais déposé mes lèvres sur son front pour réellement regarder sa température si elle était haute ou basse. S'il était normal ou non. Vous savez, si on était très fatigué on avait une tendance à attirer des microbes et on pouvait attraper la fièvre, alors je voulais savoir si c'était le cas pour lui et à date non. Il était en plein de forme. Puis je m'étais gâtée aussi pour donner un baisé comme c'était bien normal, alors cela passait aussi un peu inconito dans ce moment même si on pouvait penser à autre chose dans tous les cas.
Ce que je n'aimais pas de Thrain, c'était qu'il pouvait penser à n'importe quoi d'intéressant ou non et sourire. Tu avais beau cherché de quoi qu'il pouvait penser. Chercher une raison du pourquoi il souriait et on ne trouvait rien. J'avais peut-être pensé à quelque chose auquel que j'avais dit quelque chose d'amusant, mais je n'avais rien dit d'amusant. Pas à ce que je sache. Je m'excusais d'avoir fait un geste qui aurait pu l'offenser et de m'excuser de ne pas avoir pensé à toutes les choses d'un vrai pique-nique. Bon à vrai dire, c'était vrai que ma dernière phrase était plutôt hilarante parce que j'étais tête en l'air.
Me disant que je n'avais rien à me reprocher.. Oui! Je lui aais donné un baisé qui prenait la température sur le front alors que j'aurais pu faire avec le dos de ma main ou avec le poignet. Le dos de la main on pouvait quand même bien déterminé ou non la chaleur corporelle de la personne. Enfin, c'était fait. J'avais pris mes lèvres pour les déposer sur le front et je suis allée déterminée par moi-même. J'avais même donner un baisé pour la prime. C'était pour le remercier ou sinon c'était pour lui en donner un. De toute façon, quand on faisait ce que j'avais fait tu donnes obligatoirement un baisé. Retournons au sujet, je ne pensais pas au baisé quand il avait dit ne pas se reprocher. Écoute je ne me reprochais pas, c'était juste dommage que j'aille oublier quelque chose dans le pique nique ou pas. Puis, c'était regrettable. Il connaissait le luxe et je lui donnais même pas le quart du luxe. C'était regrettable! C'était vraiment regrettable.
Puis il disai aussi qu'il aurait pu m'aider. Oui, il aurait pu, mais il n'a pas fait. Il avait autre chose à faire comme de fouetter d'autre chat, non? C'était fait voilà! C'était désormais du passé et il fallait passé à autre chose! On était dans la forêt avec des vols et avec un pathétique pique nique tout en ayant des chats comme compagnie et une tarte aux fruits. En plus, elle n'attendait que cela de se faire manger, rapidement surtout!
J'avais fait un bol de lait pour la chatte présente avec ses petits. Elle était là et elle venait tout juste d'accoucher... Elle petait quasiment le feu! C'était vrai que Thrain l'avait aidé en donnant un peu de son énergie. Bref, je lui avais offert le bol de lait que j'avais fait plus tôt puis elle l'acceptait avec un peu de méfiance. C'était normal. Un humin qui faisait cela à un animal c'était pour le capturer ou un truc semblable. Cette fois, non. C'était un chat sauvage après tout qui habitait dans la forêt, alors elle tenait réellement à sa liberté. Je ne la contredisais aucunement pas. Bon de plus, elle devait boire beaucoup de lait à cause de Thrain qui la rendait souvent visite non?
Je sursautais tout comme la nouvelle mère quand on entendait le chevalier s'exclamer pour dire que le chaton était sauvé. Je rigolais... Je le savais depuis le début qu'il allait être sauvé. Dès que Thrain avait posé ses mains magiques et commencer son opération, je savais obligatoirement que tout allait bien se passé. J'avais cette impression aussi. Après tout il avais un peu risqué sa vie en lui donnant son énergie, vous ne trouvez pas?
« Félicitation! C'est grâce à vous que le bébé chat va pouvoir vivre une belle vie. » m'exclamais-je aussi en allant flatter le chaton que Thrain tenait dans ses mains.
Je lui regardais doucement en allant lui faire un grand sourire. Il avait sauvé une vie. Il était réellement un héro. J'étais en compagnie d'une personne comme lui, qui était mon ami, je me sentais honorée. J'étais touchée. Cependant sur un point, j'avais l'impression que Thrain n'allait pas prendre les félicitation rien que pour lui. J'avais l'impression que sur ce sujet, il allait me donner une partir. Enfin, on dirait que sur ce sujet, je le connaissais bien qui sait? Peut-être je me trompais aussi. Je rigolais à cette pensée.
Je tendais la part de tarte à Thrain devant lui en souriant avec les ustensiles.
« Dites, avez vous entendu le boucan qui avait avant qu'on vous me rejoigniez? Je crois que ca venait de chez l'intendante... » lui demandais-je en regardant la vaisselle.
Non, je ne m'inquiétais pas pour cette femme. J'étais seulement curieuse s'il savait de ce qui s'était passé. Ouais curieuse c'était le mot exacte pour déterminé cette situation de plus, j'avais baissé la tête car disons j'avais honte de poser une telle question alors qu'elle m'avait souffert.
Ce que je n'aimais pas de Thrain, c'était qu'il pouvait penser à n'importe quoi d'intéressant ou non et sourire. Tu avais beau cherché de quoi qu'il pouvait penser. Chercher une raison du pourquoi il souriait et on ne trouvait rien. J'avais peut-être pensé à quelque chose auquel que j'avais dit quelque chose d'amusant, mais je n'avais rien dit d'amusant. Pas à ce que je sache. Je m'excusais d'avoir fait un geste qui aurait pu l'offenser et de m'excuser de ne pas avoir pensé à toutes les choses d'un vrai pique-nique. Bon à vrai dire, c'était vrai que ma dernière phrase était plutôt hilarante parce que j'étais tête en l'air.
Me disant que je n'avais rien à me reprocher.. Oui! Je lui aais donné un baisé qui prenait la température sur le front alors que j'aurais pu faire avec le dos de ma main ou avec le poignet. Le dos de la main on pouvait quand même bien déterminé ou non la chaleur corporelle de la personne. Enfin, c'était fait. J'avais pris mes lèvres pour les déposer sur le front et je suis allée déterminée par moi-même. J'avais même donner un baisé pour la prime. C'était pour le remercier ou sinon c'était pour lui en donner un. De toute façon, quand on faisait ce que j'avais fait tu donnes obligatoirement un baisé. Retournons au sujet, je ne pensais pas au baisé quand il avait dit ne pas se reprocher. Écoute je ne me reprochais pas, c'était juste dommage que j'aille oublier quelque chose dans le pique nique ou pas. Puis, c'était regrettable. Il connaissait le luxe et je lui donnais même pas le quart du luxe. C'était regrettable! C'était vraiment regrettable.
Puis il disai aussi qu'il aurait pu m'aider. Oui, il aurait pu, mais il n'a pas fait. Il avait autre chose à faire comme de fouetter d'autre chat, non? C'était fait voilà! C'était désormais du passé et il fallait passé à autre chose! On était dans la forêt avec des vols et avec un pathétique pique nique tout en ayant des chats comme compagnie et une tarte aux fruits. En plus, elle n'attendait que cela de se faire manger, rapidement surtout!
J'avais fait un bol de lait pour la chatte présente avec ses petits. Elle était là et elle venait tout juste d'accoucher... Elle petait quasiment le feu! C'était vrai que Thrain l'avait aidé en donnant un peu de son énergie. Bref, je lui avais offert le bol de lait que j'avais fait plus tôt puis elle l'acceptait avec un peu de méfiance. C'était normal. Un humin qui faisait cela à un animal c'était pour le capturer ou un truc semblable. Cette fois, non. C'était un chat sauvage après tout qui habitait dans la forêt, alors elle tenait réellement à sa liberté. Je ne la contredisais aucunement pas. Bon de plus, elle devait boire beaucoup de lait à cause de Thrain qui la rendait souvent visite non?
Je sursautais tout comme la nouvelle mère quand on entendait le chevalier s'exclamer pour dire que le chaton était sauvé. Je rigolais... Je le savais depuis le début qu'il allait être sauvé. Dès que Thrain avait posé ses mains magiques et commencer son opération, je savais obligatoirement que tout allait bien se passé. J'avais cette impression aussi. Après tout il avais un peu risqué sa vie en lui donnant son énergie, vous ne trouvez pas?
« Félicitation! C'est grâce à vous que le bébé chat va pouvoir vivre une belle vie. » m'exclamais-je aussi en allant flatter le chaton que Thrain tenait dans ses mains.
Je lui regardais doucement en allant lui faire un grand sourire. Il avait sauvé une vie. Il était réellement un héro. J'étais en compagnie d'une personne comme lui, qui était mon ami, je me sentais honorée. J'étais touchée. Cependant sur un point, j'avais l'impression que Thrain n'allait pas prendre les félicitation rien que pour lui. J'avais l'impression que sur ce sujet, il allait me donner une partir. Enfin, on dirait que sur ce sujet, je le connaissais bien qui sait? Peut-être je me trompais aussi. Je rigolais à cette pensée.
Je tendais la part de tarte à Thrain devant lui en souriant avec les ustensiles.
« Dites, avez vous entendu le boucan qui avait avant qu'on vous me rejoigniez? Je crois que ca venait de chez l'intendante... » lui demandais-je en regardant la vaisselle.
Non, je ne m'inquiétais pas pour cette femme. J'étais seulement curieuse s'il savait de ce qui s'était passé. Ouais curieuse c'était le mot exacte pour déterminé cette situation de plus, j'avais baissé la tête car disons j'avais honte de poser une telle question alors qu'elle m'avait souffert.
Shinylla- Admin ShinyStar in the Sky
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Date d'inscription : 28/06/2007
Re: Le coup de grâce! [Pv Thrain][terminé]
Lorsque je me suis retourné vers Shiny après ma petite exclamation joyeuse et je vis que mon amie a quatre pattes laper doucement du Lait dans un bol. Shiny avait du le lui offrir son lait pendant que e parachevais ma guérison. Évidement, cette grande affamé n’avait pas refusé, la première fois que je lui en avait offert, je m’étais fait ignorer en beauté, mais avec le temps, elle avait fini par accepter l’idée que ce n’était qu’un cadeau. Enfin, je souhaiterais quand même bien du bonheur a celui qui essaierais dans faire autant sans que je sois avec lui, ou dans le but de la capturer…
Après un léger de sursaut sans doute due a mon exclamation, Shiny commença a rire joyeusement : De toute évidence, elle n’avait pas douté une minute que je parviendrais à le soigner. Cela me toucha agréablement ; cela voulais dire qu’elle me faisait confiance. Et cela me faisait plaisir, après tout, je n’avais pas vraiment eu l’occasion de gagner sa confiance… C’était donc une excellente surprise, qui me fit vraiment plaisir.
« Félicitation! C'est grâce à vous que le bébé chat va pouvoir vivre une belle vie. »
Je reçu son compliment en haussant des épaules : Je n’avais fait que lui rendre ce qui aurai du lui revenir de droit. Aucune nouvelle vie ne devrait s’éteindre aussi vite. Je n’avais rien fait de plus que ce que n’importe qui aurai fait. Mais en cela, j’avais condamné ce petit être a vivre loin de sa vrai famille. Certe c’était mieux que de le voir mort, mais quand même… En plus, grâce a moi il ne pourrais qu’être sûr de vivre… Pas d’être heureux, enfin pas grâce a ce traitement…
-Si tu le dis, mais je pense que ce que j’ai fait est juste un normal : Il faut protéger les nouvelles et faire en sorte qu’elle ne s’éteigne pas quelques heures après leur naissances… N’importe qui en aurai sans doute fait autant… En plus c’est toi qui me l’a signalé, tu as aussi une part de mérite ! Et pour ce qui est de sa belle vie, c’est a nous de la lui donner.
Elle semblait s’attendre en partie à ma réponse car elle eu un petit sourire : De toute évidence, elle avait deviné que je n’aimais pas particulièrement recevoir des lauriers : La plus part du temps je les partageais sans même y faire attention… Pour moi, tout ce que je faisais était normal, il n’y avait donc pas besoin de remerciement. Enfin, apparemment, j’avais quand même ma logique propre… Ce qui me surprit moi fut la question qu’elle me posa en regardant la vaisselle après que je l’eu remercié pour la part de gâteau qu’elle venait de me donner.
« Dites, avez vous entendu le boucan qui avait avant qu'on vous me rejoigniez? Je crois que ca venait de chez l'intendante... »
Elle avait baissé la tête, mais de toute façon, je n’avais rien laissé paraître de ma surprise : Si j’avais entendu le boucan ? J’en étais même la cause ! Sauf que je ne pouvais pas lui annoncer de but en blanc que j’étais arrivé sur place, avait appris la vie à son homme de main avant de la menacer et finalement de mettre un désordre absolument incroyable dans son bureau avec mes pouvoirs… Mais je ne pouvais pas lui mentir non plus. Je décidais donc de lui répondre sans trop me lancer dans des détails. Après tout elle n’avait demandé que si j’avais entendu quelque chose…
-Cela venait de là, son bureau a été déplacé un peu trop vite et a heurté le mur avec un grand bruit. Rien de bien grave en somme… Sauf pour le pauvre bureau qui a du souffrir à l’impacte…
En vérité, le bureau n’était pas le plus a plaindre, mais je ne voulais pas rentrer dans les détails. Ma réponse répondait parfaitement à sa question en allant même lui expliqué la cause du bruit, il ne me resté plus qu’à espérer qu’elle ne voudrait pas savoir comment je savais pour le bureau ou plutôt ce que je faisais dans le bureau de l’intendante… Je n’aimais pas spécialement me mettre en colère, ni en parler. Alors si je pouvais évité…
Après un léger de sursaut sans doute due a mon exclamation, Shiny commença a rire joyeusement : De toute évidence, elle n’avait pas douté une minute que je parviendrais à le soigner. Cela me toucha agréablement ; cela voulais dire qu’elle me faisait confiance. Et cela me faisait plaisir, après tout, je n’avais pas vraiment eu l’occasion de gagner sa confiance… C’était donc une excellente surprise, qui me fit vraiment plaisir.
« Félicitation! C'est grâce à vous que le bébé chat va pouvoir vivre une belle vie. »
Je reçu son compliment en haussant des épaules : Je n’avais fait que lui rendre ce qui aurai du lui revenir de droit. Aucune nouvelle vie ne devrait s’éteindre aussi vite. Je n’avais rien fait de plus que ce que n’importe qui aurai fait. Mais en cela, j’avais condamné ce petit être a vivre loin de sa vrai famille. Certe c’était mieux que de le voir mort, mais quand même… En plus, grâce a moi il ne pourrais qu’être sûr de vivre… Pas d’être heureux, enfin pas grâce a ce traitement…
-Si tu le dis, mais je pense que ce que j’ai fait est juste un normal : Il faut protéger les nouvelles et faire en sorte qu’elle ne s’éteigne pas quelques heures après leur naissances… N’importe qui en aurai sans doute fait autant… En plus c’est toi qui me l’a signalé, tu as aussi une part de mérite ! Et pour ce qui est de sa belle vie, c’est a nous de la lui donner.
Elle semblait s’attendre en partie à ma réponse car elle eu un petit sourire : De toute évidence, elle avait deviné que je n’aimais pas particulièrement recevoir des lauriers : La plus part du temps je les partageais sans même y faire attention… Pour moi, tout ce que je faisais était normal, il n’y avait donc pas besoin de remerciement. Enfin, apparemment, j’avais quand même ma logique propre… Ce qui me surprit moi fut la question qu’elle me posa en regardant la vaisselle après que je l’eu remercié pour la part de gâteau qu’elle venait de me donner.
« Dites, avez vous entendu le boucan qui avait avant qu'on vous me rejoigniez? Je crois que ca venait de chez l'intendante... »
Elle avait baissé la tête, mais de toute façon, je n’avais rien laissé paraître de ma surprise : Si j’avais entendu le boucan ? J’en étais même la cause ! Sauf que je ne pouvais pas lui annoncer de but en blanc que j’étais arrivé sur place, avait appris la vie à son homme de main avant de la menacer et finalement de mettre un désordre absolument incroyable dans son bureau avec mes pouvoirs… Mais je ne pouvais pas lui mentir non plus. Je décidais donc de lui répondre sans trop me lancer dans des détails. Après tout elle n’avait demandé que si j’avais entendu quelque chose…
-Cela venait de là, son bureau a été déplacé un peu trop vite et a heurté le mur avec un grand bruit. Rien de bien grave en somme… Sauf pour le pauvre bureau qui a du souffrir à l’impacte…
En vérité, le bureau n’était pas le plus a plaindre, mais je ne voulais pas rentrer dans les détails. Ma réponse répondait parfaitement à sa question en allant même lui expliqué la cause du bruit, il ne me resté plus qu’à espérer qu’elle ne voudrait pas savoir comment je savais pour le bureau ou plutôt ce que je faisais dans le bureau de l’intendante… Je n’aimais pas spécialement me mettre en colère, ni en parler. Alors si je pouvais évité…
Thrain- Personnage important
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Rôle : Chevalier accro au Lait !
Âme Soeur : Je pense avoir trouver *en évolution*
Sexe : Masculin
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Re: Le coup de grâce! [Pv Thrain][terminé]
Donner les louanges, donner les remerciement, donner la gratitude. Je lui donnais avec plaisir car c’était amplement lui qui avait faire le plus difficile. Moi? Je n’avais fait que nourrir le chaton alors que lui avait donné son énergie, pour faire survivre le chaton. Je n’avais que fait alerter pour dire qu’il était mal en point tout simplement. C’était vrai que j’avais ma part, mais je ne disais rien. J’avais l’habitude de ne pas en recevoir malgré que ça me faisait terriblement plaisir même en sourire. C’était si agréable de voir une personne se retourner et de sentir toute la gratitude qui inonde son coeur. Enfin, ça m’arriverai pas de sitôt. D’ailleurs, c’était seulement Thrain qui m’avait fait ça et je crois qui allait rester l’unique.
-Si tu le dis, mais je pense que ce que j’ai fait est juste un normal : Il faut protéger les nouvelles et faire en sorte qu’elle ne s’éteigne pas quelques heures après leur naissances… N’importe qui en aurai sans doute fait autant… En plus c’est toi qui me l’a signalé, tu as aussi une part de mérite ! Et pour ce qui est de sa belle vie, c’est a nous de la lui donner.
C’était vrai que la belle vie, c’était à nous de la lui donner. On allait avoir un chaton comme si c’était un enfant. C’était drôle de pensé à ce genre de chose alors que je n’avais que quatorze ans. En le regardant bien, je pourrais peut-être deviner qu’il était dans la vingtaine comme pas mal tous les autres hommes qui avait dans la chevalerie. Déjà en partant j’avais six ans de différence avec eux, mais bon. On s’en foutait un peu, qui disait que j’étais amoureuse d’un chevalier, si sympathique, si beau devant moi? Qui disait que j’étais amoureuse d’un homme qui aimait le lait et qui préférait être dans la forêt qu’être dans la civilisé? Qui disait que j’étais amoureuse de lui, Thrain l’homme, devant moi? Qui disait que j’étais amoureuse tout court? De toute façon, je n’avais pas le droit. Je ne pouvais pas tomber amoureuse avec le travail que j’avais en ce moment. Déjà qu’on se battait pour moi et que je me battais également pour avoir des congés et avec qui je les passe? Et oui, avec le gros matou devant moi.
C’était vrai que c’était étrange. Étrange au point de dire que c’était mon ami et que je ne voulais que m’amuser avec lui. Rire, me confesser, rire et le voir sourire. Je ne voulais que le voir sourire car ça rayonnait mes journées. Il avait tellement un sourire à faire sourire toutes les femmes. Sans doute, avait-il une femme en vue et c’était réciproque? Avait-il peut-être une fiancée et je ne le savais pas? Ça ne m’étonnerai pas qu’il aille quelqu’un en vue. De plus, il avait l’âge pour non? De ce qu’il s’agissait de moi, je me marierai peut-être quand je serai plus mature et que je sentirai apte à fonder une famille, pas avant! Après tout, je n’avais que quatorze ans. J’étais peut-être une femme, mais je voulais prendre mon temps pour savoir qui était le bon. À date ça se déroulait bien, j’avais un merveilleux amis que je voulais tenir compagnie.
-Cela venait de là, son bureau a été déplacé un peu trop vite et a heurté le mur avec un grand bruit. Rien de bien grave en somme… Sauf pour le pauvre bureau qui a du souffrir à l’impacte…
Le boucan venait de là. Le boucan venait du bureau de l’intendante. Me disant qu’elle avait déplacé le bureau pour heurté un mur avec un grand bruit en souffrant de l’impacte. C’était ce qui me laissait perplexe c’était qu’il savait de ce que nous n’avons pas vu. Il avait déposé le chat près de la mère pour le laisser se nourrir comme il allait un peu mieux. Pendant que moi, je le regardais très perplexe. Ça ne se concordait pas dans ma tête. Est-ce que Thrain était présent dans le bureau de l’intendante jusqu’à temps que ma tête avait fait un petit déclic. Il avait réellement été chez l’intendante! Pour faire quoi? Puis je me rappelais les souvenirs de ce qui s’était passé...
Oh non...
Je perdais mon sourire et je baissais la tête en empoignant très fort mes pantalons que j’avais sur moi. Il avait su concernant ma cicatrice et il avait été voir l’intendante pour lui régler son compte, c’était ça hein? Il aurait fait tout ce boucan les menaçants pour m’avoir fait une telle coupure. Je me sentais terriblement mal dans ma peau. Je me sentais comme si j’étais chérie, je me sentais comme si j’étais une protégée et qu’on ne devait pas me toucher. Je me sentais au point mal que je ne savais pas où commencer alors que je me levais la tête, les sourcils froncés. J’étais choquée par tout cela!
« Me dites pas que vous êtes allé les voir pour ainsi faire je-ne-sais-quoi pour faire un tel boucan!?!» lui posais-je sèchement.
Je n’osais même pas ranger mes affaires et je me levais pour tenter de rentrer chez moi et de finalement travailler pour perdre mon temps. Cependant... Où était la sortie? Je retombais à genou et je n’osais même le regarder. Ça mettait hors de moi quand on m’aidait au point de faire appel à la violence, mais vous savez... Ça me faisait plaisir en réalité. J’étais contente qu’il aille pu les menacer comme ça, ils n’allaient plus me tourmenter ni moi ni les autres.
« Sérieusement, je me sens tellement embarrassée. Ils doivent me prendre pour votre chouchou ou une fille qui se plaint tout le temps.» disais-je en mettant mes mains dans mon visage pour me cacher de honte.
Puis je continuais ne lui laissant pas le temps de dire quoi que se soit.
« Le Monsieur m‘a même dit qu‘il fallait que je cesse d‘être votre amie parce que je cause beaucoup trop d‘ennui en étant votre amie/protégée... Je suis vraiment une idiote...» finissais-je par terminer.
Je me retenais de ne pas pleurer. On avait perçu dans mes derniers mots que je m’en allais pleurer et que ma voix s’était enrouillée, mais je me retenais pour ne pas pleurer. Surtout pas maintenant dans un moment magique et dans un pseudo pique-nique.
-Si tu le dis, mais je pense que ce que j’ai fait est juste un normal : Il faut protéger les nouvelles et faire en sorte qu’elle ne s’éteigne pas quelques heures après leur naissances… N’importe qui en aurai sans doute fait autant… En plus c’est toi qui me l’a signalé, tu as aussi une part de mérite ! Et pour ce qui est de sa belle vie, c’est a nous de la lui donner.
C’était vrai que la belle vie, c’était à nous de la lui donner. On allait avoir un chaton comme si c’était un enfant. C’était drôle de pensé à ce genre de chose alors que je n’avais que quatorze ans. En le regardant bien, je pourrais peut-être deviner qu’il était dans la vingtaine comme pas mal tous les autres hommes qui avait dans la chevalerie. Déjà en partant j’avais six ans de différence avec eux, mais bon. On s’en foutait un peu, qui disait que j’étais amoureuse d’un chevalier, si sympathique, si beau devant moi? Qui disait que j’étais amoureuse d’un homme qui aimait le lait et qui préférait être dans la forêt qu’être dans la civilisé? Qui disait que j’étais amoureuse de lui, Thrain l’homme, devant moi? Qui disait que j’étais amoureuse tout court? De toute façon, je n’avais pas le droit. Je ne pouvais pas tomber amoureuse avec le travail que j’avais en ce moment. Déjà qu’on se battait pour moi et que je me battais également pour avoir des congés et avec qui je les passe? Et oui, avec le gros matou devant moi.
C’était vrai que c’était étrange. Étrange au point de dire que c’était mon ami et que je ne voulais que m’amuser avec lui. Rire, me confesser, rire et le voir sourire. Je ne voulais que le voir sourire car ça rayonnait mes journées. Il avait tellement un sourire à faire sourire toutes les femmes. Sans doute, avait-il une femme en vue et c’était réciproque? Avait-il peut-être une fiancée et je ne le savais pas? Ça ne m’étonnerai pas qu’il aille quelqu’un en vue. De plus, il avait l’âge pour non? De ce qu’il s’agissait de moi, je me marierai peut-être quand je serai plus mature et que je sentirai apte à fonder une famille, pas avant! Après tout, je n’avais que quatorze ans. J’étais peut-être une femme, mais je voulais prendre mon temps pour savoir qui était le bon. À date ça se déroulait bien, j’avais un merveilleux amis que je voulais tenir compagnie.
-Cela venait de là, son bureau a été déplacé un peu trop vite et a heurté le mur avec un grand bruit. Rien de bien grave en somme… Sauf pour le pauvre bureau qui a du souffrir à l’impacte…
Le boucan venait de là. Le boucan venait du bureau de l’intendante. Me disant qu’elle avait déplacé le bureau pour heurté un mur avec un grand bruit en souffrant de l’impacte. C’était ce qui me laissait perplexe c’était qu’il savait de ce que nous n’avons pas vu. Il avait déposé le chat près de la mère pour le laisser se nourrir comme il allait un peu mieux. Pendant que moi, je le regardais très perplexe. Ça ne se concordait pas dans ma tête. Est-ce que Thrain était présent dans le bureau de l’intendante jusqu’à temps que ma tête avait fait un petit déclic. Il avait réellement été chez l’intendante! Pour faire quoi? Puis je me rappelais les souvenirs de ce qui s’était passé...
Oh non...
Je perdais mon sourire et je baissais la tête en empoignant très fort mes pantalons que j’avais sur moi. Il avait su concernant ma cicatrice et il avait été voir l’intendante pour lui régler son compte, c’était ça hein? Il aurait fait tout ce boucan les menaçants pour m’avoir fait une telle coupure. Je me sentais terriblement mal dans ma peau. Je me sentais comme si j’étais chérie, je me sentais comme si j’étais une protégée et qu’on ne devait pas me toucher. Je me sentais au point mal que je ne savais pas où commencer alors que je me levais la tête, les sourcils froncés. J’étais choquée par tout cela!
« Me dites pas que vous êtes allé les voir pour ainsi faire je-ne-sais-quoi pour faire un tel boucan!?!» lui posais-je sèchement.
Je n’osais même pas ranger mes affaires et je me levais pour tenter de rentrer chez moi et de finalement travailler pour perdre mon temps. Cependant... Où était la sortie? Je retombais à genou et je n’osais même le regarder. Ça mettait hors de moi quand on m’aidait au point de faire appel à la violence, mais vous savez... Ça me faisait plaisir en réalité. J’étais contente qu’il aille pu les menacer comme ça, ils n’allaient plus me tourmenter ni moi ni les autres.
« Sérieusement, je me sens tellement embarrassée. Ils doivent me prendre pour votre chouchou ou une fille qui se plaint tout le temps.» disais-je en mettant mes mains dans mon visage pour me cacher de honte.
Puis je continuais ne lui laissant pas le temps de dire quoi que se soit.
« Le Monsieur m‘a même dit qu‘il fallait que je cesse d‘être votre amie parce que je cause beaucoup trop d‘ennui en étant votre amie/protégée... Je suis vraiment une idiote...» finissais-je par terminer.
Je me retenais de ne pas pleurer. On avait perçu dans mes derniers mots que je m’en allais pleurer et que ma voix s’était enrouillée, mais je me retenais pour ne pas pleurer. Surtout pas maintenant dans un moment magique et dans un pseudo pique-nique.
Shinylla- Admin ShinyStar in the Sky
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Re: Le coup de grâce! [Pv Thrain][terminé]
Elle me regarda quelque peu perplexe. Sans doute se demandait-elle comment je savais cela. C’est a ce moment là que je me dit que je lui en avait trop dit. Juste confirmé d’où venait le bruit aurai été suffisant. Je n’avais pas besoin de lui dire ce qu’il l’avait fait. Sauf qu’il était trop tard. En partant du principe que la réaction qu’elle allait avoir ne serai pas vraiment bonne, je déposé le chaton près de sa mère. Puis lorsque je relevais la tête, je vis une lueur de compréhension passé dans les yeux de Shiny…
Son sourire disparu aussitôt et je la vis empoigner son pantalon. Bon, je pouvais me tromper, mais apparemment elle n’avait pas apprécié mon intervention… Sauf si elle avait besoin de serrer son pantalon pour exorciser sa joie et que son sourire avait disparue parce que… Heuu… Bon ok, elle n’avait pas apprécié et essayait de supposer le contraire n’était même pas envisageable… Finalement elle releva la tête qu’elle avait baisé en faisant disparaître son sourire et si il restait un minuscule doute encore… Il se volatilisa purement et simplement quand je croisais son regard :
« Me dites pas que vous êtes allé les voir pour ainsi faire je-ne-sais-quoi pour faire un tel boucan!?!»
Sa voie était assez sèche, cela me rappela fugitivement un certain moment passé avec elle dans une belle forêt recouverte d’un voile opaque offert par la nuit. J’avais la bête impression que c’était repartis. Elle se leva brutalement puis après avoir regardé autour d’elle retomba a genoux. Elle ne semblait vraiment pas contente, j’allais lui expliqué quand elle repris, sans même me regarder…
« Sérieusement, je me sens tellement embarrassée. Ils doivent me prendre pour votre chouchou ou une fille qui se plaint tout le temps.»
Elle avait dit cela en se cachant le visage avec ses mains. Et cela me fis de la peine : je ne voulais pas la voir triste, et j’avais fait cette action parce que je ne voulais pas non plus la voir blessé et que j’avais senti sa tristesse. Évidement l’amour que je reconnaissais maintenant avait sans doute joué, mais ce n’était pas qu’un facteur aggravant pas le facteur déclenchant. Le déclencheur avait été la blessure : Jamais je ne laisserais quelqu’un blessé volontairement une personne innocente. Alors un abrutis d’homme de main aux ordres d’une vieille folle sadique, sûrement pas ! Elle n’avait pas a se sentir embarrasser ! J’aurais agis presque de la même façon avec n’importe qui ! Bon ok, l’homme de main aurait peut être un peu moins souffert… Et peut être aussi que la dernière pique de la vieille folle aurai été reçu avec moins de violence et n’aurai donc pas entraîné la fureur final, mais cela serai arrivé quand même…
Il y avait quand même un certain nombre de détail qui avait été provoqué en partie par le fait que ce soit elle, mais de la à la prendre pour mon « chouchou »… Je repensais brièvement à l’état de l’homme puis à l’intendante toute tremblante quand je la quittais et me dit qu’en fait… Il était très possible qu’ils commencent a penser cela… En revanche cela m’étonnerait beaucoup qu’il parle… Il leur faudrait alors expliqué ce qui les avait poussé à dire sa… Et ils ne pourraient pas admettre avoir menacer et blessé une jeune fille placé sous leur ordres. Donc ils ne diraient rien. Mais avant que j’ai le temps de m’expliqué elle enchaîna alors :
« Le Monsieur m‘a même dit qu‘il fallait que je cesse d‘être votre amie parce que je cause beaucoup trop d‘ennui en étant votre amie/protégée... Je suis vraiment une idiote...»
Sa voix était enroué, comme si elle allait se mettre a pleuré… Cela me fis tressaillir et me fit mal : Je ne voulais pas la voir pleurer ! Juste la voir sourire et être heureuse ! Sans la touché, de peur d’être repoussé, je m’expliquais d’une voix douce et apaisante. J’aurais pu essayer de maquiller la vérité, de lui mentir pour la calmer et lui rendre le sourire et lui dire ce qu’elle voulait entendre, mais cela ne me traversa même pas l’esprit. Je ne pouvais pas lui mentir et de toute façon je n’aimais pas sa.
-Il se trompes : Tu ne cause pas le moindre ennuie en étant mon amie. C’est juste que la vieille folle n’a pas aimé que je lui interdise de battre les personnes sont ses ordres. J’ignorait qu’elle allait aussi loin, et de toute évidence elle aimait sa. Elle n’a pas du tout aimé que je lui interdise son passe temps préféré. Pour ce qui est de ma réaction, j’aurai préféré évité d’en parlé mais oui, je suis allé la voir pour régler le problème une bonne fois pour toute. Toutefois, je n’avais absolument pas prévus de me battre. Je voulais réglé ce problème diplomatiquement, ou plutôt par la parole. Son homme de main m’a alors agresser et a fini par le regretter. Quand à la l’intendante, elle n’a pas su rester à sa place après mon sermon et a décidé de me provoqué une dernière fois. Malheureusement pour elle, elle y est parvenu résultat j’ai quelque peu refait la déco dans son bureau à grand coup de lévitation. Dont un certain bureau qui était sur mon chemin… Mais je lui réexpliqué ma façon de pensé et je suis partis.
Je fis une petite pose. Regardait brièvement le ciel et les nuages paresseux flottait doucement dans cette océan céleste. Un petit vent frais passa en me caressant le village puis je repris.
-Je ne m’excuserait pas pour ce que j’ai fait, parce que j’estime qu’ils l’ont mérité. En revanche je suis vraiment désolé si j’ai pu te blesser ainsi. C’était parfaitement involontaire. Je voulais juste que tu n’es plus jamais a t’inquiété à cause de cette vieille folle. Avec de la chance, elle renoncera peut-être à ses mauvais habitudes. Mais je sais que si je découvre qu’elle bat encore qui que ce soit, je ferrai en sorte qu’en soit expulsé de ce château… Et je ne suis pas d’accord avec toi, tu n’est pas idiote, juste victime d’une folle. Mais ce problème devrait être réglé. Tout ce que je veux, c’est que personne n’est à souffrir dans mon entourage. Et ce en commençant par toi, et en incluant ce chaton, les loups victimes d’accidents malencontreux comme les hommes. Si c’est en mon pouvoir, je protégerais tout le monde… Je te protégerais , peu importe ce que j’aurai a faire pour cela. Je ne veux pas te voir blessé…
Les deux dernière phrase avait été dit dans un murmure. Peut être les avaient-elles entendu, ou non. Cela n’avait pas d’importance. Je la regardais doucement, attendant une réaction qui me dirait qu’elle allait mieux…
Son sourire disparu aussitôt et je la vis empoigner son pantalon. Bon, je pouvais me tromper, mais apparemment elle n’avait pas apprécié mon intervention… Sauf si elle avait besoin de serrer son pantalon pour exorciser sa joie et que son sourire avait disparue parce que… Heuu… Bon ok, elle n’avait pas apprécié et essayait de supposer le contraire n’était même pas envisageable… Finalement elle releva la tête qu’elle avait baisé en faisant disparaître son sourire et si il restait un minuscule doute encore… Il se volatilisa purement et simplement quand je croisais son regard :
« Me dites pas que vous êtes allé les voir pour ainsi faire je-ne-sais-quoi pour faire un tel boucan!?!»
Sa voie était assez sèche, cela me rappela fugitivement un certain moment passé avec elle dans une belle forêt recouverte d’un voile opaque offert par la nuit. J’avais la bête impression que c’était repartis. Elle se leva brutalement puis après avoir regardé autour d’elle retomba a genoux. Elle ne semblait vraiment pas contente, j’allais lui expliqué quand elle repris, sans même me regarder…
« Sérieusement, je me sens tellement embarrassée. Ils doivent me prendre pour votre chouchou ou une fille qui se plaint tout le temps.»
Elle avait dit cela en se cachant le visage avec ses mains. Et cela me fis de la peine : je ne voulais pas la voir triste, et j’avais fait cette action parce que je ne voulais pas non plus la voir blessé et que j’avais senti sa tristesse. Évidement l’amour que je reconnaissais maintenant avait sans doute joué, mais ce n’était pas qu’un facteur aggravant pas le facteur déclenchant. Le déclencheur avait été la blessure : Jamais je ne laisserais quelqu’un blessé volontairement une personne innocente. Alors un abrutis d’homme de main aux ordres d’une vieille folle sadique, sûrement pas ! Elle n’avait pas a se sentir embarrasser ! J’aurais agis presque de la même façon avec n’importe qui ! Bon ok, l’homme de main aurait peut être un peu moins souffert… Et peut être aussi que la dernière pique de la vieille folle aurai été reçu avec moins de violence et n’aurai donc pas entraîné la fureur final, mais cela serai arrivé quand même…
Il y avait quand même un certain nombre de détail qui avait été provoqué en partie par le fait que ce soit elle, mais de la à la prendre pour mon « chouchou »… Je repensais brièvement à l’état de l’homme puis à l’intendante toute tremblante quand je la quittais et me dit qu’en fait… Il était très possible qu’ils commencent a penser cela… En revanche cela m’étonnerait beaucoup qu’il parle… Il leur faudrait alors expliqué ce qui les avait poussé à dire sa… Et ils ne pourraient pas admettre avoir menacer et blessé une jeune fille placé sous leur ordres. Donc ils ne diraient rien. Mais avant que j’ai le temps de m’expliqué elle enchaîna alors :
« Le Monsieur m‘a même dit qu‘il fallait que je cesse d‘être votre amie parce que je cause beaucoup trop d‘ennui en étant votre amie/protégée... Je suis vraiment une idiote...»
Sa voix était enroué, comme si elle allait se mettre a pleuré… Cela me fis tressaillir et me fit mal : Je ne voulais pas la voir pleurer ! Juste la voir sourire et être heureuse ! Sans la touché, de peur d’être repoussé, je m’expliquais d’une voix douce et apaisante. J’aurais pu essayer de maquiller la vérité, de lui mentir pour la calmer et lui rendre le sourire et lui dire ce qu’elle voulait entendre, mais cela ne me traversa même pas l’esprit. Je ne pouvais pas lui mentir et de toute façon je n’aimais pas sa.
-Il se trompes : Tu ne cause pas le moindre ennuie en étant mon amie. C’est juste que la vieille folle n’a pas aimé que je lui interdise de battre les personnes sont ses ordres. J’ignorait qu’elle allait aussi loin, et de toute évidence elle aimait sa. Elle n’a pas du tout aimé que je lui interdise son passe temps préféré. Pour ce qui est de ma réaction, j’aurai préféré évité d’en parlé mais oui, je suis allé la voir pour régler le problème une bonne fois pour toute. Toutefois, je n’avais absolument pas prévus de me battre. Je voulais réglé ce problème diplomatiquement, ou plutôt par la parole. Son homme de main m’a alors agresser et a fini par le regretter. Quand à la l’intendante, elle n’a pas su rester à sa place après mon sermon et a décidé de me provoqué une dernière fois. Malheureusement pour elle, elle y est parvenu résultat j’ai quelque peu refait la déco dans son bureau à grand coup de lévitation. Dont un certain bureau qui était sur mon chemin… Mais je lui réexpliqué ma façon de pensé et je suis partis.
Je fis une petite pose. Regardait brièvement le ciel et les nuages paresseux flottait doucement dans cette océan céleste. Un petit vent frais passa en me caressant le village puis je repris.
-Je ne m’excuserait pas pour ce que j’ai fait, parce que j’estime qu’ils l’ont mérité. En revanche je suis vraiment désolé si j’ai pu te blesser ainsi. C’était parfaitement involontaire. Je voulais juste que tu n’es plus jamais a t’inquiété à cause de cette vieille folle. Avec de la chance, elle renoncera peut-être à ses mauvais habitudes. Mais je sais que si je découvre qu’elle bat encore qui que ce soit, je ferrai en sorte qu’en soit expulsé de ce château… Et je ne suis pas d’accord avec toi, tu n’est pas idiote, juste victime d’une folle. Mais ce problème devrait être réglé. Tout ce que je veux, c’est que personne n’est à souffrir dans mon entourage. Et ce en commençant par toi, et en incluant ce chaton, les loups victimes d’accidents malencontreux comme les hommes. Si c’est en mon pouvoir, je protégerais tout le monde… Je te protégerais , peu importe ce que j’aurai a faire pour cela. Je ne veux pas te voir blessé…
Les deux dernière phrase avait été dit dans un murmure. Peut être les avaient-elles entendu, ou non. Cela n’avait pas d’importance. Je la regardais doucement, attendant une réaction qui me dirait qu’elle allait mieux…
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Re: Le coup de grâce! [Pv Thrain][terminé]
-Ils se trompent : Tu ne cause pas le moindre ennuie en étant mon amie. C’est juste que la vieille folle n’a pas aimé que je lui interdise de battre les personnes qui sont sur ses ordres. J’ignorais qu’elle allait aussi loin, et de toute évidence elle aimait ça. Elle n’a pas du tout aimé que je lui interdise son passe temps préféré. Pour ce qui est de ma réaction, j’aurai préféré éviter d’en parler mais oui, je suis allé la voir pour régler le problème une bonne fois pour toute. Toutefois, je n’avais absolument pas prévu de me battre. Je voulais régler ce problème diplomatiquement, ou plutôt par la parole. Son homme de main m’a, alors, agressé et a fini par le regretter. Quand à la l’intendante, elle n’a pas su rester à sa place après mon sermon et a décidé de me provoquer une dernière fois. Malheureusement pour elle, elle y est parvenu résultat j’ai quelque peu refais la déco dans son bureau à grand coup de lévitation. Dont un certain bureau qui était sur mon chemin… Mais je lui réexpliqué ma façon de pensé et je suis partis.
Je retenais mes larmes, je ne pouvais que les retenir car je ne voulais pas aller plus loin et pleurer comme la dernière fois dans la forêt. Tout ce que je faisais c’était de retenir mes larmes et d’enlever mes mains pour ainsi détourner le regard ayant les larmes aux yeux. J’évitais son regard tout en l’écoutant. Je l’évitais pour ne pas me mettre à pleurer et aller dans ses bras pour me consoler. Non, je ne voulais. J’avais honte de ce qu’il avait fait. Honte d’avoir pu entendre cela de sa part. D’avoir été protégé aussi facilement prétendant que j’étais sa protégée. Ce que je n’aimais pas c’était me faire passer pour ce que je n’étais pas. Et je n’étais pas la protégée du chevalier, j’étais seulement son amie. Une amie palefrenière qui s’occupait de la merde des chevaux. Des chevaux de la chevalerie, de la royauté, des soldats, presque tout le monde sauf moi quoi.
J’avais lâché un début de rire en écoutant une vieille folle. C’était vrai qu’elle était une vieille folle et en plus elle était sadique. Elle était dans sa ménopause vingt-quatre heures sur vingt-quatre et les domestiques étaient tout le temps sujette de ses sauts d’humeur. Enfin, c’était ce que je pensais de l’intendante qui n’avait jamais eu de fin dans ses sauts d’humeur. J’avais pas hâte à vieillir pour devenir comme elle. Non je ne deviendrai pas comme elle, je vais devenir meilleur encore plus meilleur que j’étais maintenant. Encore plus spontanéité? Ou peut-être plus mature? Je ne savais pas.
-Je ne m’excuserai pas pour ce que j’ai fait, parce que j’estime qu’ils l’ont mérité. En revanche, je suis vraiment désolé si j’ai pu te blesser ainsi. C’était parfaitement involontaire. Je voulais juste que tu n’es plus jamais à t’inquiéter à cause de cette vieille folle. Avec de la chance, elle renoncera peut-être à ses mauvais habitudes. Mais je sais que si je découvre qu’elle bat encore qui que ce soit, je ferrai en sorte qu’en soit expulsé de ce château… Et je ne suis pas d’accord avec toi, tu n’est pas idiote, juste victime d’une folle. Mais ce problème devrait être réglé. Tout ce que je veux, c’est que personne n’est à souffrir dans mon entourage. Et ce en commençant par toi, et en incluant ce chaton, les loups victimes d’accidents malencontreux comme les hommes. Si c’est en mon pouvoir, je protégerais tout le monde… Je te protégerais , peu importe ce que j’aurai à faire pour cela. Je ne veux pas te voir blessé…
Je lui jetais un regard rempli d‘eau encore. Un regard qui disait qu’il était étrange à parler de loup victimes d’un accident malencontreux. C’était ce détail que je comprenais pas dans ces explications, dans son monologue. J’avais pas compris ces dernières phrases et je n’osais pas lui faire répéter ce qu’il avait à dire. Je regardais encore dans la forêt cherchant à sortir, enfin peut-être pas. Je ne savais pas quoi penser. Je me sentais pris dans deux pensées différentes et c’était ce qui me troublait. Le fait que je devais me rendre docile en pensant que j’étais bonne à rien ou soit je devais rester avec ma mentalité sachant que j’avais un chevalier comme ami qui me protégeait pour quoi que se soit. La deuxième possibilité, il fallait que je m’y fasse car j’allais choisir cette possibilité. J’expirais doucement en essuyant mes yeux pour tenter d’enlever mes larmes qui restaient à mes yeux bleus. Je le regardais avec un sourire forcé.
« Est-ce que je peux vous tutoyé? Ça me fatigue énormément de vouvoyer...»
Je n’avais pas laissé le temps de me répondre que j’enchaînais immédiatement à ce que j’avais dans la tête. S’il ne voulait pas que je le tutoie ce n’était pas si grave j’allais continuer à le vouvoyer même si ça me gavait un peu. Enfin continuons:
« Tu sais, tu n‘étais pas obligé d‘aller les voir pour les avertir ou menacer, je-ne-sais-pas-quoi, mais... Sur le coup, je me sentais terriblement gênée... Et...enfin je m‘excuse... Je... Enfin, on peut changer de sujet?» lui disais-je finalement en rigolant un peu en me grattant la tête.
J’avais un sourire faible. Un sourire que tu forçais pour ne pas inquiéter les personnes. Est-ce que j’étais soudainement dépressive? Non, c’était seulement une situation qui m’agaçait et que je voulais éviter malgré que ça se pouvait être déjà réglée. En tout cas c’était du passé non? Je prenais une part de ma jardinière et je la dégustais avec un léger sourire ça me donnait des souvenirs.
« Hmmmm... C'est tellement bon!»
Je retenais mes larmes, je ne pouvais que les retenir car je ne voulais pas aller plus loin et pleurer comme la dernière fois dans la forêt. Tout ce que je faisais c’était de retenir mes larmes et d’enlever mes mains pour ainsi détourner le regard ayant les larmes aux yeux. J’évitais son regard tout en l’écoutant. Je l’évitais pour ne pas me mettre à pleurer et aller dans ses bras pour me consoler. Non, je ne voulais. J’avais honte de ce qu’il avait fait. Honte d’avoir pu entendre cela de sa part. D’avoir été protégé aussi facilement prétendant que j’étais sa protégée. Ce que je n’aimais pas c’était me faire passer pour ce que je n’étais pas. Et je n’étais pas la protégée du chevalier, j’étais seulement son amie. Une amie palefrenière qui s’occupait de la merde des chevaux. Des chevaux de la chevalerie, de la royauté, des soldats, presque tout le monde sauf moi quoi.
J’avais lâché un début de rire en écoutant une vieille folle. C’était vrai qu’elle était une vieille folle et en plus elle était sadique. Elle était dans sa ménopause vingt-quatre heures sur vingt-quatre et les domestiques étaient tout le temps sujette de ses sauts d’humeur. Enfin, c’était ce que je pensais de l’intendante qui n’avait jamais eu de fin dans ses sauts d’humeur. J’avais pas hâte à vieillir pour devenir comme elle. Non je ne deviendrai pas comme elle, je vais devenir meilleur encore plus meilleur que j’étais maintenant. Encore plus spontanéité? Ou peut-être plus mature? Je ne savais pas.
-Je ne m’excuserai pas pour ce que j’ai fait, parce que j’estime qu’ils l’ont mérité. En revanche, je suis vraiment désolé si j’ai pu te blesser ainsi. C’était parfaitement involontaire. Je voulais juste que tu n’es plus jamais à t’inquiéter à cause de cette vieille folle. Avec de la chance, elle renoncera peut-être à ses mauvais habitudes. Mais je sais que si je découvre qu’elle bat encore qui que ce soit, je ferrai en sorte qu’en soit expulsé de ce château… Et je ne suis pas d’accord avec toi, tu n’est pas idiote, juste victime d’une folle. Mais ce problème devrait être réglé. Tout ce que je veux, c’est que personne n’est à souffrir dans mon entourage. Et ce en commençant par toi, et en incluant ce chaton, les loups victimes d’accidents malencontreux comme les hommes. Si c’est en mon pouvoir, je protégerais tout le monde… Je te protégerais , peu importe ce que j’aurai à faire pour cela. Je ne veux pas te voir blessé…
Je lui jetais un regard rempli d‘eau encore. Un regard qui disait qu’il était étrange à parler de loup victimes d’un accident malencontreux. C’était ce détail que je comprenais pas dans ces explications, dans son monologue. J’avais pas compris ces dernières phrases et je n’osais pas lui faire répéter ce qu’il avait à dire. Je regardais encore dans la forêt cherchant à sortir, enfin peut-être pas. Je ne savais pas quoi penser. Je me sentais pris dans deux pensées différentes et c’était ce qui me troublait. Le fait que je devais me rendre docile en pensant que j’étais bonne à rien ou soit je devais rester avec ma mentalité sachant que j’avais un chevalier comme ami qui me protégeait pour quoi que se soit. La deuxième possibilité, il fallait que je m’y fasse car j’allais choisir cette possibilité. J’expirais doucement en essuyant mes yeux pour tenter d’enlever mes larmes qui restaient à mes yeux bleus. Je le regardais avec un sourire forcé.
« Est-ce que je peux vous tutoyé? Ça me fatigue énormément de vouvoyer...»
Je n’avais pas laissé le temps de me répondre que j’enchaînais immédiatement à ce que j’avais dans la tête. S’il ne voulait pas que je le tutoie ce n’était pas si grave j’allais continuer à le vouvoyer même si ça me gavait un peu. Enfin continuons:
« Tu sais, tu n‘étais pas obligé d‘aller les voir pour les avertir ou menacer, je-ne-sais-pas-quoi, mais... Sur le coup, je me sentais terriblement gênée... Et...enfin je m‘excuse... Je... Enfin, on peut changer de sujet?» lui disais-je finalement en rigolant un peu en me grattant la tête.
J’avais un sourire faible. Un sourire que tu forçais pour ne pas inquiéter les personnes. Est-ce que j’étais soudainement dépressive? Non, c’était seulement une situation qui m’agaçait et que je voulais éviter malgré que ça se pouvait être déjà réglée. En tout cas c’était du passé non? Je prenais une part de ma jardinière et je la dégustais avec un léger sourire ça me donnait des souvenirs.
« Hmmmm... C'est tellement bon!»
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Re: Le coup de grâce! [Pv Thrain][terminé]
Pendant que je lui expliquais la situation, je la vis détourner le regard. Mais je refusais de me laisser distraire et je continuais à lui expliquer mon geste. Puis cela était devenu trop dure, même son petit rire quand j’avais traité l’intendante de vieille folle n’avais pas réussis à me soulager du malêtre qui m’habiter… et j’ai été contraint de faire une petite pose, en regardant le ciel. Ciel que je continuais de regarder quand je terminais mon explication. Ce n’est que vers la fin de mon petit monologue que je réussi enfin à la regarder à nouveau.
Ses yeux était encore près à verser les larmes qu’elle retenait sans doute, mais la lueur de tristesse semblait avoir été remplacé en partie par de la curiosité. C’est en cherchant dans mes mots ce qui avait bien pu la causer que je me souvins qu’elle n’était pas là lors de mon intervention magique pour sauver les loups… Pendant que je me rappelait mentalement ce petit passage de ma vie, je continuais de regarder distraitement celle que j’aimais. C’est elle qui me sortis de ma rêverie en me posant une question que j’attendais depuis un certain temps :
« Est-ce que je peux vous tutoyé? Ça me fatigue énormément de vouvoyer...»
Sa question m’emplie de joie : je n’aimais pas que mes amis me vouvoies, alors que celle que j’aime me vouvoie… Impossible ! Même si cela ne faisais pas longtemps que j’avais réalisé que je l’aimais, elle m’était déjà devenu cher en temps qu’amie il y a certain temps. Et de ce fait je ne voulais pas qu’elle me vouvoie… C’est donc en souriant que j’allais lui répondre, mais elle ne m’en laissa pas le temps et enchaîna :
« Tu sais, tu n‘étais pas obligé d‘aller les voir pour les avertir ou menacer, je-ne-sais-pas-quoi, mais... Sur le coup, je me sentais terriblement gênée... Et...enfin je m‘excuse... Je... Enfin, on peut changer de sujet?»
Le fait qu’elle ai réussi à me demander cela en riant un peu fini de me convaincre qu’elle s’était remis de mon geste. J’aurai aimé lui dire qu’elle n’avais pas besoin de s’excuser, et que c’était en grande partie ma faute, mais je n’en fis rien. Elle avait demandé à ce que l’on change de sujet et je devais avoué que j’étais assez d’accord avec elle. Cela n’apporterais sans doute rien de bon et de toute façon cela aurai gâcher le moment. Mais son sourire était toujours empreint d’une indicible tristesse qui me peinait un peu. Mais celle-ci sembla s’évaporer en partie lorsqu’elle goûta son gâteau. Un petit soupir de contentement lui échappa, ce qui me fit sourire :
-Je te l’avais bien dit qu’elle était délicieuse ! Je fis une petite pause pour en prendre un bout, puis repris : Et j’accepte avec plaisir que tu me tutoie, je n’aime pas particulièrement être vouvoyer. Certain point du code devrait être revu dans ce sens je pense…
Je ne savais pas véritablement quoi ajouté pour relancer la discussion quand je me souvins son air perplexe au sujet des Loups. Je me demandais si je devais lui raconter cette histoire quand un autre élément sembla pencher dans la faveur de la révélation. Après que je lui ai parlé des Loups, elle pouvait se mettre à s’inquiéter, et j’étais en mesure de la protéger de cette peur inutile en lui racontant cette histoire !
-Je viens de penser à quelque chose, tu n’as sans doute pas compris ma référence aux loups blessés, si tu le souhaite, je peux te raconter ce qui s’est passé, fis je en souriant. Elle acquiesça doucement et je me lançais dans mon histoire : C’est arrivé pendant le camping organisé par Hayden. Mes compagnons d’armes avait oublié d’apporter de quoi mangé et c’est ainsi qu’Endolion a été mis à contribution pour nous ramener à manger. Mais il a du se passer quelque chose, parce que lorsque je suis arrivé sur place après avoir été envoyé par Hayden, Endolion était blessé au bras entouré par Aitbrynk et Myria et des loups blessaient se mourrait non loin… Et comme tu t’en doute, je me suis précipité pour soigner… Les Loups ! Mon compagnon d’arme n’était blessé que superficiellement et deux personnes très compétente était avec lui. En revanche les loups étaient mortellement touché…
J’allais continué en disant que j’avais épuisé une grande partie de mon énergie pour les sauver lorsque je réalisais que ce n’était pas forcément une bonne idée. J’optais alors pour une petite relativisation de l’histoire.
-Cela m’a coûté une bonne partie de mon énergie et m’a fait assez peur pour la vie des Loups, mais j’ai réussi à sauver les deux survivants… Le troisième étant malheureusement déjà morts… Et depuis cette histoire, je suis considéré comme un ami de la meute de cette forêt. Ce qui est assez génial car j’aime beaucoup ces nobles animaux !
Je me demandais ce qu’ils pouvait être en train de faire d’ailleurs. A cette heures-ci, probablement joué avec les louveteaux ou être en train de chasser. En temps normal, j’aurai sans doute aimé les observé, mais aujourd’hui, la compagnie de Shinylla était bien plus intéressante. Et puis les laissé seul de temps en temps était important.
Ses yeux était encore près à verser les larmes qu’elle retenait sans doute, mais la lueur de tristesse semblait avoir été remplacé en partie par de la curiosité. C’est en cherchant dans mes mots ce qui avait bien pu la causer que je me souvins qu’elle n’était pas là lors de mon intervention magique pour sauver les loups… Pendant que je me rappelait mentalement ce petit passage de ma vie, je continuais de regarder distraitement celle que j’aimais. C’est elle qui me sortis de ma rêverie en me posant une question que j’attendais depuis un certain temps :
« Est-ce que je peux vous tutoyé? Ça me fatigue énormément de vouvoyer...»
Sa question m’emplie de joie : je n’aimais pas que mes amis me vouvoies, alors que celle que j’aime me vouvoie… Impossible ! Même si cela ne faisais pas longtemps que j’avais réalisé que je l’aimais, elle m’était déjà devenu cher en temps qu’amie il y a certain temps. Et de ce fait je ne voulais pas qu’elle me vouvoie… C’est donc en souriant que j’allais lui répondre, mais elle ne m’en laissa pas le temps et enchaîna :
« Tu sais, tu n‘étais pas obligé d‘aller les voir pour les avertir ou menacer, je-ne-sais-pas-quoi, mais... Sur le coup, je me sentais terriblement gênée... Et...enfin je m‘excuse... Je... Enfin, on peut changer de sujet?»
Le fait qu’elle ai réussi à me demander cela en riant un peu fini de me convaincre qu’elle s’était remis de mon geste. J’aurai aimé lui dire qu’elle n’avais pas besoin de s’excuser, et que c’était en grande partie ma faute, mais je n’en fis rien. Elle avait demandé à ce que l’on change de sujet et je devais avoué que j’étais assez d’accord avec elle. Cela n’apporterais sans doute rien de bon et de toute façon cela aurai gâcher le moment. Mais son sourire était toujours empreint d’une indicible tristesse qui me peinait un peu. Mais celle-ci sembla s’évaporer en partie lorsqu’elle goûta son gâteau. Un petit soupir de contentement lui échappa, ce qui me fit sourire :
-Je te l’avais bien dit qu’elle était délicieuse ! Je fis une petite pause pour en prendre un bout, puis repris : Et j’accepte avec plaisir que tu me tutoie, je n’aime pas particulièrement être vouvoyer. Certain point du code devrait être revu dans ce sens je pense…
Je ne savais pas véritablement quoi ajouté pour relancer la discussion quand je me souvins son air perplexe au sujet des Loups. Je me demandais si je devais lui raconter cette histoire quand un autre élément sembla pencher dans la faveur de la révélation. Après que je lui ai parlé des Loups, elle pouvait se mettre à s’inquiéter, et j’étais en mesure de la protéger de cette peur inutile en lui racontant cette histoire !
-Je viens de penser à quelque chose, tu n’as sans doute pas compris ma référence aux loups blessés, si tu le souhaite, je peux te raconter ce qui s’est passé, fis je en souriant. Elle acquiesça doucement et je me lançais dans mon histoire : C’est arrivé pendant le camping organisé par Hayden. Mes compagnons d’armes avait oublié d’apporter de quoi mangé et c’est ainsi qu’Endolion a été mis à contribution pour nous ramener à manger. Mais il a du se passer quelque chose, parce que lorsque je suis arrivé sur place après avoir été envoyé par Hayden, Endolion était blessé au bras entouré par Aitbrynk et Myria et des loups blessaient se mourrait non loin… Et comme tu t’en doute, je me suis précipité pour soigner… Les Loups ! Mon compagnon d’arme n’était blessé que superficiellement et deux personnes très compétente était avec lui. En revanche les loups étaient mortellement touché…
J’allais continué en disant que j’avais épuisé une grande partie de mon énergie pour les sauver lorsque je réalisais que ce n’était pas forcément une bonne idée. J’optais alors pour une petite relativisation de l’histoire.
-Cela m’a coûté une bonne partie de mon énergie et m’a fait assez peur pour la vie des Loups, mais j’ai réussi à sauver les deux survivants… Le troisième étant malheureusement déjà morts… Et depuis cette histoire, je suis considéré comme un ami de la meute de cette forêt. Ce qui est assez génial car j’aime beaucoup ces nobles animaux !
Je me demandais ce qu’ils pouvait être en train de faire d’ailleurs. A cette heures-ci, probablement joué avec les louveteaux ou être en train de chasser. En temps normal, j’aurai sans doute aimé les observé, mais aujourd’hui, la compagnie de Shinylla était bien plus intéressante. Et puis les laissé seul de temps en temps était important.
Thrain- Personnage important
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Rôle : Chevalier accro au Lait !
Âme Soeur : Je pense avoir trouver *en évolution*
Sexe : Masculin
Date d'inscription : 18/12/2011
Re: Le coup de grâce! [Pv Thrain][terminé]
Je n’aimais pas vouvoyer les personnes ni le contraire c’était pareil pour le chevalier qui me disait que ma tarte jardinière était vraiment délicieuse comme si je ne l’avais jamais gouté. Je l’avais déjà gouté plusieurs quand j’avais de la chance que ma mère la faisait volontiers, mais ces derniers temps, j’avais une rage de sucre au point que j’allais faire la cuisine seule et d’essayer les recettes à ma maman. Plusieurs échecs et quelques victoires seulement. C’était ma première victoire depuis que je restais dans le château. Enfin, elle était vraiment délicieuse. Les précédentes étaient soient trop sucrés ou pas assez, il manquait quelque point atteindre la perfection et j’étais réellement fière de moi. J’étais fière de moi c’était honnêtement une exploit.
Alors, il pensait qu’on devait changer le code pour le vouvoiement. Pas tout à fait. Je pensais plutôt de modifier les règles vis-à-vis des patrons qui maltraitaient beaucoup trop leurs employés. Les refuser davantage ou bien sinon leur faire payer des prix forts pour l’état de son employer. De faire une justice dans cette injustice, heureusement que ma justice à moi a passé plutôt et que désormais ma justice était devant moi. Je la remerciais malgré que c’était embarrassant sur le coup. Vous savez, je n’étais pas habituée qu’on m’aide autant que cela depuis que je suis au château. À cause de l’intendante, elle me refusait presque toute accès de me faire des amis et d’avoir une vie sociale en dehors de mon travail, cependant non. Il fallait absolument que je sois docile et que je fasse mon travail en ignorant les autres point barres. Je n’étais pas comme ça et j’étais fière de ce coup. J’étais une fois de plus fière de moi. Je me donnais une tape dans le dos imaginaire pour continuer à m’encourager et d’être encore plus fière de moi.
Je continuais à manger ma part de ma jardinière sans rien dire comme si notre conversation était mort depuis qu’on avait dit qu’il fallait peut-être changer de sujet, que je lui demande aussi de le tutoyer et de dire aussi que le code devait être à vérifier. C’était la vie, c’était un silence plutôt anormal jusqu’à temps qu’il remettait à parler que je sursautais légèrement et que je le rigolais en riant un peu à cause que j’avais sursauté pour rien du tout. C’était une bulle qui avait passé dans ma tête, alors commençons à l’écouter soigneusement de son histoire de loup et du camping.
Il disait que Hayden avait fait un camping pour ses chevaliers pour avoir un moment entre eux. C’était vraiment gentil de sa part, il était attentionné envers ses chevaliers comme si c’était réellement ses enfants, si je pouvais dire de cette façon. Quoiqu’il avait ses propres défauts d’être trop sûr de lui et de se dénuder quand le moment se présentait. Bref, c’était sympa de sa part. Thrain disait aussi qu’il n’avait pas de nourriture alors que le chef avait demandé à un de ses camarades d’aller à la chasse et par la suite demander au chevalier devant moi d’aller le rejoindre et d’aller le guérir. Guérir les loups toutefois. Je fronçais les sourcils, incrédule. J’étais vraiment surprise d’entendre une telle situation. Comment Denden avait réagit à ce genre de comportement et de manque de fraternité entre frère d’arme? Je me posais sérieusement la question.
Il continuait encore qu’il avait épuisé une bonne partie de son énergie que je m’inquiétais soudainement ce qui était plus fort que moi malgré moi. Disant aussi qu’il aimait ces animaux sauvages qui étaient les loups, mais je n’avais pas la tête à ça, j’avais bien la tête à me poser des questions sur son état de santé.
« Mais tu vas bien au moins? Le chaton n‘a pas pris autant d‘énergie que les loups?» lui disais-je un peu sur le ton inquiétant.
J’avais le regard inquiétant aussi, mais je baissais la tête instinctivement et je rougissais un peu. Pourquoi je rougissais justement? Aucune espèce d’idée pour l’instant. Je reprenais doucement son regard cessant petit à petit de rougir et en souriant je lui disais en toute franchise:
« J‘ai jamais vu de loup de ma vie, alors je sais pas à quoi ça ressemble réellement ces bêtes.»
Puis doucement, mais sûrement je finissais ma part et je déposais mon assiette plus loin en allant prendre la bouteille de lait pour boire une gorgée on s’entendait. Cette fois-ci étonnamment, je n’avais pas de moustache de lait. Techniquement à chaque fois j’étais sensée en avoir, mais bon c’était autrement aujourd’hui, qui sait? Sinon, je lui tendais la bouteille en souriant de plus belle et je lui demandais:
« Hayden comment a réagit à propos de ton intervention sur les loups et non sur ton frère d‘arme?» finissais-je par demander sous un ton d’intrigue.
C’était vrai que ça m’intriguait et je voulais savoir, c’était ma question qui prenait majoritairement beaucoup de place dans ma tête et voilà qu’elle était sortie. Maintenant, je voulais savoir à quoi ressemblait les loups. Ces braves bêtes sauvages.
Alors, il pensait qu’on devait changer le code pour le vouvoiement. Pas tout à fait. Je pensais plutôt de modifier les règles vis-à-vis des patrons qui maltraitaient beaucoup trop leurs employés. Les refuser davantage ou bien sinon leur faire payer des prix forts pour l’état de son employer. De faire une justice dans cette injustice, heureusement que ma justice à moi a passé plutôt et que désormais ma justice était devant moi. Je la remerciais malgré que c’était embarrassant sur le coup. Vous savez, je n’étais pas habituée qu’on m’aide autant que cela depuis que je suis au château. À cause de l’intendante, elle me refusait presque toute accès de me faire des amis et d’avoir une vie sociale en dehors de mon travail, cependant non. Il fallait absolument que je sois docile et que je fasse mon travail en ignorant les autres point barres. Je n’étais pas comme ça et j’étais fière de ce coup. J’étais une fois de plus fière de moi. Je me donnais une tape dans le dos imaginaire pour continuer à m’encourager et d’être encore plus fière de moi.
Je continuais à manger ma part de ma jardinière sans rien dire comme si notre conversation était mort depuis qu’on avait dit qu’il fallait peut-être changer de sujet, que je lui demande aussi de le tutoyer et de dire aussi que le code devait être à vérifier. C’était la vie, c’était un silence plutôt anormal jusqu’à temps qu’il remettait à parler que je sursautais légèrement et que je le rigolais en riant un peu à cause que j’avais sursauté pour rien du tout. C’était une bulle qui avait passé dans ma tête, alors commençons à l’écouter soigneusement de son histoire de loup et du camping.
Il disait que Hayden avait fait un camping pour ses chevaliers pour avoir un moment entre eux. C’était vraiment gentil de sa part, il était attentionné envers ses chevaliers comme si c’était réellement ses enfants, si je pouvais dire de cette façon. Quoiqu’il avait ses propres défauts d’être trop sûr de lui et de se dénuder quand le moment se présentait. Bref, c’était sympa de sa part. Thrain disait aussi qu’il n’avait pas de nourriture alors que le chef avait demandé à un de ses camarades d’aller à la chasse et par la suite demander au chevalier devant moi d’aller le rejoindre et d’aller le guérir. Guérir les loups toutefois. Je fronçais les sourcils, incrédule. J’étais vraiment surprise d’entendre une telle situation. Comment Denden avait réagit à ce genre de comportement et de manque de fraternité entre frère d’arme? Je me posais sérieusement la question.
Il continuait encore qu’il avait épuisé une bonne partie de son énergie que je m’inquiétais soudainement ce qui était plus fort que moi malgré moi. Disant aussi qu’il aimait ces animaux sauvages qui étaient les loups, mais je n’avais pas la tête à ça, j’avais bien la tête à me poser des questions sur son état de santé.
« Mais tu vas bien au moins? Le chaton n‘a pas pris autant d‘énergie que les loups?» lui disais-je un peu sur le ton inquiétant.
J’avais le regard inquiétant aussi, mais je baissais la tête instinctivement et je rougissais un peu. Pourquoi je rougissais justement? Aucune espèce d’idée pour l’instant. Je reprenais doucement son regard cessant petit à petit de rougir et en souriant je lui disais en toute franchise:
« J‘ai jamais vu de loup de ma vie, alors je sais pas à quoi ça ressemble réellement ces bêtes.»
Puis doucement, mais sûrement je finissais ma part et je déposais mon assiette plus loin en allant prendre la bouteille de lait pour boire une gorgée on s’entendait. Cette fois-ci étonnamment, je n’avais pas de moustache de lait. Techniquement à chaque fois j’étais sensée en avoir, mais bon c’était autrement aujourd’hui, qui sait? Sinon, je lui tendais la bouteille en souriant de plus belle et je lui demandais:
« Hayden comment a réagit à propos de ton intervention sur les loups et non sur ton frère d‘arme?» finissais-je par demander sous un ton d’intrigue.
C’était vrai que ça m’intriguait et je voulais savoir, c’était ma question qui prenait majoritairement beaucoup de place dans ma tête et voilà qu’elle était sortie. Maintenant, je voulais savoir à quoi ressemblait les loups. Ces braves bêtes sauvages.
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Re: Le coup de grâce! [Pv Thrain][terminé]
Lorsque je mentionnais la guérison des Loups elle fus surprise. Mais c’était normal : Qui aurai été jusqu’à mettre sa vie en jeu pour sauvé deux loups quand un de ses compagnons avait été blessé ? Personne, sauf moi. Mais je n’étais pas un fou pour autant, Endy ne risqué rien. Sa blessure au bras n’était pas suffisamment profonde pour mettre sa vie en danger, et avec Aitbrynk et Myria à coté ses chances de mourir aussi bêtement était nul. Et de toute façon Endy n’aurai pas laissé la mort l’emporté pour une blessure de ce type ! En revanche coté dosage du risque j’avais vraiment été mauvais en ce qui me concernais. Allais jusqu’à faire une régénération complète pour deux loups… Ce n’étais certainement pas ce que j’avais fait de plus intelligent dans toute ma vie.
Sa surprise était donc légitime, d’autant plus que ce n’était pas la première que je surprenais. Mes deux spectateur qui m’avait vu arriver avait également du être méchamment surpris. Mais j’étais comme sa, je ne pouvais pas m’en empêcher. Quelque que soit ceux qui était blessé, je m’occupais toujours du plus blessé avant les autres. Et si cela devait surprendre le monde entier, et bien le monde entier serai surpris !
Lorsque j’enchaînais sur ce que j’avais dépensé pour cette guérison, une lueur d’inquiétude passa dans ses yeux. De toute évidence je n’avais pas assez minimiser la perte d’énergie… Elle avait fini par s’inquiéter,sauf que minimiser trop m’aurai fait tombé dans la vantardise et aurai été un mensonge… Il n’y avait donc pas de solution miracle pour évité qu’elle ne s’inquiète. Mais sa question fini de m’achever : elle voulait savoir si je n’avais pas consommer autant d’énergie pour la guérison du chaton.
-Bien sûr que non, ce n’est rien par rapport au Lo…
La suite mourut sur mes lèvres : trop insisté sur la différence entre ces deux guérisons montreraient que j’avais vraiment abusé pour celle des Loups. Mon état actuel n’était déjà pas très glorieux, alors dire que ce n’était rien comparé au Loup, c’était un aveu de ma bêtise… Par chance, un hibou avait hululer au loin, et ma phrase en avait été masqué, avec un peu de chance, elle ne l’aurai pas entendu…
Possibilité qui semblait se confirmé vu qu’elle avait continué en me disant qu’elle n’avait jamais vu de Loup de sa vie. C’était dommage, mais pas nécessairement plus mal. Les Loups ayant pour habitude d’évité l’homme autant que possible, tombé sur l’un des deux signifiait qu’il y avait un problème quelque part, ou que l’on était extrêmement chanceux. J’envisageais rapidement l’option de présenté Shiny à la Meute, mais y renonçais assez vite : Ce n’était pas une bonne idée, j’avais été toléré suite à l’incident, mais cela ne voulait pas pour autant dire que j’étais le bienvenue. Ces animaux étant très indépendant, resté avec eux tout le temps était inenvisageable, alors ramené quelqu’un avec moi… Impossible. Et je n’étais pas capable de crée une illusion pouvant lui montrer à quoi ressemblait un loup. Je devrais donc les lui décrire, mais cela ne me posais pas de problème si c’était pour celle que j’aimais. J’allais me lancé dans ma description quand elle m’arrêta brusquement avec une question :
« Hayden comment a réagit à propos de ton intervention sur les loups et non sur ton frère d‘arme?»
Heuu… C’était compliqué. Évidement il m’avait remis les pendules à l’heure concernant les priorités, mais d’un autre coté, il me connaissais et savais que je m’étais sentis obligé de sauvé les Loups, plus gravement atteint qu’Endy qui en plus les avait provoqué involontairement. De leur points de vu, c’était Endy qui les avait attaqué et ce sans aucunes raisons… Or les laissé mourir pour cela aurai été injuste donc oui je m’étais pris un magnifique discours sur les priorités. Discours que je reconnais comme très juste mais qui avait failli me faire piquer du nez. Oui je n’aurais pas du faire cela, mais d’un autre coté, je n’avais pas pu m’en empêcher et en plus, je n’avais pas parfaitement récupéré de mon intervention, la fatigue avait fait le reste et j’avais failli m’en dormir. Je lui répondis en acceptant la bouteille de Lait qu’elle me tendait.
-Ahem… Disons juste qu’il n’a vraiment apprécié que je m’occupe des loups sans même pensé à Endolion. J’ai eu le droit à u magnifique discours sur les priorités. Et je dois bien admettre qu’il a raison, j’aurais du m’occupé d’Endy en priorité, mais cela aurai condamné les Loups à une mort certaine… Et puis au final il n’y a pas eu plus de mal que cela vu qu’Aitbrynk et Myria étaient là pour s’occupé du blessé.
Je n’étais pas spécialement fière d’avoir eu besoin de recevoir cette leçon, mais je le savais nécessaire, quoi que sans doute peu efficace. En plus, j’étais quand même le plus âgé des Chevaliers, je n’aurais pas du e, avoir besoin, mais voilà, j’étais complètement dépendant de mes envies. Chez moi, l’action passait avant la réflexion. C’était comme sa depuis ma plus jeune enfance et ce n’était pas près de changé.
Puis pour effacer en quelque sorte ce petit dérapage, je décidais de lui décrire les loups :
-Pour ce qui est de ta question implicite sur à quoi ressemble les Loups, j’aurais aimé pouvoir te faire rencontrer la Meute avec laquelle je me suis plus ou moins lié d’amitié, mais ce serai une mauvaise idée. Sans allé jusqu'à nous attaqué je pense qu’il pourrait se révéler hostile à notre présence. Je vais donc te les décrire. Les Loups sont des animaux ressemblant plus ou moins au chien, mais en bien plus noble. Ils ont une sorte de prestance naturel qui les rendent fascinant. Ses oreilles sont généralement courte et droite, ses iris sont souvent de couleur jaune et oblique par rapport à l’axe de la tête. Leur déplacement sont emprunt de grâce naturel. De plus ce sont des animaux nobles : Ils n’oublient jamais une dette, et refuse de mangé les cadavres d’animaux abandonné. Ce sont des chasseurs sans peurs et organisé, pas question de se jeter bêtement sur leur proie, ils sont bien trop intelligent pour cela. Ils la sépareront de leur groupes avant de les harceler jusqu’à ce qu’elle soit à bout. Et alors ils attaquerons sans lui laissé de chance de s’échappé.
Je fis une courte pose en remarquant non sans un brin d’amusement que ma vison des Loups avait largement dépassé la description pur et simple de cet animal. Puis je repris en continuant sur ma lancé :
-Et malgré tout il est souvent craint des hommes qui n’hésitent pas à le chassé par peur, pourtant cet animal ne s’attaque presque jamais à l’homme. Il le fuis autant que possible, et s’il se doit se confronté à lui, c’est qu’il n’a vraiment pas le choix : protégé un de leur louveteau ou parce qu’il se sent directement en danger et qu’il ne peut pas s’échappé…
Lorsque j’étais lancé sur ce sujet j’étais presque inarrêtable. Mais je réussis à essayé de m’auto juguler pour laisser à Shiny l’occasion de répondre. En plus cette pause me permettais de prendre un peu de temps pour boire mon Lait tout en regardant Shiny. C’était ce que je pouvais qualifié de bon timing.
Sa surprise était donc légitime, d’autant plus que ce n’était pas la première que je surprenais. Mes deux spectateur qui m’avait vu arriver avait également du être méchamment surpris. Mais j’étais comme sa, je ne pouvais pas m’en empêcher. Quelque que soit ceux qui était blessé, je m’occupais toujours du plus blessé avant les autres. Et si cela devait surprendre le monde entier, et bien le monde entier serai surpris !
Lorsque j’enchaînais sur ce que j’avais dépensé pour cette guérison, une lueur d’inquiétude passa dans ses yeux. De toute évidence je n’avais pas assez minimiser la perte d’énergie… Elle avait fini par s’inquiéter,sauf que minimiser trop m’aurai fait tombé dans la vantardise et aurai été un mensonge… Il n’y avait donc pas de solution miracle pour évité qu’elle ne s’inquiète. Mais sa question fini de m’achever : elle voulait savoir si je n’avais pas consommer autant d’énergie pour la guérison du chaton.
-Bien sûr que non, ce n’est rien par rapport au Lo…
La suite mourut sur mes lèvres : trop insisté sur la différence entre ces deux guérisons montreraient que j’avais vraiment abusé pour celle des Loups. Mon état actuel n’était déjà pas très glorieux, alors dire que ce n’était rien comparé au Loup, c’était un aveu de ma bêtise… Par chance, un hibou avait hululer au loin, et ma phrase en avait été masqué, avec un peu de chance, elle ne l’aurai pas entendu…
Possibilité qui semblait se confirmé vu qu’elle avait continué en me disant qu’elle n’avait jamais vu de Loup de sa vie. C’était dommage, mais pas nécessairement plus mal. Les Loups ayant pour habitude d’évité l’homme autant que possible, tombé sur l’un des deux signifiait qu’il y avait un problème quelque part, ou que l’on était extrêmement chanceux. J’envisageais rapidement l’option de présenté Shiny à la Meute, mais y renonçais assez vite : Ce n’était pas une bonne idée, j’avais été toléré suite à l’incident, mais cela ne voulait pas pour autant dire que j’étais le bienvenue. Ces animaux étant très indépendant, resté avec eux tout le temps était inenvisageable, alors ramené quelqu’un avec moi… Impossible. Et je n’étais pas capable de crée une illusion pouvant lui montrer à quoi ressemblait un loup. Je devrais donc les lui décrire, mais cela ne me posais pas de problème si c’était pour celle que j’aimais. J’allais me lancé dans ma description quand elle m’arrêta brusquement avec une question :
« Hayden comment a réagit à propos de ton intervention sur les loups et non sur ton frère d‘arme?»
Heuu… C’était compliqué. Évidement il m’avait remis les pendules à l’heure concernant les priorités, mais d’un autre coté, il me connaissais et savais que je m’étais sentis obligé de sauvé les Loups, plus gravement atteint qu’Endy qui en plus les avait provoqué involontairement. De leur points de vu, c’était Endy qui les avait attaqué et ce sans aucunes raisons… Or les laissé mourir pour cela aurai été injuste donc oui je m’étais pris un magnifique discours sur les priorités. Discours que je reconnais comme très juste mais qui avait failli me faire piquer du nez. Oui je n’aurais pas du faire cela, mais d’un autre coté, je n’avais pas pu m’en empêcher et en plus, je n’avais pas parfaitement récupéré de mon intervention, la fatigue avait fait le reste et j’avais failli m’en dormir. Je lui répondis en acceptant la bouteille de Lait qu’elle me tendait.
-Ahem… Disons juste qu’il n’a vraiment apprécié que je m’occupe des loups sans même pensé à Endolion. J’ai eu le droit à u magnifique discours sur les priorités. Et je dois bien admettre qu’il a raison, j’aurais du m’occupé d’Endy en priorité, mais cela aurai condamné les Loups à une mort certaine… Et puis au final il n’y a pas eu plus de mal que cela vu qu’Aitbrynk et Myria étaient là pour s’occupé du blessé.
Je n’étais pas spécialement fière d’avoir eu besoin de recevoir cette leçon, mais je le savais nécessaire, quoi que sans doute peu efficace. En plus, j’étais quand même le plus âgé des Chevaliers, je n’aurais pas du e, avoir besoin, mais voilà, j’étais complètement dépendant de mes envies. Chez moi, l’action passait avant la réflexion. C’était comme sa depuis ma plus jeune enfance et ce n’était pas près de changé.
Puis pour effacer en quelque sorte ce petit dérapage, je décidais de lui décrire les loups :
-Pour ce qui est de ta question implicite sur à quoi ressemble les Loups, j’aurais aimé pouvoir te faire rencontrer la Meute avec laquelle je me suis plus ou moins lié d’amitié, mais ce serai une mauvaise idée. Sans allé jusqu'à nous attaqué je pense qu’il pourrait se révéler hostile à notre présence. Je vais donc te les décrire. Les Loups sont des animaux ressemblant plus ou moins au chien, mais en bien plus noble. Ils ont une sorte de prestance naturel qui les rendent fascinant. Ses oreilles sont généralement courte et droite, ses iris sont souvent de couleur jaune et oblique par rapport à l’axe de la tête. Leur déplacement sont emprunt de grâce naturel. De plus ce sont des animaux nobles : Ils n’oublient jamais une dette, et refuse de mangé les cadavres d’animaux abandonné. Ce sont des chasseurs sans peurs et organisé, pas question de se jeter bêtement sur leur proie, ils sont bien trop intelligent pour cela. Ils la sépareront de leur groupes avant de les harceler jusqu’à ce qu’elle soit à bout. Et alors ils attaquerons sans lui laissé de chance de s’échappé.
Je fis une courte pose en remarquant non sans un brin d’amusement que ma vison des Loups avait largement dépassé la description pur et simple de cet animal. Puis je repris en continuant sur ma lancé :
-Et malgré tout il est souvent craint des hommes qui n’hésitent pas à le chassé par peur, pourtant cet animal ne s’attaque presque jamais à l’homme. Il le fuis autant que possible, et s’il se doit se confronté à lui, c’est qu’il n’a vraiment pas le choix : protégé un de leur louveteau ou parce qu’il se sent directement en danger et qu’il ne peut pas s’échappé…
Lorsque j’étais lancé sur ce sujet j’étais presque inarrêtable. Mais je réussis à essayé de m’auto juguler pour laisser à Shiny l’occasion de répondre. En plus cette pause me permettais de prendre un peu de temps pour boire mon Lait tout en regardant Shiny. C’était ce que je pouvais qualifié de bon timing.
Thrain- Personnage important
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Re: Le coup de grâce! [Pv Thrain][terminé]
Je m’inquiétais à son sujet, mais pourquoi? Pourquoi je m’inquiétais autant pour cet homme alors que... Que... Enfin je ne savais pas pour quelle raison du pourquoi je m’inquiétais pour lui. Je me sentais proche de lui c’était tout. Je sentais que je pouvais tout lui dire, je sentais qu’il était là rien que pour moi. À vrai dire, c’était un merveilleux ami qui était réellement attentionné avec moi. Il était quasi l’unique qui ne m’insultait pas pour ma pauvreté de mon intelligence. Il était quasi le seul et les autres n’étaient que des connaissances. Lui, Thrain, était mon premier et vrai ami que j’avais eu. Justement, est-ce que c’était pas perversité qu’il était venu m’aborder et qu’il n’avait pas lâché d’être dans ma compagnie? Est-ce qu’il était là rien que pour mon corps? Est-ce qu’il était là pour me prendre comme bouche trou? Non, je ne sentais aucunement de froid de sa part, je me sentais bien à l’aise pour une personne qui était censée être bouche trou, je me sentais bien et si j’étais réellement bouche trou, ce n’était pas grave, je m’étais au moins amuser malgré les moments d’émotions.
Quand il répondait à ma question s’il avait perdu autant d’énergie que le chaton, sa réponse me fit sursauter. Bien sûr que non, ce n’est rien en rapport avec les loups? Il voulait réellement dire les loups? Je ne savais pas, mais mon sombre saut était fait à cause d’un hibou qui hululait au loin. J’avais manqué le dernier mots et je n’avais pas écouté à cause du hibou qui m’avait fait peur. Je m’étais retournée pour savoir où il était, car je n’avais jamais vu de hibou auparavant.
Me disant aussi qu’Hayden lui sermonnait par un discours concernant les priorités. J’absorbais tous les mots qui avaient à dire comme une éponge qui ne cessait pas de siphonner. Hayden n’avait pas l’air d’un homme sérieux pour sa carrure et de son rôle qu’il avait comparant à Thrain. Ce chef des chevaliers avait l’air plus attacher à la nature et passé ses nuits dans l’insomnie en passant à côté de sa priorité qui était de veiller sur le continument sur quelconque menace, mais non. Même les autres chevaliers ne faisaient pas comme lui. Ils faisaient comme bon lui semblait. On dirait qu’ils attendent que l’ennemi frappe à leur porte pour pouvoir intervenir à moins que j’étais réellement folle et que je passais à côté. De toute façon, je n’étais pas la bonne personne pour juger quoi que se soit par rapport à l’utilité et le rôle des personnes. Une chance qui avait Myria et Aitbrynk disons que le buveur de lait devant moi ne serait pas là aujourd’hui je crois sinon.
Je tentais d’ouvrir la bouche, mais il m’arrêtait pour dire quelque chose qui me laissait quelque peu bouche bée. Il me racontait c’était quoi un Loup et à quoi ça ressemblait. En fait, il ne disait pas directement à quoi ça ressemblait, mais il disait comment ça agissait et tout. Donc un loup vivait dans une meute avec d’autre parmi leur race. En gros, ils n’aiment pas se faire harceler par les humains préférant vivre avec leur groupe en les évitant le plus possible. Des magnifiques bêtes, je ne pouvais pas le confirmer, mais ça avait l’air tellement crédible dans la bouche du chevalier que je ne pouvais pas ne pas le croire. Enfin, je l’écoutais si, mais il avait bien trop de mots pour comprendre totalement le contenu. Disons que j’essayais plus d’imaginer ces créatures qui étaient plus grosses qu’un chien... Oui... Si je pouvais avoir une image, je pourrais imaginer, mais comme je suis pourrie pour imaginer ça tombait littéralement à l’eau.
Je finissais de manger mon morceau de tarte, il ne restait que les fruits qui avaient tombé de mon ustensile et je m’en allais les dévorer sans hésité. Cependant, il avait cessé de parler pour boire du lait. Je montais mon regard vers lui en sachant que j’avais piqué une fraise qui tenait par peur sur ma fourchette. Alors un courant d’air... Et ça tomberait.
« J‘ai du mal à imaginer, désolée. Disons que je suis plus visuelle qu‘auditive. Si un jour, j‘en croise j‘espère que tu seras là pour ne pas que je fasse de faux mouvement pour les agresser indirectement.» disais-je en souriant.
J’allais doucement manger ma fraise quand une grosse bourrasque de vent soufflait derrière moi. Je frissonnais un peu, mais j’éclatais subitement à rire voyant où que ma fraise se déposait. Oh non, directement dans le cou de Thrain. Je me sentais tellement gênée et surtout goinfre de manger pendant qu’il était là. Je me sentais mal. Je continuais de rire en déposant mon assiette et en m’approchant très près de lui:
« C‘était pas voulu. Je vais aller la retirer rapidement.» continuais de rire en regardant que la fraise et non le visage de Thrain qui était quand même près.
Prenant la fraise du bout des doigts, je reculais de quelques centimètres pour ainsi tendre le fruit pour qui la mange. Je ne suis pas dédaigneuse, mais au moins poli de ma part de lui proposer un fruit rouge. Malheureusement, j’aurais bien voulu lui dire quelque chose, mais je le regardais dans les yeux... J’avais remarqué qu’on était réellement proche et ça ne me dérangeait pas en réalité ce qui m’avait surpris venant de ma part. Je n’espérais pas non plus de l’avoir contrarié
Quand il répondait à ma question s’il avait perdu autant d’énergie que le chaton, sa réponse me fit sursauter. Bien sûr que non, ce n’est rien en rapport avec les loups? Il voulait réellement dire les loups? Je ne savais pas, mais mon sombre saut était fait à cause d’un hibou qui hululait au loin. J’avais manqué le dernier mots et je n’avais pas écouté à cause du hibou qui m’avait fait peur. Je m’étais retournée pour savoir où il était, car je n’avais jamais vu de hibou auparavant.
Me disant aussi qu’Hayden lui sermonnait par un discours concernant les priorités. J’absorbais tous les mots qui avaient à dire comme une éponge qui ne cessait pas de siphonner. Hayden n’avait pas l’air d’un homme sérieux pour sa carrure et de son rôle qu’il avait comparant à Thrain. Ce chef des chevaliers avait l’air plus attacher à la nature et passé ses nuits dans l’insomnie en passant à côté de sa priorité qui était de veiller sur le continument sur quelconque menace, mais non. Même les autres chevaliers ne faisaient pas comme lui. Ils faisaient comme bon lui semblait. On dirait qu’ils attendent que l’ennemi frappe à leur porte pour pouvoir intervenir à moins que j’étais réellement folle et que je passais à côté. De toute façon, je n’étais pas la bonne personne pour juger quoi que se soit par rapport à l’utilité et le rôle des personnes. Une chance qui avait Myria et Aitbrynk disons que le buveur de lait devant moi ne serait pas là aujourd’hui je crois sinon.
Je tentais d’ouvrir la bouche, mais il m’arrêtait pour dire quelque chose qui me laissait quelque peu bouche bée. Il me racontait c’était quoi un Loup et à quoi ça ressemblait. En fait, il ne disait pas directement à quoi ça ressemblait, mais il disait comment ça agissait et tout. Donc un loup vivait dans une meute avec d’autre parmi leur race. En gros, ils n’aiment pas se faire harceler par les humains préférant vivre avec leur groupe en les évitant le plus possible. Des magnifiques bêtes, je ne pouvais pas le confirmer, mais ça avait l’air tellement crédible dans la bouche du chevalier que je ne pouvais pas ne pas le croire. Enfin, je l’écoutais si, mais il avait bien trop de mots pour comprendre totalement le contenu. Disons que j’essayais plus d’imaginer ces créatures qui étaient plus grosses qu’un chien... Oui... Si je pouvais avoir une image, je pourrais imaginer, mais comme je suis pourrie pour imaginer ça tombait littéralement à l’eau.
Je finissais de manger mon morceau de tarte, il ne restait que les fruits qui avaient tombé de mon ustensile et je m’en allais les dévorer sans hésité. Cependant, il avait cessé de parler pour boire du lait. Je montais mon regard vers lui en sachant que j’avais piqué une fraise qui tenait par peur sur ma fourchette. Alors un courant d’air... Et ça tomberait.
« J‘ai du mal à imaginer, désolée. Disons que je suis plus visuelle qu‘auditive. Si un jour, j‘en croise j‘espère que tu seras là pour ne pas que je fasse de faux mouvement pour les agresser indirectement.» disais-je en souriant.
J’allais doucement manger ma fraise quand une grosse bourrasque de vent soufflait derrière moi. Je frissonnais un peu, mais j’éclatais subitement à rire voyant où que ma fraise se déposait. Oh non, directement dans le cou de Thrain. Je me sentais tellement gênée et surtout goinfre de manger pendant qu’il était là. Je me sentais mal. Je continuais de rire en déposant mon assiette et en m’approchant très près de lui:
« C‘était pas voulu. Je vais aller la retirer rapidement.» continuais de rire en regardant que la fraise et non le visage de Thrain qui était quand même près.
Prenant la fraise du bout des doigts, je reculais de quelques centimètres pour ainsi tendre le fruit pour qui la mange. Je ne suis pas dédaigneuse, mais au moins poli de ma part de lui proposer un fruit rouge. Malheureusement, j’aurais bien voulu lui dire quelque chose, mais je le regardais dans les yeux... J’avais remarqué qu’on était réellement proche et ça ne me dérangeait pas en réalité ce qui m’avait surpris venant de ma part. Je n’espérais pas non plus de l’avoir contrarié
Shinylla- Admin ShinyStar in the Sky
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Re: Le coup de grâce! [Pv Thrain][terminé]
Apparament Shiny avait l’air d’apprécié ce que j’essayais de faire ressembler à une description. Cela m’ota la crainte que j’avais eu de la fatiguer avec une description qui ne l’aurai pas interresé. Lorsque je m’arrétais pour boire un peu de lait, je remarquais qu’elle avait fini sa tarte et qu’il ne lui restait que quelque fruit dont une fraise sur le point d’être mangé, mais contre toute attente, cette fraise eu le droit à un petit sursie car Shinylla prit la parole :
« J‘ai du mal à imaginer, désolée. Disons que je suis plus visuelle qu‘auditive. Si un jour, j‘en croise j‘espère que tu seras là pour ne pas que je fasse de faux mouvement pour les agresser indirectement.»
Si cela devait arriver, je serai évidement avec elle si j’en avais le choix. Ce serai même un plaisir. Je levais doucement les yeux au ciel pour contempler son bleu azur quand un coup de vent plus fort que les autres passa et me fit tréssaillir de surprise : Ce n’était pas le vent qui m’avait surpris, mais une chose fraiche et un peu humide qui m’avait atteint au coup.
Ce n’est qu’en baissant les yeux, et en voyant Shiny rire, sans aucune trace de la fraise autrefois sur la cuillère que je compris. J’allais l’enlever quand je la vis s’approcher en prenant la parole :
« C‘était pas voulu. Je vais aller la retirer rapidement.»
J’allais lui dire que ce n’étais rien et que j’allais m’en charger, mais je n’en eu pas le temps : elle s’était déjà trop rapproché, et cela me troublait un peu. Je n’eu pas le temps de protester que ses doigts cherchait déjà le fruit fugeur. Le simple contact de ses doigts sur mon cou me fit frissoner à nouveau. C’était absurde ! Elle ne faisait que me m’effleurer et pourtant j’en était complétement déboussolé. L’amour devait rendre idiot, il n’y a pas d’autre solution. Pourquoi un simplecontact me pertuber autant ?
Puis elle fini par capturer le fruit se rebellant contre son destin, et elle s’éloigna un peu, ce qui me permis de repenser correctement pendant trois bonne seconde avant de réalisais qu’elle était encore toute proche et qu’elle me tendait le fraise pour que je mette fin à sa rebellion. Je crois que c’est à peu près à ce moment là que mon cerveau me lacha. Ou alors c’est au moment ou j’ai croisé son regard. Je ne sais plus très bien…
-Je… Ahm, Enfin tu… Hm… Merci…
C’était assez halluciannant : J’avais eu un mal fou à ne faire qu’a la remercier. Et c’était carrémment en priant pour qu’aucune rougeur n’envahisse mes joues que je mis fin à la vie du fruit. J’étais tellement troublé que j’étais incapable de sentir l’habituel feu au joue qui caractérisait le rougissement.
Ce qui fini de mettre hors d’état de fonctionner mon cerveau fus le moment ou son odeur guidé par un vent vicieu m’envahis : une agréable fragrance, à la fois délicate et fraiche. Une odeur pleine de vie, tout en étant douce et pourtant troublante. Une odeur merveilleuse dont je ne me lassais pas. Cette proximité entre nous m’enchantais autant qu’elle me troublait. Et je ne pouvais pas détacher mon regard du sien. Complètement subjuger.
C’est sans doute pourquoi le regard moqueur de la nouvelle mère ne m’atteint pas. Pas plus que le fait qu’elle s’était relever et qu’elle réveillait à coup de langue le chaton qui venait de s’endormir. Puis me tapotta doucement la jambe. Sauf que je n’avais absolument aucune réaction. Et qu’elle n’était pas très patiente. Après un miaulement plaintif elle sortie le grand jeu : d’un coup de patte parfaitement ajusté elle envoya roulé plus loin la bouteille que je venais de poser, gachant du même coup le lait et créant un bruit que j’avais appris à reconnaitre entre mille et qui me fis revenir à moi.
Je rompis le contact visuel et me relever en secouant doucement la tête pour me dynamiser l’esprit. Même si j’aurai préféré que cela n’arrive pas, rentrer était inévitable. Et puis à rester là à la fixer, me donner des envies bizzare… C’était bien la première fois que j’avais eu envie d’embrasser quelqu’un… Et puis pendant une seconde il m’avait semblait voir une petite lumière emanant d’elle, mais cela avait disparus bien trop vite. Probablement un simple rayon de lumière. Mais c’était très clairement après cette vision que l’envie de l’embrasser m’avait pris… Etrange.
Une fois debout, l’air frais me fis du bien, je tendis une main vers Shiny pour l’aidé à se relever en lui expliquant que la nouvelle mère avait décidé de mettre fin à notre pique nique.
-Cela ne te dérange pas de rentrer maintenant ? La nouvelle mère semble vouloir plus de tranquilité pour ses petits et en plus cela nous permettras de lui faire une place à l’écurie en rentrant. Qu’en dis tu ?
« J‘ai du mal à imaginer, désolée. Disons que je suis plus visuelle qu‘auditive. Si un jour, j‘en croise j‘espère que tu seras là pour ne pas que je fasse de faux mouvement pour les agresser indirectement.»
Si cela devait arriver, je serai évidement avec elle si j’en avais le choix. Ce serai même un plaisir. Je levais doucement les yeux au ciel pour contempler son bleu azur quand un coup de vent plus fort que les autres passa et me fit tréssaillir de surprise : Ce n’était pas le vent qui m’avait surpris, mais une chose fraiche et un peu humide qui m’avait atteint au coup.
Ce n’est qu’en baissant les yeux, et en voyant Shiny rire, sans aucune trace de la fraise autrefois sur la cuillère que je compris. J’allais l’enlever quand je la vis s’approcher en prenant la parole :
« C‘était pas voulu. Je vais aller la retirer rapidement.»
J’allais lui dire que ce n’étais rien et que j’allais m’en charger, mais je n’en eu pas le temps : elle s’était déjà trop rapproché, et cela me troublait un peu. Je n’eu pas le temps de protester que ses doigts cherchait déjà le fruit fugeur. Le simple contact de ses doigts sur mon cou me fit frissoner à nouveau. C’était absurde ! Elle ne faisait que me m’effleurer et pourtant j’en était complétement déboussolé. L’amour devait rendre idiot, il n’y a pas d’autre solution. Pourquoi un simplecontact me pertuber autant ?
Puis elle fini par capturer le fruit se rebellant contre son destin, et elle s’éloigna un peu, ce qui me permis de repenser correctement pendant trois bonne seconde avant de réalisais qu’elle était encore toute proche et qu’elle me tendait le fraise pour que je mette fin à sa rebellion. Je crois que c’est à peu près à ce moment là que mon cerveau me lacha. Ou alors c’est au moment ou j’ai croisé son regard. Je ne sais plus très bien…
-Je… Ahm, Enfin tu… Hm… Merci…
C’était assez halluciannant : J’avais eu un mal fou à ne faire qu’a la remercier. Et c’était carrémment en priant pour qu’aucune rougeur n’envahisse mes joues que je mis fin à la vie du fruit. J’étais tellement troublé que j’étais incapable de sentir l’habituel feu au joue qui caractérisait le rougissement.
Ce qui fini de mettre hors d’état de fonctionner mon cerveau fus le moment ou son odeur guidé par un vent vicieu m’envahis : une agréable fragrance, à la fois délicate et fraiche. Une odeur pleine de vie, tout en étant douce et pourtant troublante. Une odeur merveilleuse dont je ne me lassais pas. Cette proximité entre nous m’enchantais autant qu’elle me troublait. Et je ne pouvais pas détacher mon regard du sien. Complètement subjuger.
C’est sans doute pourquoi le regard moqueur de la nouvelle mère ne m’atteint pas. Pas plus que le fait qu’elle s’était relever et qu’elle réveillait à coup de langue le chaton qui venait de s’endormir. Puis me tapotta doucement la jambe. Sauf que je n’avais absolument aucune réaction. Et qu’elle n’était pas très patiente. Après un miaulement plaintif elle sortie le grand jeu : d’un coup de patte parfaitement ajusté elle envoya roulé plus loin la bouteille que je venais de poser, gachant du même coup le lait et créant un bruit que j’avais appris à reconnaitre entre mille et qui me fis revenir à moi.
Je rompis le contact visuel et me relever en secouant doucement la tête pour me dynamiser l’esprit. Même si j’aurai préféré que cela n’arrive pas, rentrer était inévitable. Et puis à rester là à la fixer, me donner des envies bizzare… C’était bien la première fois que j’avais eu envie d’embrasser quelqu’un… Et puis pendant une seconde il m’avait semblait voir une petite lumière emanant d’elle, mais cela avait disparus bien trop vite. Probablement un simple rayon de lumière. Mais c’était très clairement après cette vision que l’envie de l’embrasser m’avait pris… Etrange.
Une fois debout, l’air frais me fis du bien, je tendis une main vers Shiny pour l’aidé à se relever en lui expliquant que la nouvelle mère avait décidé de mettre fin à notre pique nique.
-Cela ne te dérange pas de rentrer maintenant ? La nouvelle mère semble vouloir plus de tranquilité pour ses petits et en plus cela nous permettras de lui faire une place à l’écurie en rentrant. Qu’en dis tu ?
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Re: Le coup de grâce! [Pv Thrain][terminé]
Le fruit que j’avais sur mon ustensile volait pour aller dans le cou de Thrain, le prenant du bout des doigts pour le tendre. Je l’avais regarder et laisser aller. Perdre mon sourire pour le regarder comme si je le contemplais. Il était l’unique, l’unique qui m’avait adressé la parole, qui m’avait secouru pour des problèmes de patron. Il m’avait aidé alors qu’il aurait pu continuer et m’ignorer tout simplement, mais non. Il m’avait tendu la main et depuis je ne cessais de la prendre pour presque chaque problème que j’avais. Il m’avait dit de me fier à lui, de me peser sur lui en cas de problème, mais je me sentais trop dépendante de lui et ça devenait si intense que je trouvais cela bizarre.
Le fruit se faisait manger volontiers pour l’achever dans sa souffrance. Je rougissais car il ne l’avait pas pris ses doigts pour le manger, mais bien manger directement avec sa bouche au point que j’avais senti ses lèvres sur mes doigts. On pourrait dire qu’on était deux personnes qui rougissaient le plus au monde en ce moment. Pourquoi je rougissais? Je n’avais aucune raison de rougir avec lui, c’était mon ami, même mon meilleur ami. Peut-être il ne me connaissait pas aussi bien que moi-même, mais il avait un grand début. Il savait que j’aimais bien la cuisine, il savait que j’aimais bien faire des pique-niques, bon il savait des choses dont que j’aimais les animaux et qu’il ne fallait pas qui manque à ses promesses qui m’avait fait sinon, c’était la rage. Il m’avait vu en colère car je me faisais encore engueuler et que j’étais allée en personne le voir dans la forêt pour qu’il s’explique. Pour qu’il s’explique concernant la personne qui était censée venir travailler avec moi... Enfin passons. Il avait passé un mauvais quart d’heure et pour finir je m’étais endormie. Pour une fois, en prenant la fleur qui était dans mes cheveux et en le reniflant, j’avais senti des battement de cœur nouveaux. C’était un fait que je me rappellerai toute ma vie.
Ce qui était encore plus étrange c’était aussi le fait qu’on se regardait aussi profondément. Je m’étais même surprise à me mordre les lèvres, cependant je ne pouvais le lâcher des yeux. Il était envoutant même s’il avait eu du mal à me remercier que je riais quelque peu. Je ne lâchais pas ses yeux pour autant. Ses yeux si... Jaune, si jaune avec des pupilles verticaux qui me faisaient penser à ceux des chats. Plus fort que moi, je souriais en pensant une mèche derrière mon oreille et je me sentais approchée tranquillement vers lui.
Je sursautais par la suite le voyant se relever et reprendre l’air alors que moi, je baissais mon regard un peu déçue. Je rangeais tranquillement les assiettes et ma tarte jardinière, parce qu’il ne fallait pas que les insectes aillent dessus et je crois qu’on avait réellement fini si je me fiais à cette belle maman qui voulait avoir sans doute la paix chez elle. Puis, je voyais une main qui était devant moi. Thrain me demandait si ça ne me dérangeait de partir et faire un petit nid pour le chaton qui était réveillé à cause d’un coup de langue de sa mère. Je prenais le panier de bras et je prenais volontiers la main du chevalier devant moi et sans même me rendre compte, je le tenais... Je le tenais comme si j’avais peur qu’il me laisse dans ce monde que je ne connaissais plus ou moins bien que lui.
« Ça me va parfaitement, malgré que j‘aurais bien aimé rester encore un peu.» lui disais-je sincèrement.
Il prenait doucement le chat, alors je l’avais lâché la main pour le laisser le prendre et de prendre à une main pour commencer à marcher vers la sortie que seul le chevalier savait. Finalement, en marchant je titubais ici et là à cause des branches qui s’étaient bizarrement relevées. Alors ça été la dernière branche que je finissais par tomber en tenant le bras de Thrain. Prenant le bras ce qui me faisait coller un peu plus sur lui. J’espérai qu’il ne se rende pas compte et moi non plus. Enfin...
Nous sortons de la forêt et on marchait vers le château. J’avais lâché son bras pour gambader plus loin avant de revenir près de lui en tentant de flatter le chaton en rigolant. Je le regardais. À vrai dire, je pensais qu’il était beau avec ses yeux et ses particularités. Il était gentil, aidant, généreux et on pouvait se fier à lui. Étrangement, je ne voulais qu’être avec lui. Que ça signifiait cette situation? Je ne savais pas, je n’avais jamais ressenti ces sentiments auparavant.
On rentrait dans le château, en fait, on traversait le pont levis pour arriver directement dans la cours. Je courrais dans l’écurie en prenant Thrain par la main pour le tirer à courir un peu. Puis, je déposais tranquillement mon panier de pique nique et j’allais dans un coin de l’écurie pour déposer des pailles et mettre la couverture du pique nique sur les pailles pour lui faire un coin chaud. Je lui montrais l’endroit au chevalier avec des couleurs rousses dans sa chevelure pour qu’il dépose le chaton qui miaulait un peu à cause qui n’avait pas de maman près de lui. Je lui donnais un peu à boire pour qu’il se repose par la suite et je remerciais l’homme qui m’accompagnait.. Puis peut-être à la prochaine fois qu’on allait passer un moment ensemble qui sait?
Le fruit se faisait manger volontiers pour l’achever dans sa souffrance. Je rougissais car il ne l’avait pas pris ses doigts pour le manger, mais bien manger directement avec sa bouche au point que j’avais senti ses lèvres sur mes doigts. On pourrait dire qu’on était deux personnes qui rougissaient le plus au monde en ce moment. Pourquoi je rougissais? Je n’avais aucune raison de rougir avec lui, c’était mon ami, même mon meilleur ami. Peut-être il ne me connaissait pas aussi bien que moi-même, mais il avait un grand début. Il savait que j’aimais bien la cuisine, il savait que j’aimais bien faire des pique-niques, bon il savait des choses dont que j’aimais les animaux et qu’il ne fallait pas qui manque à ses promesses qui m’avait fait sinon, c’était la rage. Il m’avait vu en colère car je me faisais encore engueuler et que j’étais allée en personne le voir dans la forêt pour qu’il s’explique. Pour qu’il s’explique concernant la personne qui était censée venir travailler avec moi... Enfin passons. Il avait passé un mauvais quart d’heure et pour finir je m’étais endormie. Pour une fois, en prenant la fleur qui était dans mes cheveux et en le reniflant, j’avais senti des battement de cœur nouveaux. C’était un fait que je me rappellerai toute ma vie.
Ce qui était encore plus étrange c’était aussi le fait qu’on se regardait aussi profondément. Je m’étais même surprise à me mordre les lèvres, cependant je ne pouvais le lâcher des yeux. Il était envoutant même s’il avait eu du mal à me remercier que je riais quelque peu. Je ne lâchais pas ses yeux pour autant. Ses yeux si... Jaune, si jaune avec des pupilles verticaux qui me faisaient penser à ceux des chats. Plus fort que moi, je souriais en pensant une mèche derrière mon oreille et je me sentais approchée tranquillement vers lui.
Je sursautais par la suite le voyant se relever et reprendre l’air alors que moi, je baissais mon regard un peu déçue. Je rangeais tranquillement les assiettes et ma tarte jardinière, parce qu’il ne fallait pas que les insectes aillent dessus et je crois qu’on avait réellement fini si je me fiais à cette belle maman qui voulait avoir sans doute la paix chez elle. Puis, je voyais une main qui était devant moi. Thrain me demandait si ça ne me dérangeait de partir et faire un petit nid pour le chaton qui était réveillé à cause d’un coup de langue de sa mère. Je prenais le panier de bras et je prenais volontiers la main du chevalier devant moi et sans même me rendre compte, je le tenais... Je le tenais comme si j’avais peur qu’il me laisse dans ce monde que je ne connaissais plus ou moins bien que lui.
« Ça me va parfaitement, malgré que j‘aurais bien aimé rester encore un peu.» lui disais-je sincèrement.
Il prenait doucement le chat, alors je l’avais lâché la main pour le laisser le prendre et de prendre à une main pour commencer à marcher vers la sortie que seul le chevalier savait. Finalement, en marchant je titubais ici et là à cause des branches qui s’étaient bizarrement relevées. Alors ça été la dernière branche que je finissais par tomber en tenant le bras de Thrain. Prenant le bras ce qui me faisait coller un peu plus sur lui. J’espérai qu’il ne se rende pas compte et moi non plus. Enfin...
Nous sortons de la forêt et on marchait vers le château. J’avais lâché son bras pour gambader plus loin avant de revenir près de lui en tentant de flatter le chaton en rigolant. Je le regardais. À vrai dire, je pensais qu’il était beau avec ses yeux et ses particularités. Il était gentil, aidant, généreux et on pouvait se fier à lui. Étrangement, je ne voulais qu’être avec lui. Que ça signifiait cette situation? Je ne savais pas, je n’avais jamais ressenti ces sentiments auparavant.
On rentrait dans le château, en fait, on traversait le pont levis pour arriver directement dans la cours. Je courrais dans l’écurie en prenant Thrain par la main pour le tirer à courir un peu. Puis, je déposais tranquillement mon panier de pique nique et j’allais dans un coin de l’écurie pour déposer des pailles et mettre la couverture du pique nique sur les pailles pour lui faire un coin chaud. Je lui montrais l’endroit au chevalier avec des couleurs rousses dans sa chevelure pour qu’il dépose le chaton qui miaulait un peu à cause qui n’avait pas de maman près de lui. Je lui donnais un peu à boire pour qu’il se repose par la suite et je remerciais l’homme qui m’accompagnait.. Puis peut-être à la prochaine fois qu’on allait passer un moment ensemble qui sait?
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